Archives des Non classé - Family santé https://familysante.com/category/non-classe Santé, famille, bien être Wed, 11 Jun 2025 20:24:10 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.2 https://familysante.com/wp-content/uploads/2016/12/cropped-Wear-32x32.png Archives des Non classé - Family santé https://familysante.com/category/non-classe 32 32 Mort de Nahel : le combat d’une mère face à la douleur et aux menaces https://familysante.com/mort-de-nahel-le-combat-dune-mere-face-a-la-douleur-et-aux-menaces.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=mort-de-nahel-le-combat-dune-mere-face-a-la-douleur-et-aux-menaces https://familysante.com/mort-de-nahel-le-combat-dune-mere-face-a-la-douleur-et-aux-menaces.html#respond Wed, 11 Jun 2025 20:24:08 +0000 https://familysante.com/?p=8188 Le 27 juin 2023 restera une date gravée dans la mémoire de nombreux Français. Ce jour-là, Nahel, un adolescent de 17 ans, a perdu la vie à Nanterre lors d’un contrôle routier qui a dégénéré. Depuis ce drame, sa mère, Mounia, tente de survivre au quotidien, portée par l’amour qu’elle portait à son fils, mais […]

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Le 27 juin 2023 restera une date gravée dans la mémoire de nombreux Français. Ce jour-là, Nahel, un adolescent de 17 ans, a perdu la vie à Nanterre lors d’un contrôle routier qui a dégénéré. Depuis ce drame, sa mère, Mounia, tente de survivre au quotidien, portée par l’amour qu’elle portait à son fils, mais aussi confrontée à la haine que certains n’hésitent pas à lui faire subir.

Une douleur qui dépasse tout

Dimanche 22 octobre 2023, dans un reportage diffusé sur TF1 dans l’émission Sept à Huit, Mounia a accepté de témoigner. C’est avec une immense dignité qu’elle est revenue sur les événements, mais aussi sur le harcèlement dont elle est victime depuis la mort de son fils. Sur un mur, un dessin réalisé par les amis de Nahel rend hommage au jeune homme. Mais ce même hommage a été défiguré par des insultes violentes : « C’était un voyou, petit con ». Des propos blessants, auxquels s’ajoutent des lettres de menaces glaçantes reçues par Mounia.

« Grosse salope, sale arabe, un arabe de moins, on ira pisser sur sa tombe, à ton tour », peut-on lire dans certaines de ces lettres. Des mots d’une violence inouïe, pourtant balayés par la mère de Nahel. Car, comme elle le dit elle-même, rien n’est plus douloureux que la perte d’un enfant. « J’ai eu pire, le décès de mon fils. C’est la pire des choses », affirme-t-elle, le regard lourd de tristesse.

Le portrait d’un adolescent aimé

À travers ce même reportage, plusieurs proches de Nahel ont tenu à lui rendre hommage. Parmi eux, Ali, un ami très proche que le jeune homme surnommait « Tonton ». C’est avec émotion qu’il évoque leur dernière rencontre, survenue quelques heures seulement avant le drame. Des images inédites de Nahel, à la piscine ou avec ses amis, viennent rappeler qu’il était avant tout un adolescent comme les autres, entouré, souriant, plein de rêves.

Ali parle de lui comme d’un « petit frère », pas seulement pour lui, mais pour tout le groupe. Nahel, selon ses amis, était toujours disponible, toujours prêt à aider. Il ne disait jamais non. Il était passionné de moto et rêvait d’ouvrir un garage. Il attendait avec impatience de pouvoir passer son permis dès sa majorité. Autant de projets qui ne verront jamais le jour.

« Il était le meilleur », conclut Ali, la gorge serrée. Derrière le nom de Nahel, il y a une vie interrompue trop tôt, des ambitions, une famille et des amis qui ne l’oublieront jamais.

Un symbole d’injustice et de fracture

Le décès de Nahel a suscité une onde de choc dans toute la France. Au-delà de l’émotion, il soulève de nombreuses interrogations sur les pratiques policières, le traitement des jeunes issus des quartiers populaires et le racisme ordinaire qui gangrène certains discours. Mounia, malgré la haine qu’elle subit, devient malgré elle le visage d’un combat plus large : celui de la dignité, de la mémoire et de la justice.

Face à l’inhumanité de certaines réactions, son courage et sa dignité forcent le respect. Son témoignage nous rappelle une chose essentielle : derrière les chiffres, les faits divers et les débats, il y a des vies, des mères, des enfants, des familles.

