Dans le vaste monde d’internet, les tendances les plus étranges peuvent parfois devenir virales. Prenez par exemple l’histoire de Cheng Wing Yee, plus connue sous le nom de Kiaraakitty, une influenceuse qui a trouvé une manière plutôt inhabituelle de gagner de l’argent supplémentaire.
Alors que la plupart d’entre nous préférerions éviter les flatulences, il semblerait qu’il existe bel et bien un marché pour les gaz intestinaux. Sur son site web, Kiaraakitty propose à la vente des bocaux de ses propres flatulences, allant jusqu’à 300 dollars le bocal.
Cette idée peut sembler surprenante voire déconcertante, mais apparemment, elle a trouvé son public. En effet, au moment de la rédaction de cet article, cette jeune femme de 21 ans a annoncé être en rupture de stock de ses fameux bocaux de flatulences.
Cependant, les flatulences ne sont pas le seul produit insolite que Kiaraakitty propose à la vente. Cette star d’Instagram et d’OnlyFans propose également de l’eau de bain usagée, des sous-vêtements portés, des bas usagés et même des bikinis portés, le tout à des prix variés.
Parmi tous ces produits, l’eau de bain usagée est de loin la plus chère, atteignant la somme vertigineuse de 500 dollars.
Bien que le business de Kiaraakitty soit indéniablement de niche, elle n’est pas la première à se lancer dans la vente de flatulences. En effet, Stephanie Matto, une star de l’émission « 90 Day Fiancé », aurait gagné pas moins de 200 000 dollars en vendant des bocaux de ses propres flatulences.
Cependant, cette dévotion à son business a eu des conséquences pour Stephanie, qui a fini par se retrouver à l’hôpital. Pensant initialement faire un AVC, elle a réalisé que ses symptômes étaient en réalité dus à des douleurs causées par des gaz intestinaux, résultat d’un régime riche en fibres, propice à la production de flatulences.
Suite à cette mésaventure, Stephanie a décidé de réorienter son activité en vendant des flatulences sous forme de NFT (jetons non fongibles), plutôt que sous forme de bocaux réels. Expliquant sa décision, elle a déclaré : « C’était vers la fin de mon activité de vente de bocaux de flatulences en masse que j’ai commencé à réaliser l’impact sur mon corps et ma santé. J’ai pensé que peut-être, numériser les flatulences et les mettre dans le métavers était le meilleur moyen de continuer à les vendre. »
Depuis lors, Stephanie a lancé sa propre plateforme appelée Unfiltrd, qui promet d’offrir « la manière la plus amusante, excitante et innovante de rapprocher les fans et les créateurs ».
Espérons que, contrairement à Stephanie, le business des flatulences de Kiaraakitty n’aura pas de conséquences néfastes sur sa santé.