Une interdiction générale, sauf consentement explicite

À compter de cette date, plus aucune entreprise ne pourra vous appeler pour vous vendre quoi que ce soit, sauf si vous avez donné votre accord préalable. Cet accord devra être libre, clair, spécifique, et surtout révocable à tout moment. Cela concerne toutes les formes de démarchage, qu’il s’agisse de propositions pour la rénovation énergétique, de changements de fournisseur d’énergie, ou encore de formations via le CPF.

Deux cas seulement permettront encore d’être contacté :

1. Si vous avez donné un accord explicite pour être démarché.
2. Si vous avez un contrat en cours avec l’entreprise, qui vous contacte pour améliorer le service ou le produit déjà souscrit.

Une réponse aux limites du système Bloctel

Jusqu’à présent, la liste d’opposition Bloctel constituait le seul rempart contre ces appels incessants. Mais cette solution a largement montré ses limites : méconnue du grand public, inefficace dans les faits, elle n’a pas réussi à freiner les abus. De nombreux inscrits à Bloctel continuent malgré tout à recevoir des appels non sollicités.

C’est pour mettre fin à cette impuissance que la nouvelle loi vient inverser totalement le cadre juridique : désormais, le démarchage devient interdit par défaut, et non plus autorisé sauf exception.

Une application repoussée à août 2026

Si cette réforme est saluée, un point soulève néanmoins des critiques : le délai d’entrée en vigueur. La loi ne sera applicable qu’à partir du 11 août 2026. Cette longue période de transition vise à laisser le temps aux entreprises concernées de revoir leurs pratiques et d’adapter leurs processus internes.

Des sanctions renforcées pour protéger les consommateurs

La loi prévoit également un durcissement des sanctions en cas d’abus, notamment en cas de pression exercée sur des personnes vulnérables. Si un professionnel vous appelle et que vous refusez de continuer l’échange, il sera dans l’obligation de ne plus jamais vous recontacter.

Vers la fin d’un fléau quotidien

Chaque jour, des millions de Français sont dérangés par des appels indésirables. Avec cette loi, le paysage devrait radicalement changer d’ici 2026. Même si l’attente peut sembler longue, c’est une avancée décisive pour la tranquillité des consommateurs et un signal fort envoyé aux professionnels peu scrupuleux.

En attendant l’entrée en vigueur, il reste conseillé de s’inscrire sur Bloctel et de rester vigilant quant aux appels reçus.

L’article Démarchage téléphonique interdit : une révolution à venir est apparu en premier sur Family santé.

Une organisation millimétrée

Dès l’arrivée d’un avion sur le tarmac de l’aéroport international du Kansai, la précision japonaise prend tout son sens. Les équipes ont seulement 15 minutes pour décharger 400 bagages. Pas une seconde à perdre, mais pas non plus de place à l’improvisation. Chaque bagage est compté manuellement, plusieurs fois, à chaque étape : du chariot au tapis roulant. Des scanners permettent de vérifier que les données enregistrées correspondent parfaitement aux bagages physiquement présents.

Rien n’est laissé au hasard. Le silence règne sur les pistes. Aucun téléphone portable n’est autorisé pendant les heures de service. Les agents sont concentrés, entièrement dévoués à leur tâche. Leur mission est claire : faire en sorte qu’aucun bagage ne disparaisse.

Le respect des règles avant tout

Pour Tsuyoshi Habuta, chef des services d’exploitation des rampes, chaque geste, même le plus simple, a son importance. Il rappelle que respecter les procédures est la base d’un service irréprochable. Ce sont justement ces gestes répétés, encadrés et minutieux qui permettent à l’aéroport d’afficher un taux de perte de bagages… inexistant.

Le résultat est saisissant. À peine 35 minutes après l’atterrissage, les valises sont déjà sur le tapis roulant, souvent en même temps que les passagers. Des employés prennent même le soin de réajuster les bagages pour en faciliter la récupération. Cela peut sembler anodin, mais pour les voyageurs, c’est une attention précieuse.

La culture du service à la japonaise

Au Japon, la qualité du service n’est pas un objectif marketing, c’est une culture profondément ancrée. À l’aéroport d’Osaka, les 13 millions de bagages traités chaque année reçoivent tous le même soin. Peu importe leur contenu ou leur provenance, ils sont considérés avec respect.