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Fraude aux allocations : quand les réseaux sociaux trahissent les bénéficiaires indélicats https://familysante.com/fraude-aux-allocations-quand-les-reseaux-sociaux-trahissent-les-beneficiaires-indelicats.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=fraude-aux-allocations-quand-les-reseaux-sociaux-trahissent-les-beneficiaires-indelicats https://familysante.com/fraude-aux-allocations-quand-les-reseaux-sociaux-trahissent-les-beneficiaires-indelicats.html#respond Tue, 10 Jun 2025 18:03:20 +0000 https://familysante.com/?p=8167 En France comme à l’étranger, la lutte contre la fraude sociale s’intensifie. Grâce à des moyens de contrôle de plus en plus performants, les autorités parviennent aujourd’hui à débusquer des abus qui, autrefois, passaient inaperçus. L’histoire récente de Sara Morris, une quinquagénaire britannique, illustre parfaitement cette réalité. Une allocation pour handicap sévère… et des courses […]

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En France comme à l’étranger, la lutte contre la fraude sociale s’intensifie. Grâce à des moyens de contrôle de plus en plus performants, les autorités parviennent aujourd’hui à débusquer des abus qui, autrefois, passaient inaperçus. L’histoire récente de Sara Morris, une quinquagénaire britannique, illustre parfaitement cette réalité.

Une allocation pour handicap sévère… et des courses à pied

Diagnostiquée en 2005 d’une sclérose en plaques, Sara Morris percevait depuis plusieurs années une allocation pour « handicap sévère ». En 2020, lors d’une visite médicale, elle avait déclaré être incapable de rester debout pour cuisiner ou même de sortir seule de sa salle de bains. Ces déclarations lui avaient permis d’obtenir une aide mensuelle de 2 292 livres sterling, soit environ 2 700 euros.

Mais derrière ce profil médical très dégradé se cachait une réalité bien différente. Membre active d’un club de course à pied, cette allocataire participait régulièrement à des compétitions de 5 et 10 kilomètres. Entre 2019 et 2022, elle a publié pas moins de 73 photos sur Facebook, la montrant en pleine activité sportive.

Les réseaux sociaux : un outil de détection inattendu

C’est justement en consultant sa page Facebook que les autorités ont commencé à douter de la véracité de ses déclarations. Une enquête discrète a été ouverte en 2023. Les enquêteurs ont filmé Sara Morris en train de courir, confirmant ainsi les soupçons.

En juillet 2024, elle a été condamnée à huit mois de prison pour fausse déclaration. Elle a tenté de se justifier en affirmant que son état de santé s’était amélioré depuis sa demande initiale, et que la course à pied l’aidait à mieux vivre sa maladie. Des explications qui n’ont pas suffi à convaincre la justice.

Une condamnation sévère mais exemplaire

Sur les 60 000 livres sterling qu’elle a perçues au total (environ 71 000 euros), 20 500 livres lui ont été versées à tort selon les autorités. Elle a désormais 28 jours pour rembourser cette somme, faute de quoi elle risque neuf mois de prison supplémentaires.

Une vigilance renforcée en France aussi

En France, la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) a elle aussi renforcé ses contrôles. Selon son directeur, Nicolas Grivel, les fraudes détectées ont augmenté de 20 % en 2024. Ce chiffre ne signifie pas nécessairement que les fraudes augmentent, mais plutôt que les moyens de détection sont plus efficaces.

Les fraudes les plus courantes concernent des situations individuelles : des déclarations de revenus incomplètes, des statuts familiaux dissimulés, ou encore des bénéficiaires qui ne déclarent pas vivre en couple. Bien que la fraude sociale reste marginale — estimée à moins de 3 % des montants versés — elle représente un manque à gagner important.

Une leçon pour tous : prudence et transparence

L’affaire de Sara Morris rappelle que l’honnêteté est essentielle, surtout lorsqu’il s’agit de prestations sociales. Les outils numériques, qui permettent à chacun de partager sa vie avec son entourage, peuvent aussi devenir une source précieuse d’information pour les autorités de contrôle.

Dans un contexte économique tendu, la lutte contre la fraude est une priorité pour garantir que les aides soient distribuées équitablement à ceux qui en ont réellement besoin.

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Une Allocation pour le Premier Enfant : Vers un Nouveau Tournant des Aides Familiales en France ? https://familysante.com/une-allocation-pour-le-premier-enfant-vers-un-nouveau-tournant-des-aides-familiales-en-france.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=une-allocation-pour-le-premier-enfant-vers-un-nouveau-tournant-des-aides-familiales-en-france https://familysante.com/une-allocation-pour-le-premier-enfant-vers-un-nouveau-tournant-des-aides-familiales-en-france.html#respond Fri, 06 Jun 2025 15:12:58 +0000 https://familysante.com/?p=8103 Pendant des années, les familles avec un enfant unique ont été les grandes oubliées de la politique familiale française. L’absence de certaines aides, souvent réservées aux familles avec plusieurs enfants, laissait un vide pour de nombreux foyers. Une proposition de loi déposée à l’Assemblée nationale pourrait bien changer la donne. Un Constat Alarmant : La […]

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Pendant des années, les familles avec un enfant unique ont été les grandes oubliées de la politique familiale française. L’absence de certaines aides, souvent réservées aux familles avec plusieurs enfants, laissait un vide pour de nombreux foyers. Une proposition de loi déposée à l’Assemblée nationale pourrait bien changer la donne.

