Archives des Séniors - Family santé https://familysante.com/category/seniors Santé, famille, bien être Wed, 25 Jun 2025 09:01:32 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.2 https://familysante.com/wp-content/uploads/2016/12/cropped-Wear-32x32.png Archives des Séniors - Family santé https://familysante.com/category/seniors 32 32 Elle a soufflé ses bougies seule… jusqu’à ce qu’on frappe à sa porte https://familysante.com/elle-a-souffle-ses-bougies-seule-jusqua-ce-quon-frappe-a-sa-porte.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=elle-a-souffle-ses-bougies-seule-jusqua-ce-quon-frappe-a-sa-porte https://familysante.com/elle-a-souffle-ses-bougies-seule-jusqua-ce-quon-frappe-a-sa-porte.html#respond Wed, 25 Jun 2025 09:01:30 +0000 https://familysante.com/?p=8384 On imagine souvent un anniversaire comme un moment de joie partagée : des rires, des appels, des messages, une table entourée de visages aimés. Mais pour certaines personnes, ce jour si spécial peut résonner dans un silence troublant. C’est dans ce vide que commence l’histoire de Julia. Un gâteau pour soi… et pour ne pas […]

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On imagine souvent un anniversaire comme un moment de joie partagée : des rires, des appels, des messages, une table entourée de visages aimés. Mais pour certaines personnes, ce jour si spécial peut résonner dans un silence troublant. C’est dans ce vide que commence l’histoire de Julia.

Un gâteau pour soi… et pour ne pas oublier

Ce matin-là, Julia s’est réveillée seule. Pas un message, pas un appel. Juste le calme. Elle n’a pas attendu que quelqu’un pense à elle. Elle s’est levée, a enfilé une robe simple, puis s’est offert un petit gâteau à la vanille, décoré de fraises fraîches. Une inscription étrange y figurait : « Joyeux 97e anniversaire, M. L. ».

Pourquoi ce message ? Était-ce une erreur, un clin d’œil à une vieille histoire ou une manière symbolique de détourner la douleur ? Julia ne l’a jamais expliqué. Mais elle a soufflé la bougie. Pour elle, et peut-être aussi pour tous ceux qui n’étaient pas là.

Un passé suspendu, un silence trop long

Cela faisait cinq ans qu’elle n’avait plus de nouvelles de son fils, Eliot. Une dispute, un mot trop dur, et le fil s’était rompu. Ce jour-là, malgré tout, Julia a envoyé une photo du gâteau à son ancien numéro. Pas de long discours, juste deux mots : « Joyeux anniversaire ».

Le message est resté sans réponse. Mais parfois, derrière le silence, quelque chose commence à bouger.

Une porte qui s’ouvre

En fin d’après-midi, quelqu’un frappe doucement à sa porte. Julia ouvre, le souffle suspendu. Une jeune femme, les traits familiers, se tient là : « Je suis Nora… la fille d’Eliot. »

Elle a trouvé le numéro de Julia dans le téléphone de son père. Elle a vu le message, la photo, et elle a compris qu’il était temps. Qu’il fallait faire le premier pas, même si ce n’était pas à elle de le faire.

Elle n’est pas venue les mains vides. Un simple sandwich à la dinde et à la moutarde, le préféré de Julia. Un détail. Mais un détail qui change tout. Parce qu’il dit : « J’ai voulu te connaître. »

Des mots pour recoller les morceaux

Autour de la petite table, les silences sont devenus des mots. Julia a parlé du passé, des regrets, des malentendus. Nora a écouté, sans juger. Elles n’ont pas tout réglé. Mais elles ont partagé. Ce qui est, parfois, déjà immense.

Avant de partir, Nora a demandé : « Je peux revenir ? »
Julia a souri : « Tu ferais bien. »

Et parfois, ça suffit

Le lendemain, un message. Cette fois, c’est Eliot : il s’inquiète pour sa fille. Julia lui répond : « Elle est merveilleuse. »

Quelques jours plus tard, une autre visite. C’est lui. Le regard un peu fuyant, les mots encore emmêlés, mais il est là. Rien n’est effacé. Rien n’est résolu. Mais c’est un début.

Et parfois, un début, c’est tout ce dont on a besoin.


