Pourquoi les devoirs, c’est non dans notre maison

Chère communauté parentale,

Je m’appelle Marie, et je suis la fière maman d’un enfant en primaire. Aujourd’hui, je souhaite partager avec vous une décision que j’ai prise dans l’éducation de mon enfant : les devoirs, c’est non.

Lorsque mon fils est rentré en première année, j’étais pleine d’enthousiasme. J’imaginais les soirées passées à la table de la cuisine, à l’aider à résoudre des problèmes de mathématiques et à réviser ses leçons. Cependant, la réalité a été bien différente, et rapidement, je me suis rendu compte que cette routine n’était pas faite pour nous.

Les devoirs ne sont pas seulement une tâche supplémentaire, mais ils génèrent également du stress inutile à la maison. Mon fils et moi, nous sommes rapidement devenus tendus, et les moments qui devraient être consacrés à la détente et à la famille se sont transformés en batailles épuisantes pour terminer les devoirs.

J’ai alors pris la décision consciente de dire non aux devoirs. Pourquoi ? Parce que je crois en un apprentissage qui va au-delà des limites de la salle de classe. Mon fils apprend de nombreuses choses à l’école, et je suis convaincue qu’il peut continuer son apprentissage d’une manière plus organique et moins stressante à la maison.

Cela ne signifie pas que je néglige l’éducation de mon enfant. Au contraire, nous avons mis en place des activités qui encouragent la curiosité, la créativité et l’apprentissage par le jeu. Les sorties au musée, les lectures partagées et les discussions ouvertes sont devenus nos outils d’apprentissage principaux.

Bien sûr, ma décision a été accueillie par quelques regards désapprobateurs et des commentaires bien intentionnés sur la nécessité des devoirs pour renforcer les compétences académiques. Cependant, je reste convaincue que la vie elle-même offre d’innombrables occasions d’apprendre, et je veux que mon fils grandisse avec la conviction que l’apprentissage est une aventure à explorer, et non une corvée à accomplir.

Chaque parent fait des choix éducatifs qui correspondent le mieux à sa famille, et pour la mienne, les devoirs ne font tout simplement pas partie de l’équation. C’est une décision que je prends avec confiance, sachant que je suis en train de façonner un environnement où mon enfant peut s’épanouir et développer sa curiosité naturelle.

Alors, à tous les parents qui se questionnent sur les devoirs, je vous encourage à écouter votre instinct parental et à créer un environnement d’apprentissage qui reflète les valeurs et les besoins uniques de votre famille.

Bien à vous, Marie

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