Un Constat Alarmant : La Baisse de la Natalité

En 2024, la France a enregistré seulement 663 000 naissances, son plus bas niveau depuis 1945. Un recul de 2 % par rapport à 2023, selon les chiffres de l’INSEE. Cette chute du taux de natalité inquiète les autorités, qui cherchent désormais à stimuler ce que certains qualifient de « réarmement démographique ».

C’est dans ce contexte que la proposition d’une nouvelle aide pour les parents d’un premier enfant a été présentée. L’objectif est clair : encourager les Français à fonder une famille, même s’il ne s’agit que d’un enfant, en allégeant un peu plus le coût financier que cela représente.

Une Aide Mensuelle pour les Familles avec un Seul Enfant

Selon les premiers éléments dévoilés, cette aide prendrait la forme d’une allocation mensuelle versée directement sur le compte bancaire des parents. Le montant pourrait atteindre jusqu’à 75 euros par mois, avec un système dégressif basé sur les revenus :

  • 75 euros pour les foyers modestes
  • 38 euros pour les familles de la tranche moyenne
  • 19 euros pour les foyers les plus aisés

L’enjeu est de combler un vide entre deux aides existantes : la prestation d’accueil du jeune enfant, qui s’arrête aux trois ans de l’enfant, et l’allocation de rentrée scolaire, qui ne commence qu’à six ans. Actuellement, cette tranche d’âge (3-6 ans) est en effet dépourvue de soutien spécifique.

Si elle est adoptée, cette nouvelle mesure pourrait bénéficier à environ 3,5 millions de familles.

Une Initiative Critiquée pour Son Coût

Mais cette allocation fait déjà l’objet de critiques, notamment en raison de son coût estimé à 3,6 milliards d’euros par an. Une somme jugée difficile à mobiliser dans le contexte budgétaire actuel.

Le sociologue Julien Damon, invité sur le plateau de RMC, résume la tension autour de cette proposition : « C’est infinançable », affirme-t-il. Il nuance toutefois en reconnaissant que « créer une allocation pour le premier enfant n’est pas une idée absurde ». Il suggère même des pistes de financement, comme rendre l’aide imposable ou réajuster d’autres prestations destinées aux familles nombreuses.

Une Réforme Qui Pose Question

Derrière cette proposition se pose une question fondamentale : l’incitation financière suffit-elle à inverser la tendance démographique ? Donner naissance à un enfant est une décision complexe, influencée par des facteurs économiques, sociaux, professionnels, mais aussi personnels. Les aides financières peuvent faciliter cette décision, mais elles ne sauraient, à elles seules, la provoquer.

Cette proposition de loi, si elle est adoptée, représenterait néanmoins une reconnaissance importante pour les familles avec un enfant unique, longtemps laissées de côté. Elle marquerait aussi un tournant dans la politique familiale française, qui pourrait devenir plus inclusive et adaptée aux réalités contemporaines.

Reste à suivre les débats parlementaires et les arbitrages budgétaires à venir. Une chose est certaine : cette initiative relance le débat sur le rôle de l’État dans le soutien à la parentalité.

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La France légalise l’aide à mourir : une avancée ou un glissement inquiétant ? https://familysante.com/la-france-legalise-laide-a-mourir-une-avancee-ou-un-glissement-inquietant.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=la-france-legalise-laide-a-mourir-une-avancee-ou-un-glissement-inquietant https://familysante.com/la-france-legalise-laide-a-mourir-une-avancee-ou-un-glissement-inquietant.html#respond Thu, 29 May 2025 09:00:16 +0000 https://familysante.com/?p=7971 C’est un moment historique qui s’est joué cette semaine à l’Assemblée nationale. Après des années de débats et de polémiques, les députés ont adopté un texte de loi légalisant l’aide à mourir en France, incluant le suicide assisté et l’euthanasie. Une décision majeure, présentée comme un « nouveau modèle français de la fin de vie […]

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C’est un moment historique qui s’est joué cette semaine à l’Assemblée nationale. Après des années de débats et de polémiques, les députés ont adopté un texte de loi légalisant l’aide à mourir en France, incluant le suicide assisté et l’euthanasie. Une décision majeure, présentée comme un « nouveau modèle français de la fin de vie » par ses défenseurs, mais perçue comme une rupture anthropologique et une mise en danger des plus vulnérables par ses détracteurs.

Un vote largement approuvé mais controversé

La loi a été votée en deux temps : d’abord une proposition visant à renforcer les soins palliatifs (560 voix pour, 0 contre), ensuite une proposition ouvrant l’accès à l’aide active à mourir (305 voix pour, 199 contre). Cette adoption marque un tournant : pour la première fois, le Code de la santé publique inscrit explicitement la possibilité d’une aide à mourir.

Le climat des débats, bien que globalement apaisé, a révélé des divisions profondes. Certains élus ont exprimé leurs réserves, notamment sur la question du « délit d’entrave », qui prévoit jusqu’à deux ans de prison et 30 000 euros d’amende pour toute personne qui tenterait d’empêcher un suicide assisté ou une euthanasie. Une mesure jugée excessive par certains, qui y voient une atteinte au droit d’exprimer des doutes ou de proposer des alternatives à une personne en souffrance.