Parce qu’un simple message peut tout changer

Cette histoire n’est pas seulement celle de Julia. C’est celle de tant de liens brisés qu’on croit irréparables. Et pourtant. Il suffit parfois d’un message, d’une visite, d’un sandwich préparé avec attention pour que l’amour refasse surface. Fragile. Hésitant. Mais bien réel.

Il n’est jamais trop tard pour se retrouver. Il suffit d’oser frapper à la porte.

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Ce couple passe sa retraite en croisière : une alternative étonnante (et économique) à l’Ehpad https://familysante.com/ce-couple-passe-sa-retraite-en-croisiere-une-alternative-etonnante-et-economique-a-lehpad.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=ce-couple-passe-sa-retraite-en-croisiere-une-alternative-etonnante-et-economique-a-lehpad https://familysante.com/ce-couple-passe-sa-retraite-en-croisiere-une-alternative-etonnante-et-economique-a-lehpad.html#respond Mon, 16 Jun 2025 18:29:23 +0000 https://familysante.com/?p=8260 Et si, au lieu de finir ses vieux jours dans une maison de retraite, on choisissait plutôt de vivre… en croisière ? Cela peut sembler irréaliste, voire excentrique, et pourtant, c’est bel et bien le choix qu’a fait un couple australien. Marty et Jess Ansen ont troqué le confort d’un établissement médicalisé pour une cabine […]

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Et si, au lieu de finir ses vieux jours dans une maison de retraite, on choisissait plutôt de vivre… en croisière ? Cela peut sembler irréaliste, voire excentrique, et pourtant, c’est bel et bien le choix qu’a fait un couple australien. Marty et Jess Ansen ont troqué le confort d’un établissement médicalisé pour une cabine de bateau, et selon eux, cela leur coûte moins cher. Retour sur une décision de vie aussi surprenante que stratégique.

Le coût croissant des maisons de retraite

En France comme ailleurs, les frais liés à l’hébergement des personnes âgées ne cessent d’augmenter. D’après un rapport récent de la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie (CNSA), le coût moyen d’une chambre en Ehpad a augmenté de 4,4 % en 2023. Pour une chambre individuelle non habilitée à l’aide sociale, le tarif journalier moyen dépasse désormais les 95 euros. À Paris, il peut même grimper jusqu’à plus de 150 euros par jour.

Ces tarifs, bien qu’en partie pris en charge par l’Assurance maladie et les départements, représentent une charge importante pour les retraités et leurs familles. Et malgré ces sommes, la qualité de vie en maison de retraite fait parfois débat : manque de personnel, perte d’autonomie, isolement…

Une vie en mer : moins chère et plus plaisante

Face à ce constat, Marty et Jess Ansen ont pris une décision peu conventionnelle : enchaîner les croisières à temps plein. Depuis juin 2022, ils vivent à bord des navires de la compagnie Princess Cruises. En deux ans, ils ont déjà effectué 51 croisières consécutives. Pour eux, le calcul est simple : la croisière leur revient moins cher qu’un hébergement en maison de retraite tout en offrant un cadre de vie bien plus agréable.

Le couple explique qu’à bord, ils n’ont pas à se soucier du loyer, des courses, du ménage ou de la lessive. Tout est inclus, du service de chambre aux repas, en passant par les animations quotidiennes. En prime, chaque semaine leur apporte une nouvelle destination, de nouveaux visages et de nouvelles expériences.

Voyager sans renoncer à la stabilité

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, cette vie de nomades des mers n’exclut pas la routine. Marty et Jess ont même leurs habitudes, comme jouer quotidiennement au tennis de table ou suivre les animations régulières à bord. Ils bénéficient d’un service de qualité, d’un environnement sécurisé, et d’un rythme de vie adapté à leur âge.

Le couple insiste également sur l’ambiance paisible des navires, la gentillesse du personnel et l’aspect « tout compris » qui facilite le quotidien. Pour eux, cette solution est à la fois pratique, économique et enrichissante.

Une idée farfelue ou une vision d’avenir ?

Ce témoignage invite à repenser la façon dont nous envisageons la retraite. Bien sûr, une vie en croisière ne conviendra pas à tout le monde. Il faut une certaine autonomie, une bonne santé et l’envie d’explorer le monde. Mais il montre aussi qu’il existe des alternatives aux modèles traditionnels de fin de vie.