Cette rigueur s’appuie aussi sur une configuration qui limite les correspondances, réduisant ainsi les risques d’erreur. Mais au-delà de la logistique, c’est la philosophie de l’excellence qui impressionne. Un habitué confie qu’il n’a jamais peur de perdre son bagage lorsqu’il voyage au Japon, contrairement à d’autres pays où les valises sont parfois jetées sans ménagement.

Un défi pour l’avenir

Avec plus de 30 millions de passagers en 2024, l’aéroport s’apprête à accueillir encore plus de voyageurs à l’occasion de l’Exposition universelle d’Osaka. Benoît Rulleau, co-directeur de l’aéroport et seul Français à ce poste, compte bien maintenir cette réputation sans faille. Pour lui, la première impression d’un pays commence dès l’aéroport. Et à Osaka, cette impression est celle d’une efficacité remarquable.

Une leçon pour le reste du monde

L’aéroport international du Kansai n’est pas seulement une prouesse logistique. C’est un exemple de ce que la rigueur, le respect des procédures et la concentration peuvent accomplir. Dans un monde où perdre un bagage est presque devenu une fatalité, Osaka prouve qu’il est possible de viser l’excellence – et de l’atteindre durablement.

L’article Osaka : l’aéroport où perdre une valise est tout simplement impensable est apparu en premier sur Family santé.

Un miroir, un drame, une prise de conscience

Reed jouait tranquillement près de la cuisine, entouré de ses jouets, sous le regard aimant de sa maman, Lindsay Dewey. Quelques minutes plus tard, un bruit sourd a brisé ce moment paisible. Un grand miroir, posé contre un mur et que la famille croyait stable, venait de basculer. Il est tombé sur Reed, le frappant à la tête. Si, dans un premier temps, l’enfant semblait conscient, les blessures internes étaient malheureusement fatales. Un traumatisme crânien a mis fin à sa courte vie.

Ce drame, Lindsay a choisi de le raconter publiquement, avec une force admirable, pour alerter d’autres familles. Car derrière cette perte insupportable se cache une réalité méconnue : les accidents domestiques liés aux basculements d’objets lourds ne sont pas isolés.

Un risque souvent sous-estimé

Selon la Commission américaine de sécurité des produits de consommation, des dizaines d’enfants perdent la vie chaque année à cause de meubles, téléviseurs ou objets décoratifs qui tombent. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : téléviseurs, commodes, bibliothèques ou miroirs sont tous susceptibles de basculer lorsqu’ils ne sont pas solidement fixés.

En France, si les données sont moins médiatisées, les services d’urgences voient régulièrement passer des cas similaires. Ce type d’accident peut survenir dans tous les foyers, qu’ils soient anciens ou modernes, petits ou grands.

Sécuriser son intérieur : des gestes simples, une vigilance constante

La famille de Reed avait déjà installé des équipements de sécurité classiques : barrières, bloque-fenêtres, caméras. Pourtant, cela n’a pas suffi. Aujourd’hui, Lindsay insiste sur un point crucial : tout objet lourd doit être fixé au mur, qu’il s’agisse de miroirs, d’étagères ou de commodes.

Voici quelques recommandations simples mais essentielles :

• Fixer tous les meubles hauts et objets lourds avec des attaches murales.
• Éviter de poser des jouets ou des objets attrayants en hauteur, pour ne pas inciter un enfant à grimper.
• Vérifier régulièrement la stabilité des éléments décoratifs, surtout dans les pièces fréquentées par les enfants.
• Être particulièrement vigilant avec les objets posés temporairement contre les murs, comme les miroirs ou cadres en attente d’installation.

Un message de prévention porté par l’amour

Lindsay conclut son témoignage par une phrase bouleversante : « Même si je donnerais tout pour ramener Reed, je suis soulagée de penser que partager son histoire pourrait sauver d’autres enfants. » Ce choix de transformer une douleur profonde en acte de prévention est un exemple de courage et de générosité.

Pour tous ceux qui vivent avec ou accueillent de jeunes enfants, prendre le temps de faire le tour de son intérieur, d’inspecter ce qui pourrait basculer, peut littéralement sauver des vies.