Des critères d’accès stricts mais critiqués

Pour accéder à l’aide à mourir, le texte impose cinq conditions : être majeur, de nationalité française, souffrir d’une affection grave et incurable, être en phase avancée ou terminale, et éprouver des souffrances physiques ou psychologiques insupportables. Il faut aussi être capable d’exprimer sa volonté de façon libre et éclairée.

Ces critères, bien qu’encadrés, sont jugés à la fois trop restrictifs par certains militants du droit à mourir dans la dignité, et trop flous par d’autres, notamment des soignants qui alertent sur le risque d’un glissement progressif vers des pratiques plus larges.

Un « nouveau modèle » ou un abandon ?

Pour les partisans de la loi, comme l’Association pour le droit de mourir dans la dignité (ADMD), cette avancée offre enfin une réponse aux situations de souffrance extrême et permet de choisir une mort dans la dignité. Mais des voix s’élèvent pour souligner les dangers d’un tel texte. Des collectifs de soignants, regroupés sous la bannière Soins de vie, dénoncent une loi « permissive », qui va au-delà des situations de fin de vie. Selon eux, la France renie le modèle construit par les lois Leonetti et Claeys-Leonetti, qui privilégiaient les soins palliatifs et le refus de l’acharnement thérapeutique, sans pour autant franchir la ligne rouge de l’interdit de donner la mort.

Et maintenant ?

La France entre dans une nouvelle ère, celle où l’aide à mourir devient un droit. Mais cette loi, encore jeune, soulève déjà de nombreuses questions : quelles garanties pour protéger les plus fragiles ? Quels soutiens aux soignants qui refuseraient de participer à ces actes ? Comment accompagner les familles ? Comment éviter une banalisation progressive de ce qui était jusqu’ici considéré comme un interdit fondamental ?

Au-delà des chiffres et des votes, ce débat sur la fin de vie nous interpelle tous, car il touche à ce que nous avons de plus intime : notre rapport à la souffrance, à la liberté, à la solidarité, et à la mort. Reste à savoir si cette loi, présentée comme un progrès, tiendra la promesse d’une fin de vie digne et apaisée, ou si elle ouvrira la voie à des dérives que certains redoutent déjà.

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Jusqu’à quel âge une femme a-t-elle besoin d’un homme dans sa vie ? https://familysante.com/jusqua-quel-age-une-femme-a-t-elle-besoin-dun-homme-dans-sa-vie.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=jusqua-quel-age-une-femme-a-t-elle-besoin-dun-homme-dans-sa-vie https://familysante.com/jusqua-quel-age-une-femme-a-t-elle-besoin-dun-homme-dans-sa-vie.html#respond Mon, 26 May 2025 09:16:02 +0000 https://familysante.com/?p=7951 C’est une question qu’on entend souvent, au détour d’une conversation entre amies, d’un café partagé ou d’un post sur les réseaux sociaux. Jusqu’à quand a-t-on besoin d’un homme dans sa vie ? Mais au fond, est-ce vraiment une question d’âge ? Besoin ou envie : deux réalités bien différentes Aujourd’hui, une femme peut tout faire […]

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C’est une question qu’on entend souvent, au détour d’une conversation entre amies, d’un café partagé ou d’un post sur les réseaux sociaux. Jusqu’à quand a-t-on besoin d’un homme dans sa vie ? Mais au fond, est-ce vraiment une question d’âge ?

Besoin ou envie : deux réalités bien différentes

Aujourd’hui, une femme peut tout faire : travailler, voyager, prendre soin d’elle-même, élever ses enfants, gérer son foyer. L’époque où il fallait un homme pour « ouvrir un pot de confiture » ou « porter des cartons » est révolue. Mais ce qui ne se remplace pas, c’est le lien, la complicité, ce sentiment d’avoir une place unique auprès de quelqu’un.

Encore faut-il que cet « autre » sache apporter cela. Parce qu’au fond, mieux vaut être seule que mal accompagnée.

Un homme peut être un soutien… ou un poids

Les priorités évoluent avec le temps. À 20 ans, on cherche peut-être à être choisie, à se sentir aimée. À 40, 60 ou 70 ans, on apprend à choisir. Et ça, c’est une vraie liberté.

Certaines femmes ressentent encore ce besoin d’un lien amoureux, d’une tendresse partagée. D’autres savourent leur indépendance, leur rythme, leur tranquillité. Et toutes ces façons de vivre sont valides.

Seule ou libre ? Tout dépend du regard qu’on porte

La solitude effraie certaines, alors qu’elle apaise d’autres. Certaines voient un appartement vide et pensent : « Personne ne m’attend ». D’autres, au contraire, savourent leur liberté : « Je peux enfin profiter de mon calme ».

Ce n’est pas l’âge qui change tout, mais l’état d’esprit.

A-t-on besoin d’un homme à un moment donné ?