Dans un contexte où les coûts des Ehpad continuent d’augmenter et où de plus en plus de retraités cherchent des modes de vie actifs, ce type d’initiative pourrait bien inspirer d’autres seniors à sortir des sentiers battus.

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Gérard Jugnot déçu par sa retraite : un cri du cœur d’un monument du cinéma français https://familysante.com/gerard-jugnot-decu-par-sa-retraite-un-cri-du-coeur-dun-monument-du-cinema-francais.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=gerard-jugnot-decu-par-sa-retraite-un-cri-du-coeur-dun-monument-du-cinema-francais https://familysante.com/gerard-jugnot-decu-par-sa-retraite-un-cri-du-coeur-dun-monument-du-cinema-francais.html#respond Thu, 05 Jun 2025 10:45:48 +0000 https://familysante.com/?p=8076 À 74 ans, Gérard Jugnot n’a rien perdu de sa verve ni de son franc-parler. Invité de l’émission On refait la télé sur RTL, l’acteur populaire s’est confié sans détour sur un sujet qui touche de nombreux Français : la retraite. Et sa vision, teintée de déception et d’amertume, rappelle que même les figures emblématiques […]

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À 74 ans, Gérard Jugnot n’a rien perdu de sa verve ni de son franc-parler. Invité de l’émission On refait la télé sur RTL, l’acteur populaire s’est confié sans détour sur un sujet qui touche de nombreux Français : la retraite. Et sa vision, teintée de déception et d’amertume, rappelle que même les figures emblématiques du grand écran ne sont pas épargnées par un système qu’ils jugent parfois injuste.

“Une petite retraite par rapport à ce que j’ai donné”

Gérard Jugnot ne tourne pas autour du pot. Oui, il touche sa retraite. Non, elle ne correspond pas à ce qu’il aurait espéré. « Une petite retraite par rapport à ce que j’ai donné », déclare-t-il avec une pointe d’amertume. L’acteur, qui a marqué plusieurs générations avec ses rôles dans Les Bronzés, Le Père Noël est une ordure ou encore Les Choristes, estime que ses décennies de contribution à la culture et à l’économie françaises ne sont pas justement reconnues dans sa pension.

Les métiers de passion face à la retraite

Malgré son âge, Jugnot n’a pas l’intention de raccrocher. « Il faudra qu’on m’arrête », plaisante-t-il. Comme beaucoup d’artistes, il confie vivre son métier comme une passion, ce qui rend l’idée de retraite difficile à concevoir. « Dans les métiers de passion, la retraite correspond à la retraite de Russie, à la débâcle », dit-il avec cette ironie qui le caractérise.

Il reconnaît néanmoins la légitimité des revendications autour de la réforme : « Je peux comprendre que quelqu’un qui fasse un métier difficile ait envie de s’arrêter ». Mais il avoue ne pas tout saisir du système actuel, notamment le calcul des trimestres ou le débat autour de l’âge légal.

Continuer à travailler… parfois par obligation

« Les persistants », comme il les appelle, sont ces retraités qui continuent de travailler. Certains par choix, d’autres par nécessité. « Souvent, c’est parce que les gens sont obligés », affirme-t-il. Une situation qu’il juge paradoxale, puisqu’au-delà d’un certain âge, les cotisations ne profitent plus à celui qui les verse, mais uniquement au système global. Une manière détournée de souligner le manque de reconnaissance pour les carrières longues.

Le regard des autres et les clichés sur les artistes

L’acteur n’épargne pas non plus les idées reçues sur les comédiens. « Dans ce métier, on gagne bien sa vie, souvent », concède-t-il. Mais cela s’accompagne d’un regard parfois biaisé de la société. « Quand vous êtes au resto, les gens ont toujours tendance à dire : ‘Bah tiens, paye, toi, puisque tu as du pognon !' », déplore-t-il.

Et il ne manque pas de dénoncer un autre travers du milieu artistique : l’avarice. « Il y a des gens vraiment très, très radins. J’en connais, c’est terrible ! Des pinces, il y en a quand même pas mal », confie-t-il, sans langue de bois.

Une prise de parole qui résonne

Le témoignage de Gérard Jugnot rappelle que la retraite est une réalité complexe, même pour les personnalités publiques. Derrière les paillettes, les contrats et la notoriété, il y a aussi des hommes et des femmes qui se questionnent sur la valeur de leur travail et la reconnaissance d’une vie de labeur.