Protéger, c’est aussi anticiper l’imprévisible

Un foyer sécurisé ne se limite pas à ranger les produits toxiques ou à protéger les prises électriques. C’est aussi penser à la stabilité de chaque objet, à l’impact d’un simple geste, d’un déséquilibre. Car les enfants ne voient pas le danger comme nous. À travers leurs jeux innocents, ils explorent, grimpent, attrapent… et parfois, un détail que l’on croit anodin peut suffire à bouleverser une vie.

Agir aujourd’hui, c’est éviter les regrets de demain. Pour que chaque rire d’enfant résonne longtemps dans nos maisons.

L’article Quand un objet du quotidien devient un danger : l’histoire bouleversante de Reed est apparu en premier sur Family santé.

Le 7 avril dernier, un petit garçon de presque trois ans a perdu la vie à Suresnes après s’être étouffé avec un grain de raisin. Malgré une intervention rapide des secours, l’enfant n’a pas pu être réanimé. Ce tragique accident, aussi soudain que bouleversant, remet en lumière un sujet que l’on aborde trop rarement : les dangers liés à certains aliments chez les jeunes enfants.

En tant que parents, nous faisons de notre mieux chaque jour. Mais parfois, un simple oubli ou une méconnaissance peut avoir des conséquences irréversibles.

Raisins, tomates cerises, saucisses… Attention à leur forme !

Ce qui rend certains aliments dangereux pour les enfants de moins de 5 ans, ce n’est pas forcément ce qu’ils contiennent, mais la façon dont ils sont présentés. Le raisin, les tomates cerises, les saucisses ou encore les bonbons durs ont tous une chose en commun : une forme ronde ou cylindrique. Faciles à avaler sans mâcher, ils peuvent se loger dans la trachée et bloquer totalement les voies respiratoires.

Un grain de raisin peut sembler inoffensif… sauf qu’il a exactement la taille qu’il faut pour provoquer une suffocation complète chez un jeune enfant. C’est aussi le cas pour les cacahuètes, les carottes crues en morceaux, ou encore les pommes croquées sans être coupées en petits quartiers.

Les bons gestes à adopter pour éviter le pire

Heureusement, ces accidents sont évitables, à condition d’être bien informés et de prendre quelques précautions simples :

• Toujours couper les raisins (et tomates cerises) en deux ou en quatre, dans le sens de la longueur.
• Préférer les saucisses coupées en petits morceaux ou en fines lanières plutôt qu’en rondelles.
• Éviter les bonbons durs, cacahuètes et fruits secs entiers chez les enfants de moins de 5 ans.
• Surveiller activement les repas, surtout quand l’enfant mange dans un contexte de distraction ou d’agitation.

Et surtout, se former aux gestes de premiers secours. Savoir réagir en cas d’étouffement peut littéralement sauver une vie. De nombreuses associations ou centres proposent des formations courtes, accessibles et adaptées aux parents.

Grandir ensemble : un vœu de bienveillance

Être parent, c’est apprendre tous les jours. C’est accepter de ne pas tout savoir, de faire des erreurs, mais aussi de rester curieux et humble. Le vrai bonheur, c’est de pouvoir grandir en même temps que nos enfants, avec eux, pour eux.

Alors si cet article peut servir à éviter ne serait-ce qu’un seul accident, alors il aura déjà rempli son rôle.

Prenons soin d’eux, prenons soin de nous.

L’article Raisin, saucisse, bonbon… Ces dangers invisibles qui menacent nos enfants est apparu en premier sur Family santé.

C’est quoi exactement un « ping call » ?

Un ping call, c’est un appel extrêmement bref, souvent interrompu volontairement avant même que vous ayez le temps de décrocher. Le but ? Vous inciter à rappeler. Et c’est là que le piège se referme : le numéro que vous rappelez est surtaxé, parfois même relié à une plateforme frauduleuse qui vous retient le plus longtemps possible pour gonfler la facture.

Résultat : quelques minutes d’appel peuvent vous coûter jusqu’à une dizaine d’euros, directement prélevés sur votre facture téléphonique.