Parfois, oui. Pour un geste tendre, une attention, une présence réconfortante. Mais cet amour peut aussi venir d’une amie, d’un enfant devenu adulte, d’un frère, d’une sœur ou même d’un voisin bienveillant.

Et parfois non. Parce que certaines présences épuisent plus qu’elles ne réconfortent. Parce qu’il y a des silences plus lourds à deux que seule.

Le choix vous appartient

Chaque femme a son propre rythme, sa propre énergie, ses propres besoins. Il n’y a pas de modèle unique. Certaines s’épanouissent dans le partage, d’autres dans la solitude. Ce qui compte, c’est de se respecter et d’écouter ce qui nous fait du bien.

Une femme complète n’attend pas sa « moitié »

Avec le temps, on apprend à dire non : non aux relations à sens unique, non aux silences pesants, non aux compromis qui nous éloignent de nous-mêmes. Si un homme entre dans cette vie choisie, il est un enrichissement, pas une nécessité.

Jusqu’à quel âge a-t-on besoin d’un homme ?

Jusqu’à 100 ans, si l’amour est là. Jusqu’à 30, si on choisit un autre chemin. Ou peut-être jamais, si le bonheur se trouve dans un silence paisible, un chat qui ronronne et une tasse de thé chaud.

La vraie réponse ? Tant que VOUS en avez envie. Ni plus, ni moins. Et ce choix-là, quel qu’il soit, mérite tout le respect du monde.

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Apnée du sommeil : Ces signes qui doivent vous alerter avant qu’il ne soit trop tard https://familysante.com/apnee-du-sommeil-ces-signes-qui-doivent-vous-alerter-avant-quil-ne-soit-trop-tard.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=apnee-du-sommeil-ces-signes-qui-doivent-vous-alerter-avant-quil-ne-soit-trop-tard https://familysante.com/apnee-du-sommeil-ces-signes-qui-doivent-vous-alerter-avant-quil-ne-soit-trop-tard.html#respond Wed, 21 May 2025 10:20:23 +0000 https://familysante.com/?p=7928 L’apnée du sommeil est un trouble encore trop souvent sous-estimé. Pourtant, elle peut avoir de lourdes conséquences sur la santé si elle n’est pas diagnostiquée et traitée à temps. Ce syndrome, qui touche aussi bien les hommes que les femmes, consiste en des arrêts involontaires de la respiration pendant le sommeil, parfois des dizaines voire […]

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L’apnée du sommeil est un trouble encore trop souvent sous-estimé. Pourtant, elle peut avoir de lourdes conséquences sur la santé si elle n’est pas diagnostiquée et traitée à temps. Ce syndrome, qui touche aussi bien les hommes que les femmes, consiste en des arrêts involontaires de la respiration pendant le sommeil, parfois des dizaines voire des centaines de fois par nuit. Ces pauses respiratoires perturbent le sommeil profond, essentiel à la récupération physique et mentale.

Pourquoi faut-il s’en inquiéter ?

L’apnée du sommeil n’est pas qu’un simple désagrément nocturne. Lorsqu’elle est ignorée, elle augmente le risque de maladies cardiovasculaires, d’hypertension, de diabète de type 2, de dépression et même d’accidents de la route dus à la somnolence diurne. Chez certains, elle peut réduire l’espérance de vie si elle n’est pas prise en charge.

Les signes qui doivent vous alerter

Il est parfois difficile de détecter soi-même l’apnée du sommeil, car les symptômes surviennent pendant la nuit. Cependant, certains signes sont révélateurs :

1. Ronflements forts et réguliers

Le ronflement est l’un des premiers signes d’alerte. S’il est fréquent, bruyant et entrecoupé de pauses silencieuses, il peut s’agir d’apnée du sommeil.

2. Sensation d’étouffement ou de suffocation la nuit

Les personnes atteintes peuvent se réveiller en sursaut, avec l’impression de manquer d’air. Cela peut survenir plusieurs fois par nuit sans qu’elles ne s’en souviennent toujours au réveil.

3. Somnolence excessive en journée

Malgré une durée de sommeil suffisante, vous vous sentez épuisé dès le matin, somnolent au volant ou au travail ? Cela peut indiquer un sommeil non réparateur à cause des micro-réveils causés par l’apnée.

4. Maux de tête au réveil

Un manque d’oxygène pendant la nuit peut entraîner des céphalées matinales. Si ces maux sont fréquents, il est bon d’en parler à un médecin.

5. Irritabilité, troubles de la concentration et de la mémoire

Le manque de sommeil profond altère les fonctions cognitives. Une humeur instable, des oublis répétés ou des difficultés à se concentrer peuvent être des signes indirects.

6. Troubles de la libido

Chez certains patients, l’apnée peut impacter la vie sexuelle à cause de la fatigue chronique et du dérèglement hormonal lié au manque de sommeil.

Qui est à risque ?