Plus qu’une simple confidence, ses propos soulignent l’importance de réformer un système qui doit rester à la fois juste, compréhensible et humain.

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À 82 ans, elle quitte tout pour un amour virtuel : quand l’escroquerie sentimentale détruit des familles https://familysante.com/a-82-ans-elle-quitte-tout-pour-un-amour-virtuel-quand-lescroquerie-sentimentale-detruit-des-familles.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=a-82-ans-elle-quitte-tout-pour-un-amour-virtuel-quand-lescroquerie-sentimentale-detruit-des-familles https://familysante.com/a-82-ans-elle-quitte-tout-pour-un-amour-virtuel-quand-lescroquerie-sentimentale-detruit-des-familles.html#respond Wed, 04 Jun 2025 11:01:55 +0000 https://familysante.com/?p=8047 Personne ne s’y attendait. Ni ses amis, ni son fils, ni même ses voisins. À 82 ans, Marie-José, une retraitée paisible vivant en Normandie, a quitté la France en septembre 2024 pour s’envoler en Côte d’Ivoire, rejoindre un homme rencontré sur Facebook. Un homme de 28 ans, qui se faisait initialement passer pour… Frédéric Lopez. […]

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Personne ne s’y attendait. Ni ses amis, ni son fils, ni même ses voisins. À 82 ans, Marie-José, une retraitée paisible vivant en Normandie, a quitté la France en septembre 2024 pour s’envoler en Côte d’Ivoire, rejoindre un homme rencontré sur Facebook. Un homme de 28 ans, qui se faisait initialement passer pour… Frédéric Lopez.

Derrière ce nom connu de la télévision française, se cachait en réalité Christ, un “brouteur” – terme utilisé pour désigner les cyber-escrocs spécialisés dans les arnaques sentimentales en ligne. Et derrière cette idylle virtuelle, se cache aujourd’hui un drame familial et humain qui illustre l’ampleur silencieuse d’un phénomène trop souvent sous-estimé.

Une relation née sur Facebook

Tout a commencé par une simple conversation en ligne. “Il prétendait être Frédéric Lopez, mais faisait des fautes à chaque phrase”, raconte Xavier, 61 ans, le fils de Marie-José. Rapidement, sa mère comprend qu’il ne s’agit pas du célèbre animateur. Mais l’homme ne cache pas la vérité bien longtemps : “Je ne suis pas Frédéric Lopez, mais j’aimerais continuer à discuter avec vous.”

Et Marie-José accepte. Peu à peu, la relation s’installe. Les appels se font quotidiens, les confidences intimes, les promesses tendres. Jusqu’au jour où elle prend une décision radicale : vendre une partie de ses biens, abandonner sa maison à Bois-Guillaume, en Normandie, et rejoindre Christ à Abidjan, en Côte d’Ivoire.

Le désespoir d’un fils impuissant

Xavier, lui, n’en revient pas. “On était très proches. On s’appelait tous les jours. Et soudainement, elle ne parlait plus que de cet homme, elle vivait sur sa tablette.” Malgré ses mises en garde et ses tentatives pour lui ouvrir les yeux, Marie-José reste sourde aux inquiétudes de son fils.

Et pendant ce temps, ses économies fondent : près de 100 000 euros auraient déjà été transférés à Christ. Pire encore, l’arnaqueur viserait désormais les assurances-vie de la retraitée. La maison familiale est laissée à l’abandon, menacée de squatteurs.

Face à l’inaction des autorités, Xavier a fini par déposer plainte pour “abus de faiblesse” et “escroquerie sur personne âgée”. Mais comme souvent dans ces affaires, la justice reste paralysée : Marie-José est majeure, et juridiquement libre de ses choix, même les plus destructeurs.

“J’ai le droit d’être heureuse”

Contactée par la presse, Marie-José ne voit pas où est le problème. “Je suis assez grande pour gérer mes affaires. Je suis attachée à Christ. J’ai le droit d’être heureuse”, affirme-t-elle calmement. Une réponse qui en dit long sur le pouvoir de persuasion et la manipulation psychologique que ces escrocs savent exercer sur leurs victimes.