Une arnaque qui se modernise

Autrefois, ces arnaques utilisaient des numéros clairement suspects, comme ceux commençant par 0899. Mais aujourd’hui, les escrocs sont devenus plus malins. Ils utilisent des numéros qui paraissent normaux, en 01, 02, 04, etc., ce qui désarme la méfiance des victimes.

Une fois que vous rappelez, vous êtes redirigé ou incité à composer un autre numéro surtaxé sous prétexte de gagner un bon d’achat, de récupérer un colis ou un « cadeau ».

Comment se protéger ?

Voici quelques réflexes simples mais efficaces pour éviter de tomber dans le piège :

• Ne rappelez jamais un numéro inconnu qui vous a laissé une seule sonnerie sans message.
• Faites confiance à votre messagerie vocale : quelqu’un de sérieux vous laissera un message ou tentera de vous rappeler.
• Soyez particulièrement méfiant si le numéro semble français mais que vous ne reconnaissez pas l’appelant.

Que faire si vous recevez un appel suspect ?

Signalez le numéro en envoyant un SMS gratuit au 33700 avec le texte spam vocal suivi du numéro en question.

Et si vous avez rappelé et soupçonnez une arnaque, contactez immédiatement le service Info Escroqueries au 0811 02 02 17 (appel non surtaxé).

En résumé :

Le ping call joue sur notre curiosité et nos habitudes modernes. Un petit geste de prudence peut vous éviter une mauvaise surprise sur votre facture. En cas de doute, abstenez-vous de rappeler – et pensez à signaler les numéros suspects.

Partagez cet article autour de vous pour aider vos proches à rester vigilants !

L’article Attention au « ping call » : cette arnaque à l’appel en absence qui revient en force est apparu en premier sur Family santé.

Une loi stricte sur l’exhibition sexuelle

Selon l’article 222-32 du Code pénal, « l’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public » est punissable par la loi. Ce qui signifie que, même dans votre propre domicile, si vous êtes visible depuis l’extérieur, vous pourriez être accusé d’exhibition sexuelle.

Quelles sanctions en cas de manquement ?

Ne pas faire attention à ce détail peut avoir de lourdes conséquences. En effet, la loi prévoit des sanctions sévères pour ce type de situation :

• Jusqu’à 15 000 euros d’amende et un an d’emprisonnement.
• Et si un mineur de moins de 15 ans est témoin de cette exhibition, la peine peut être portée à 30 000 euros d’amende et deux ans d’emprisonnement.

Comment éviter les ennuis ?

Si vous êtes adepte des balades en tenue d’Adam ou d’Ève dans votre intérieur, quelques précautions s’imposent :

• Fermez vos rideaux ou volets : cela évitera toute visibilité depuis l’extérieur.
• Évitez de passer devant une fenêtre si celle-ci donne sur un espace public ou est visible par vos voisins.
• Soyez conscient(e) de votre environnement : il est toujours bon de vérifier si votre intimité est préservée avant de vous relâcher complètement.

La nuance à connaître

Bonne nouvelle cependant : si votre fenêtre n’est pas visible depuis la rue ou qu’aucun voisin ne peut vous voir, vous n’êtes pas en infraction. La clé reste donc la discrétion et la prudence.

En résumé, oui, vous pouvez être nu chez vous, mais à condition de ne pas être aperçu par autrui. Dans le doute, mieux vaut tirer les rideaux et éviter ainsi des sanctions qui pourraient sérieusement gâcher votre tranquillité !

L’article Attention, se promener nu chez soi peut vous coûter cher ! est apparu en premier sur Family santé.

Comment fonctionne cette arnaque ?

L’astuce utilisée par les malfaiteurs est à la fois simple et redoutable. En insérant un trombone dans la fente de sortie des billets, ils empêchent l’argent de s’éjecter normalement. Lorsque la victime effectue un retrait, elle ne voit donc aucun billet sortir du distributeur. Pensant qu’il s’agit d’un dysfonctionnement, elle quitte les lieux en supposant que la transaction a été annulée ou que son compte n’a pas été débité.

Cependant, une fois la victime partie, les escrocs récupèrent le trombone et, avec lui, les billets coincés. Ce stratagème permet de voler de l’argent en toute discrétion et en quelques secondes.