Certaines personnes sont plus susceptibles de développer une apnée du sommeil :

  • Les hommes de plus de 40 ans
  • Les personnes en surpoids ou obèses
  • Les personnes ayant un cou épais ou une mâchoire inférieure reculée
  • Les fumeurs et les consommateurs réguliers d’alcool
  • Les personnes ayant des antécédents familiaux

Que faire si vous avez un doute ?

La première étape est d’en parler à votre médecin. Il pourra vous orienter vers un spécialiste du sommeil ou prescrire une polysomnographie, un examen qui enregistre votre respiration pendant la nuit. Si un diagnostic est posé, plusieurs solutions existent :

  • Perte de poids, si nécessaire
  • Appareil à pression positive continue (PPC), très efficace
  • Orthèses dentaires dans les formes modérées
  • Chirurgie, dans certains cas particuliers

En conclusion

L’apnée du sommeil n’est pas une fatalité, mais elle ne doit pas être ignorée. Reconnaître les signes précoces, consulter rapidement et suivre un traitement adapté permet de retrouver un sommeil réparateur, une meilleure qualité de vie et de prévenir des complications graves. Ne laissez pas ce trouble ruiner vos nuits et menacer votre santé. Soyez attentif, pour vous et pour vos proches.


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Décès de Daniel Bilalian : une figure emblématique du journalisme s’éteint à 78 ans https://familysante.com/deces-de-daniel-bilalian-une-figure-emblematique-du-journalisme-seteint-a-78-ans.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=deces-de-daniel-bilalian-une-figure-emblematique-du-journalisme-seteint-a-78-ans https://familysante.com/deces-de-daniel-bilalian-une-figure-emblematique-du-journalisme-seteint-a-78-ans.html#respond Thu, 15 May 2025 08:05:10 +0000 https://familysante.com/?p=7883 Daniel Bilalian, l’un des visages les plus familiers de l’information télévisée en France, est décédé à l’âge de 78 ans. Journaliste chevronné, il a marqué des générations de téléspectateurs en présentant les journaux télévisés de 13 heures et de 20 heures sur France Télévisions. Entré à la télévision publique dans les années 1970, il s’est […]

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Daniel Bilalian, l’un des visages les plus familiers de l’information télévisée en France, est décédé à l’âge de 78 ans. Journaliste chevronné, il a marqué des générations de téléspectateurs en présentant les journaux télévisés de 13 heures et de 20 heures sur France Télévisions.

Entré à la télévision publique dans les années 1970, il s’est imposé au fil des décennies comme une référence du journalisme audiovisuel. En plus de ses fonctions de présentateur, il a été reporter, avant de prendre la tête du service des sports de France Télévisions, qu’il a dirigé pendant quinze ans.

Daniel Bilalian avait récemment assisté à la cérémonie d’hommage à Jean-Pierre Elkabbach en octobre 2023, autre grande figure du paysage médiatique français. Son décès marque la fin d’un chapitre important du journalisme télévisé.

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Grandir sans affection : 9 traces silencieuses à l’âge adulte https://familysante.com/grandir-sans-affection-9-traces-silencieuses-a-lage-adulte.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=grandir-sans-affection-9-traces-silencieuses-a-lage-adulte https://familysante.com/grandir-sans-affection-9-traces-silencieuses-a-lage-adulte.html#respond Wed, 23 Apr 2025 07:40:56 +0000 https://familysante.com/?p=7706 L’enfance est le socle sur lequel repose toute notre vie émotionnelle. Si elle est marquée par la tendresse, l’écoute et la sécurité affective, elle permet à l’adulte de se construire avec confiance. Mais lorsque ces éléments essentiels sont absents ou limités, les conséquences peuvent être profondes et durables. Même si les besoins matériels ont été […]

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L’enfance est le socle sur lequel repose toute notre vie émotionnelle. Si elle est marquée par la tendresse, l’écoute et la sécurité affective, elle permet à l’adulte de se construire avec confiance. Mais lorsque ces éléments essentiels sont absents ou limités, les conséquences peuvent être profondes et durables. Même si les besoins matériels ont été comblés, le manque d’affection laisse des empreintes invisibles, qui influencent nos choix, nos relations et notre rapport à nous-mêmes.

Voici neuf caractéristiques que l’on retrouve fréquemment chez les adultes ayant grandi avec un déficit d’affection.

1. Une difficulté à exprimer ses émotions

Lorsqu’un enfant n’a pas été encouragé à identifier et verbaliser ses émotions, il devient souvent un adulte réservé sur le plan émotionnel. Il préfère le silence ou la colère aux confidences, convaincu que montrer ce qu’il ressent le rend vulnérable.

2. Une indépendance poussée à l’extrême

Pour certains, ne pas avoir été soutenu dans l’enfance revient à croire que tout doit être accompli seul. Cela se traduit par une grande difficulté à demander de l’aide, une tendance à tout porter sur ses épaules et une méfiance vis-à-vis de la dépendance affective.

3. Une estime de soi fragile

Quand l’amour inconditionnel fait défaut, l’enfant se sent souvent indigne d’être aimé. À l’âge adulte, ce sentiment enfoui engendre une faible estime de soi, une difficulté à se positionner et une impression constante de ne jamais être “assez”.