Pour Xavier, le choc est immense. “Je ne reconnais plus ma mère. Cet homme a détruit notre famille.”

Un fléau qui prend de l’ampleur

L’histoire de Marie-José n’est pas un cas isolé. Des dizaines, peut-être des centaines de retraités tombent chaque année dans les filets d’arnaques sentimentales orchestrées depuis l’étranger. Les brouteurs exploitent la solitude, la vulnérabilité et le désir d’amour pour siphonner des comptes bancaires, briser des familles, et parfois ruiner des vies entières.

La justice a encore du mal à encadrer ces situations où la frontière entre le “choix personnel” et la manipulation est floue. Et pour les proches, c’est un véritable cauchemar juridique et affectif.


Comment protéger nos aînés ?

Cette affaire soulève une question brûlante : comment protéger les personnes âgées des dérives du numérique ?

Quelques pistes :

  • Dialoguer régulièrement avec ses proches et être à l’écoute de signes inhabituels.
  • Sensibiliser les seniors aux arnaques en ligne via des associations ou des campagnes d’information.
  • Mettre en place des protections juridiques (curatelle, tutelle) en cas de doute sur leur capacité de discernement.
  • Et surtout : ne pas minimiser l’impact émotionnel de ces escroqueries, qui vont bien au-delà de l’argent perdu.

Marie-José, aujourd’hui installée en Afrique avec son jeune compagnon, est peut-être convaincue d’avoir trouvé l’amour. Mais pour Xavier et tant d’autres familles brisées, l’histoire ne ressemble qu’à un terrible mirage.

Ne fermons pas les yeux. Car demain, cela pourrait toucher l’un de nos proches.

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Quand la lenteur coûte cher : l’histoire absurde d’une retraitée suisse sanctionnée pour conduite trop prudente https://familysante.com/quand-la-lenteur-coute-cher-lhistoire-absurde-dune-retraitee-suisse-sanctionnee-pour-conduite-trop-prudente.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=quand-la-lenteur-coute-cher-lhistoire-absurde-dune-retraitee-suisse-sanctionnee-pour-conduite-trop-prudente https://familysante.com/quand-la-lenteur-coute-cher-lhistoire-absurde-dune-retraitee-suisse-sanctionnee-pour-conduite-trop-prudente.html#respond Tue, 03 Jun 2025 07:17:47 +0000 https://familysante.com/?p=8018 En matière de sécurité routière, les excès de vitesse sont régulièrement pointés du doigt. Mais rouler trop lentement peut aussi coûter cher, comme en témoigne l’histoire pour le moins étonnante de Bernadette Bandelier, une retraitée suisse de 65 ans, lourdement sanctionnée pour avoir… conduit trop lentement dans les virages d’un col de montagne. Une amende […]

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En matière de sécurité routière, les excès de vitesse sont régulièrement pointés du doigt. Mais rouler trop lentement peut aussi coûter cher, comme en témoigne l’histoire pour le moins étonnante de Bernadette Bandelier, une retraitée suisse de 65 ans, lourdement sanctionnée pour avoir… conduit trop lentement dans les virages d’un col de montagne.

Une amende de 2 500 francs pour excès de prudence

En février 2022, alors qu’elle rentrait d’une course hippique à Saint-Moritz en transportant des chevaux à bord de son véhicule utilitaire, Bernadette Bandelier a été arrêtée sur le col du Julier pour une vitesse jugée anormalement basse : entre 15 et 20 km/h. Cette conduite, qu’elle estimait nécessaire compte tenu de la configuration de la route et de la présence d’animaux à bord, a été interprétée comme un danger potentiel par les autorités locales.

Suite à un appel anonyme, la police l’a interceptée pour un contrôle de près de deux heures, effectué sous une température glaciale de -6 °C. Ce long arrêt a eu pour effet de rallonger son trajet de plusieurs heures et de mettre ses chevaux dans une situation inconfortable. Malgré ses explications et les circonstances particulières, une amende initiale de 300 francs suisses lui a été infligée.

Une contestation qui tourne au cauchemar administratif

Persuadée de l’injustice de la sanction, Bernadette Bandelier a décidé de contester l’amende. Encouragée par un ami bénéficiant d’une assurance juridique, elle a entrepris des démarches pour faire valoir ses arguments. Mais son recours a été rejeté, et les frais de procédure sont venus gonfler le montant à 2 500 francs suisses.