Comment se protéger contre cette fraude ?

Heureusement, il existe des moyens simples de se prémunir contre ce type d’arnaque :

1. Vérifiez toujours la fente de sortie des billets : Avant d’insérer votre carte, jetez un œil à l’endroit où sort l’argent. Si un objet suspect est inséré, signalez-le immédiatement à la banque ou aux forces de l’ordre.
2. Restez sur place si l’argent ne sort pas : Ne partez pas immédiatement. Attendez quelques minutes pour voir si les billets finissent par être repris par le distributeur.
3. Consultez votre relevé bancaire : Vérifiez toujours si la somme a été débitée de votre compte. En cas de retrait non abouti, contactez immédiatement votre banque.
4. Privilégiez les distributeurs sécurisés : Certains DAB sont équipés d’un mécanisme qui reprend les billets non récupérés. Privilégiez ceux situés à l’intérieur des banques ou dans des lieux surveillés.
5. Signalez toute anomalie : Si vous repérez un distributeur suspect, avertissez la banque concernée ainsi que la police. Vous pouvez également alerter la communauté sur les réseaux sociaux pour éviter que d’autres ne tombent dans le piège.

Que faire si vous êtes victime ?

Si vous constatez que de l’argent a été débité de votre compte sans que vous ayez pu le récupérer, contactez immédiatement votre banque pour signaler l’incident. Certaines institutions financières acceptent de rembourser les victimes après enquête. Il est également recommandé de déposer une plainte auprès des forces de l’ordre afin de contribuer à l’identification des malfaiteurs et à la prévention de nouvelles fraudes.

Conclusion

Cette arnaque au trombone illustre une fois de plus la nécessité de rester vigilant lorsqu’on utilise un distributeur automatique de billets. Un simple geste de vérification peut suffire à éviter une mauvaise surprise. La sensibilisation et le partage d’informations sont des outils précieux pour lutter contre ces pratiques malhonnêtes. N’hésitez pas à informer votre entourage et à signaler tout comportement suspect !

L’article Attention : Une nouvelle arnaque aux distributeurs automatiques de billets sévit en France est apparu en premier sur Family santé.

Une réglementation renforcée pour plus de sécurité

Les nouvelles technologies embarquées dans les véhicules, comme le freinage automatique ou l’Intelligent Speed Assistance (ISA), permettent de réduire le risque d’accident. Cependant, aucun dispositif ne peut garantir une sécurité totale. C’est pourquoi, en cas d’incident sur la route, certaines mesures doivent être scrupuleusement respectées pour éviter d’aggraver la situation.

Deux équipements obligatoires sous peine d’amende

Lorsqu’un véhicule est en panne ou victime d’un accident, il est primordial de signaler sa présence aux autres usagers. Pour cela, deux équipements sont obligatoires :

• Un gilet de haute visibilité (fluorescent) : il doit être porté par le conducteur dès qu’il sort du véhicule en situation d’urgence, notamment sur la chaussée. Son rôle est d’alerter les autres conducteurs et d’inciter à la prudence.
• Un triangle de présignalisation : il doit être placé à au moins 30 mètres du véhicule immobilisé afin de signaler un danger aux automobilistes arrivant sur les lieux.

En Espagne, le triangle de présignalisation a même été remplacé par un gyrophare, preuve que les dispositifs de signalisation sont essentiels pour éviter des accidents supplémentaires.

Des sanctions financières en cas de manquement

Le non-respect de cette obligation peut coûter cher aux conducteurs imprudents. En effet :

• L’absence de gilet fluorescent peut entraîner une amende pouvant aller jusqu’à 750 euros.
• Si vous ne possédez aucun des deux équipements, l’amende est de 38 euros.
• Une amende forfaitaire de 135 euros est également prévue si ces règles ne sont pas appliquées correctement.

Ne prenez aucun risque, équipez-vous !

La sécurité routière ne doit jamais être prise à la légère. Assurez-vous que votre véhicule est équipé d’un gilet fluorescent et d’un triangle de présignalisation pour éviter des sanctions, mais surtout pour garantir votre sécurité et celle des autres usagers de la route.

Vérifiez dès maintenant votre équipement et restez en règle pour rouler en toute sérénité !