4. Un besoin constant de reconnaissance

Certains adultes recherchent intensément la validation extérieure. Ce n’est pas de l’orgueil, mais une tentative de combler un vide affectif ancien. Les compliments, les regards positifs et la reconnaissance deviennent des pansements temporaires sur une blessure plus ancienne.

5. Un regard pessimiste sur la vie

Sans mots doux ni encouragements, l’enfant apprend à se méfier de tout. À l’âge adulte, cette méfiance devient un filtre : le monde semble menaçant, les réussites éphémères, et les relations fragiles.

6. Un humour comme bouclier

Le sarcasme et les remarques piquantes deviennent une forme de protection. Difficile d’avouer ses fragilités, alors on les transforme en blagues. Cet humour cache souvent une grande sensibilité et la peur d’être rejeté.

7. Des relations amoureuses instables ou complexes

L’amour, quand il a été absent ou conditionnel, devient source d’anxiété. Certains adultes alternent entre besoin d’intimité et peur d’être blessés. Résultat : des relations en dents de scie, une difficulté à s’engager ou une tendance à saboter inconsciemment les liens naissants.

8. Un besoin profond de prendre soin des autres

À défaut d’avoir été nourri affectivement, certains adultes deviennent extrêmement généreux sur le plan émotionnel. Ils écoutent, soutiennent, protègent. C’est une belle qualité, mais elle peut les mener à l’épuisement émotionnel s’ils oublient de se préserver.

9. Une instabilité dans les engagements

Le manque de repères affectifs peut entraîner une difficulté à tenir ses engagements ou à poser des limites claires. Il ne s’agit pas d’un manque de sérieux, mais d’une absence de modèles solides dans l’enfance pour construire des fondations durables.

Comprendre, c’est déjà se reconstruire

Reconnaître ces traits en soi n’est pas un verdict, c’est une invitation à la guérison. L’enfance marque, mais elle ne détermine pas tout. Il est toujours possible de déconstruire les schémas anciens, de renforcer son estime de soi et d’apprendre à accueillir ses émotions avec douceur.

Se reconstruire demande du temps, de la patience, et parfois un accompagnement. Mais chaque pas compte. Et surtout, il n’est jamais trop tard pour s’apprendre à s’aimer.

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Adieu aux maisons de retraite ! La nouvelle tendance : la colocation entre amis https://familysante.com/adieu-aux-maisons-de-retraite-la-nouvelle-tendance-la-colocation-entre-amis-1.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=adieu-aux-maisons-de-retraite-la-nouvelle-tendance-la-colocation-entre-amis-1 https://familysante.com/adieu-aux-maisons-de-retraite-la-nouvelle-tendance-la-colocation-entre-amis-1.html#respond Fri, 11 Apr 2025 18:35:43 +0000 https://familysante.com/?p=7621 Pendant des décennies, l’image de la retraite rimait avec maisons médicalisées, solitude ou résidences spécialisées. Mais aujourd’hui, une nouvelle vague redessine la manière dont les seniors envisagent leur avenir : la colocation entre amis. Vieillir autrement : ensemble, tout simplement Inspirée par les valeurs de solidarité, de convivialité et d’indépendance, cette nouvelle tendance séduit de […]

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Pendant des décennies, l’image de la retraite rimait avec maisons médicalisées, solitude ou résidences spécialisées. Mais aujourd’hui, une nouvelle vague redessine la manière dont les seniors envisagent leur avenir : la colocation entre amis.

Vieillir autrement : ensemble, tout simplement

Inspirée par les valeurs de solidarité, de convivialité et d’indépendance, cette nouvelle tendance séduit de plus en plus de retraités en quête d’un cadre de vie humain et stimulant. Plutôt que de finir leurs jours dans l’isolement ou dans une structure impersonnelle, nombreux sont ceux qui choisissent de vivre à plusieurs, dans une maison partagée avec des amis ou des personnes partageant les mêmes valeurs.

Le principe est simple : mutualiser un logement spacieux, répartir les frais, se soutenir au quotidien, et surtout, ne pas vieillir seul.

Pourquoi cette tendance séduit-elle ?

  1. Un quotidien plus joyeux et dynamique
    Les échanges, les repas partagés, les projets communs ou même les fous rires… la colocation favorise un environnement chaleureux qui stimule le moral.
  2. Une alternative économique
    Le coût des maisons de retraite ou des résidences spécialisées est souvent élevé. Partager un logement permet de diviser les dépenses tout en profitant d’un cadre agréable.
  3. Préserver son autonomie
    Contrairement aux établissements médicalisés, la colocation offre un cadre de liberté. Chacun reste maître de son rythme et de ses choix.
  4. Un soutien quotidien
    Même sans être aidants professionnels, les colocataires peuvent s’entraider en cas de petit souci de santé, de coup de blues ou simplement pour aller faire des courses.