Cette somme, bien au-delà de ses capacités financières immédiates, est devenue une source majeure d’angoisse pour la sexagénaire, d’autant plus qu’elle souffre d’une maladie pulmonaire chronique qui complique ses démarches et fragilise encore davantage sa situation.

Quatre années de remboursement pour une infraction controversée

Avec un revenu mensuel de 3 500 francs suisses, Bernadette ne dispose que de 900 francs de reste à vivre une fois ses charges réglées, notamment des frais d’assurance maladie très élevés en Suisse. Dans ce contexte, elle n’a eu d’autre choix que d’accepter un échelonnement du paiement, remboursant 50 francs par mois. À ce rythme, elle devra attendre quatre ans avant de solder l’intégralité de l’amende.

Aujourd’hui, épuisée par des mois de démarches administratives infructueuses, elle a mis fin à toute contestation. « Je n’en pouvais tout simplement plus », confie-t-elle. Elle assume désormais le remboursement avec résignation, bien qu’elle continue à penser que sa conduite était avant tout motivée par la prudence et le respect du bien-être animal.

Une affaire qui interroge

L’histoire de Bernadette Bandelier soulève de nombreuses questions. La législation routière, nécessaire pour garantir la sécurité de tous, peut-elle parfois manquer de discernement face à des situations particulières ? Une conductrice expérimentée, roulant lentement pour assurer la sécurité d’animaux vivants transportés dans des conditions hivernales, mérite-t-elle une sanction aussi lourde ? Et au-delà de la question juridique, se pose celle de la justice sociale : comment peut-on justifier une amende qui dépasse largement les capacités de remboursement d’une retraitée déjà fragilisée ?

Ce cas illustre les limites d’un système parfois rigide, où les circonstances individuelles sont trop peu prises en compte. Et rappelle qu’en matière de justice, le bon sens ne devrait jamais être sacrifié sur l’autel de la procédure.

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Le Danemark reporte l’âge de la retraite à 70 ans : une première en Europe https://familysante.com/le-danemark-reporte-lage-de-la-retraite-a-70-ans-une-premiere-en-europe.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=le-danemark-reporte-lage-de-la-retraite-a-70-ans-une-premiere-en-europe https://familysante.com/le-danemark-reporte-lage-de-la-retraite-a-70-ans-une-premiere-en-europe.html#respond Fri, 23 May 2025 08:22:05 +0000 https://familysante.com/?p=7936 Alors que de nombreux pays européens débattent encore de l’avenir de leurs systèmes de retraite, le Danemark vient de franchir un cap historique. Le 16 mai 2025, le Parlement danois a adopté une loi fixant à 70 ans l’âge légal de départ à la retraite à partir de 2040. Une décision qui fait du royaume […]

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Alors que de nombreux pays européens débattent encore de l’avenir de leurs systèmes de retraite, le Danemark vient de franchir un cap historique. Le 16 mai 2025, le Parlement danois a adopté une loi fixant à 70 ans l’âge légal de départ à la retraite à partir de 2040. Une décision qui fait du royaume scandinave le premier pays d’Europe à instaurer un tel seuil.

Une réforme votée sans grande opposition

La nouvelle loi, adoptée par 81 députés contre 21, concerne toutes les personnes nées après le 31 décembre 1970. Autrement dit, celles qui auront 69 ans en 2040 devront poursuivre leur activité professionnelle encore une année pour pouvoir accéder à une retraite à taux plein.

Cette mesure s’inscrit dans une logique amorcée dès 2006, lorsque le Danemark a décidé d’indexer l’âge légal de départ à la retraite sur l’espérance de vie. Ce mécanisme automatique prévoit une révision tous les cinq ans. Ainsi, l’âge de départ passera à 68 ans en 2030, puis à 69 ans en 2035, avant d’atteindre 70 ans en 2040.

Un débat sur l’automaticité de la réforme

Malgré cette décision, le débat reste ouvert. L’été dernier, la Première ministre sociale-démocrate Mette Frederiksen avait exprimé sa volonté de repenser ce système. Elle déclarait alors ne plus croire au caractère automatique de l’augmentation de l’âge de départ. Cette déclaration pourrait ouvrir la voie à une réévaluation des mécanismes en place, une fois la barre des 70 ans atteinte.