L’article Vous risquez 750 € d’amende si vous n’avez pas cet objet dans votre véhicule est apparu en premier sur Family santé.

Quand le froid s’invite au travail : que dit la législation ?

Dans des périodes de grand froid, il appartient à l’employeur de garantir la sécurité et la santé de ses salariés, conformément à l’article L4121-1 du Code du travail. Cela inclut notamment le maintien d’un environnement de travail adéquat.

Pour les bureaux et locaux intérieurs :

La loi impose à l’employeur de maintenir une température minimale de 19°C dans les espaces de travail fermés. Cela vise à assurer le confort thermique des salariés et à prévenir les risques pour leur santé.

Pour les métiers en extérieur :

Les employés exerçant des activités à l’extérieur, comme dans le secteur du BTP ou des transports, bénéficient de mesures adaptées. Ces dispositions incluent :

• La mise à disposition de vêtements isolants et adaptés aux conditions climatiques.
• L’aménagement des horaires de travail pour réduire l’exposition au froid.
• L’installation de dispositifs de chauffage localisé sur les chantiers ou postes de travail.

L’employeur est également tenu d’informer les salariés des mesures mises en place pour leur protection.

Que faire si les mesures ne sont pas respectées ?

Lorsque l’employeur ne met pas en place les dispositions nécessaires pour garantir des conditions de travail sûres, les salariés peuvent invoquer leur droit de retrait. Ce droit, prévu par l’article L4131-1 du Code du travail, leur permet de quitter leur poste sans risquer de sanction disciplinaire, sous certaines conditions.

Comment exercer son droit de retrait ?

1. Informer l’employeur : Le salarié doit signaler oralement ou par écrit les conditions jugées dangereuses.
2. Justifier les risques encourus : Il est nécessaire de préciser les dangers pour la santé ou la sécurité.
3. Assurer la légitimité : Le droit de retrait est légitime si le danger est immédiat et grave.

Lorsque ces critères sont remplis, le salarié continue de percevoir son salaire pendant toute la durée de l’exercice de son droit de retrait.

Le télétravail comme alternative

Pour les entreprises ayant adopté le télétravail, cette solution peut être envisagée en période de grand froid. Elle permet aux salariés de continuer à travailler sans avoir à se déplacer dans des conditions climatiques difficiles.

L’article Les conditions climatiques rudes et le droit de ne pas se rendre au travail : ce que dit la loi est apparu en premier sur Family santé.

Une conception axée sur la sécurité

L’une des raisons majeures derrière cette conception est la sécurité. En cas d’urgence, comme un incendie ou un malaise à l’intérieur d’une cabine, l’ouverture partielle en bas permet aux secours d’intervenir rapidement. Cet espace facilite aussi la détection d’un problème : une personne allongée sur le sol ou en détresse peut être rapidement repérée.

Un moyen de prévenir le vandalisme

Les portes des toilettes publiques ne touchant pas le sol offrent une meilleure visibilité, dissuadant ainsi les comportements inappropriés tels que le vandalisme ou les actes de violence. Cette transparence partielle crée un effet dissuasif, car les individus malintentionnés savent qu’ils peuvent être vus.

Une question d’hygiène et d’entretien

Ces portes facilitent également le nettoyage des toilettes. Les agents d’entretien peuvent rapidement balayer ou laver le sol sans avoir à ouvrir chaque cabine, ce qui améliore l’efficacité de l’entretien et maintient un meilleur niveau d’hygiène.

Par ailleurs, cette conception favorise une meilleure circulation de l’air, réduisant les mauvaises odeurs et évitant la sensation d’enfermement.

Une solution économique

Au-delà des aspects pratiques, il est également plus économique de concevoir des portes plus courtes. Cela permet de réduire les coûts de fabrication, tout en conservant leur fonctionnalité.

Une norme acceptée par tous

Enfin, cette conception est devenue une norme largement acceptée, ce qui fait que la plupart des gens n’y prête plus attention. Ce design est si répandu qu’il est perçu comme étant évident, même si ses avantages ne sont pas toujours immédiatement visibles.

L’article Pourquoi les portes des toilettes publiques ne vont jamais jusqu’au sol ? est apparu en premier sur Family santé.