Un mouvement qui prend de l’ampleur

En France, en Belgique, mais aussi en Tunisie, des initiatives fleurissent. Des plateformes en ligne facilitent la mise en relation entre seniors intéressés par cette forme de vie communautaire. Certains vont même plus loin : des groupes d’amis achètent ensemble une maison pour la transformer à leur goût, entre espace privé et lieux de vie commune.

Des modèles comme les “Babayagas” en France (des habitats autogérés créés par et pour des femmes retraitées) montrent la voie et inspirent des projets similaires un peu partout.

Est-ce vraiment pour tout le monde ?

Pas forcément. La vie en communauté demande un minimum de compatibilité et de respect mutuel. Il est important d’établir des règles de base, de bien choisir ses colocataires, et surtout, d’avoir l’envie de partager.

Mais pour ceux qui redoutent la solitude, qui veulent rompre avec l’individualisme ambiant et vivre leur retraite avec le sourire, la colocation entre amis est une vraie bouffée d’air frais.


En conclusion

Vieillir ne signifie plus forcément s’isoler. Grâce à la colocation entre amis, les seniors peuvent continuer à vivre entourés, dans un environnement humain, bienveillant et épanouissant. Peut-être qu’un jour, on dira avec nostalgie : « Tu te souviens des maisons de retraite ?”.

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Papillon Violet en Maternité : Ce Que Vous Devez Savoir https://familysante.com/papillon-violet-en-maternite-ce-que-vous-devez-savoir.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=papillon-violet-en-maternite-ce-que-vous-devez-savoir https://familysante.com/papillon-violet-en-maternite-ce-que-vous-devez-savoir.html#respond Wed, 09 Apr 2025 13:26:27 +0000 https://familysante.com/?p=7600 Dans l’univers feutré des maternités, là où les premiers cris résonnent comme des chants d’espoir, il existe parfois un silence que peu perçoivent. Un silence empreint de douleur, d’amour, et de souvenirs. C’est dans ce silence qu’un petit symbole a vu le jour : un papillon violet. Discret, presque invisible au premier regard… mais porteur […]

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Dans l’univers feutré des maternités, là où les premiers cris résonnent comme des chants d’espoir, il existe parfois un silence que peu perçoivent. Un silence empreint de douleur, d’amour, et de souvenirs. C’est dans ce silence qu’un petit symbole a vu le jour : un papillon violet. Discret, presque invisible au premier regard… mais porteur d’un message puissant.

Une Naissance, Un Deuil

Le papillon violet a émergé d’une histoire profondément humaine, celle de Millie Smith, une jeune maman qui avait donné naissance à des jumelles prématurées. L’une d’elles, Skye, souffrait d’une malformation incurable et n’a vécu que quelques heures. Quelques heures précieuses, hors du temps.

Mais c’est une phrase banale, lancée par une autre maman dans la maternité, qui a bouleversé Millie : « Tu as de la chance de n’avoir qu’un seul bébé. » Une remarque sans malveillance, mais dévastatrice. Car comment expliquer, en quelques mots, qu’un autre bébé a existé, a vécu, a été aimé… avant de partir ?

C’est là que l’idée du papillon violet a germé.

Le Pouvoir D’un Symbole

Le papillon violet, apposé sur un berceau ou une couveuse, signifie qu’un bébé a perdu un jumeau, une jumelle ou un autre multiple à la naissance ou peu après. Ce symbole n’est pas là pour susciter la pitié. Il est là pour inviter à la compassion, à la retenue, à la douceur.

Grâce à lui, les soignants et les visiteurs peuvent adapter leurs mots, éviter les maladresses, et offrir un regard plus tendre à ces parents qui naviguent entre la joie d’un enfant vivant et la peine immense d’un autre disparu.

Une Initiative Qui Rayonne

D’abord implanté à l’hôpital de Kingston, au Royaume-Uni, le papillon violet a depuis voyagé bien au-delà des frontières. Grâce à la Skye High Foundation, fondée par Millie Smith en hommage à sa fille, des milliers d’hôpitaux dans le monde arborent désormais ce symbole.

Aux côtés de ce mouvement, le Purple Butterfly Project forme les professionnels de santé à mieux accompagner les familles endeuillées après une naissance multiple, renforçant ainsi une culture de l’écoute et du respect dans les services de maternité.

Une Mémoire en Douceur

Le papillon violet ne fait pas de bruit. Il ne s’explique pas à voix haute. Il existe simplement, comme une main tendue, comme un geste de tendresse. Il rend hommage à ces petits êtres qui n’auront vécu que quelques heures, quelques minutes parfois, mais qui laissent une empreinte éternelle dans le cœur de leurs parents.

En le voyant, n’ayez pas peur du silence. Il dit bien plus que mille mots.


En Résumé

Si un jour, au détour d’un couloir d’hôpital, vos yeux croisent un petit papillon violet posé sur un berceau, souvenez-vous : ce n’est pas un simple autocollant. C’est une histoire d’amour. C’est un adieu trop tôt. C’est une invitation à la délicatesse, dans un monde qui oublie trop souvent combien les cœurs sont fragiles.

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