Une réalité différente pour les départs effectifs

Si l’âge légal danois est aujourd’hui de 67 ans, l’âge réel de départ est plus bas. En 2019, les Danois quittaient le marché du travail en moyenne à 65 ans pour les hommes et à 64,1 ans pour les femmes. À titre de comparaison, les Français prenaient leur retraite à 62,2 ans en moyenne cette même année.

Un signal fort pour l’Europe

Le Danemark, souvent cité comme modèle en matière de politiques sociales, envoie un signal fort au reste du continent. Alors que l’Italie envisage également un relèvement de l’âge de départ, cette décision danoise pourrait influencer les discussions en cours dans d’autres pays.

Dans un contexte de vieillissement démographique et de pression sur les finances publiques, la question du report de l’âge de la retraite reste plus que jamais d’actualité en Europe. Reste à voir si d’autres nations suivront l’exemple danois, ou si une nouvelle approche, plus flexible et humaine, verra le jour.

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Trois sœurs centenaires, un même toit et une belle leçon de vie https://familysante.com/trois-soeurs-centenaires-un-meme-toit-et-une-belle-lecon-de-vie.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=trois-soeurs-centenaires-un-meme-toit-et-une-belle-lecon-de-vie https://familysante.com/trois-soeurs-centenaires-un-meme-toit-et-une-belle-lecon-de-vie.html#respond Sat, 17 May 2025 10:15:00 +0000 https://familysante.com/?p=7894 À l’heure où la question du vieillissement de la population interroge nos sociétés sur les meilleures façons d’accompagner les aînés, l’histoire d’Anne-Marie, Denise et Joséphine, trois sœurs originaires de Guidel en Bretagne, offre une parenthèse pleine d’humanité, de tendresse et de sagesse. Âgées respectivement de 100, 99 et 97 ans, ces trois sœurs vivent toujours […]

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À l’heure où la question du vieillissement de la population interroge nos sociétés sur les meilleures façons d’accompagner les aînés, l’histoire d’Anne-Marie, Denise et Joséphine, trois sœurs originaires de Guidel en Bretagne, offre une parenthèse pleine d’humanité, de tendresse et de sagesse.

Âgées respectivement de 100, 99 et 97 ans, ces trois sœurs vivent toujours ensemble, dans leur maison familiale, en pleine campagne morbihannaise. Là même où elles ont grandi, appris le français à l’école du village, et travaillé dès leur plus jeune âge pour aider leurs parents à la ferme. Une existence enracinée dans une terre qu’elles n’ont jamais vraiment quittée, malgré un long exil parisien pour raisons professionnelles.

Une vie de labeur, de soins et de solidarité

Durant de longues années, Anne-Marie et Joséphine ont exercé le métier d’infirmière, tandis que Denise travaillait en usine à Levallois. Aucune ne s’est mariée, aucune n’a eu d’enfant. Le lien qui les unit a donc toujours été central dans leur parcours de vie. En 2020, au cœur de la pandémie, elles sont revenues dans la maison familiale avec l’idée d’un retour temporaire. Mais le temps a fait son œuvre, et ce retour aux sources s’est finalement imposé comme un choix durable.

Un maintien à domicile exemplaire

Ce quotidien à trois, elles le doivent aujourd’hui à un dispositif de maintien à domicile coordonné par l’Assap Clarpa. Grâce à une équipe dévouée, composée d’infirmiers et d’auxiliaires de vie, les sœurs peuvent continuer à vivre chez elles, dans le confort de leurs souvenirs et la chaleur de leur foyer.

Soins quotidiens, repas, ménage, linge, courses… Tout est organisé pour leur garantir sécurité et bien-être, tout en respectant leur autonomie. Elles sont les employeuses de leur équipe, qui travaille avec elles sept jours sur sept. Parmi ces professionnels, Annick Le Guern accompagne les trois sœurs depuis 2022. Elle parle d’elles comme de membres de sa propre famille, tant les liens tissés sont forts et sincères.

Une harmonie fragile mais précieuse

Bien sûr, vivre à trois à plus de 90 ans n’est pas toujours de tout repos. Chacune a son caractère, ses habitudes, ses petites manies. Mais la tendresse et la complicité qui les unissent forcent l’admiration. Leur quotidien est rythmé par les soins, les souvenirs, et cette présence rassurante les unes pour les autres. Elles se chamaillent parfois, comme toutes les fratries, mais jamais ne se quittent.

Un message d’espoir et de résilience

L’histoire d’Anne-Marie, Denise et Joséphine est plus qu’un simple témoignage. Elle est un message. Celui de la force des liens familiaux, de la possibilité de vieillir dignement chez soi, et de l’importance d’un accompagnement humain et respectueux.

À une époque où l’isolement des personnes âgées est une problématique croissante, leur parcours rappelle que d’autres voies sont possibles. Avec un cadre adapté, un entourage bienveillant et une volonté commune, il est possible de prolonger la douceur de vivre, même au seuil du centenaire.

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À la retraite, pensez à l’Aspa : une aide précieuse de plus de 1 000 euros par mois https://familysante.com/a-la-retraite-pensez-a-laspa-une-aide-precieuse-de-plus-de-1-000-euros-par-mois.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=a-la-retraite-pensez-a-laspa-une-aide-precieuse-de-plus-de-1-000-euros-par-mois https://familysante.com/a-la-retraite-pensez-a-laspa-une-aide-precieuse-de-plus-de-1-000-euros-par-mois.html#respond Sat, 10 May 2025 19:10:56 +0000 https://familysante.com/?p=7822 Lorsqu’on atteint l’âge de la retraite, il n’est pas toujours évident de maintenir un niveau de vie confortable, surtout lorsque les pensions sont modestes. Pourtant, une aide financière existe pour soutenir les retraités aux revenus limités : l’Allocation de solidarité aux personnes âgées, plus connue sous le nom d’Aspa. Qu’est-ce que l’Aspa ? L’Aspa, anciennement […]

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Lorsqu’on atteint l’âge de la retraite, il n’est pas toujours évident de maintenir un niveau de vie confortable, surtout lorsque les pensions sont modestes. Pourtant, une aide financière existe pour soutenir les retraités aux revenus limités : l’Allocation de solidarité aux personnes âgées, plus connue sous le nom d’Aspa.

Qu’est-ce que l’Aspa ?

L’Aspa, anciennement appelée minimum vieillesse, est une allocation mensuelle destinée aux retraités disposant de faibles ressources. Mise en place pour garantir un revenu minimum aux personnes âgées vivant en France, elle est versée par la Caisse nationale d’assurance vieillesse (Cnav) ou la Mutualité sociale agricole (MSA), selon le régime de retraite du bénéficiaire.

Depuis le 1er janvier 2025, le montant maximal de l’Aspa s’élève à 1 034,28 euros par mois pour une personne seule et à 1 605,73 euros pour un couple. Ce montant est ajusté en fonction des ressources du foyer.

Quelles sont les conditions pour en bénéficier ?

Pour prétendre à l’Aspa, plusieurs critères doivent être remplis :

  • Avoir au moins 65 ans (ou l’âge légal de la retraite en cas d’inaptitude au travail),
  • Résider en France au moins 9 mois par an,
  • Être retraité ou en situation de cumul emploi-retraite,
  • Disposer de ressources inférieures à 12 411,36 euros brut par an pour une personne seule ou à 19 268,76 euros brut par an pour un couple.

Ces ressources incluent les pensions de retraite, les revenus du patrimoine, les aides perçues, etc.

Une aide souvent ignorée

Malgré son importance, l’Aspa reste méconnue. Selon une étude de la DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques), 50 % des personnes éligibles en 2016 n’avaient pas demandé cette aide. Un chiffre préoccupant qui s’explique par un manque d’information, mais aussi parfois par la crainte de devoir rembourser l’aide après décès, une mesure qui ne concerne pourtant que les successions supérieures à un certain seuil.

Pourquoi vérifier votre éligibilité ?

Demander l’Aspa peut changer la vie de nombreux retraités. Elle permet non seulement d’assurer des conditions de vie plus dignes, mais aussi de faire face aux dépenses courantes avec plus de sérénité. Si vous ou un proche êtes à la retraite avec de faibles revenus, il est vivement conseillé de vérifier si cette aide peut être accordée.

Les démarches peuvent être effectuées auprès de votre caisse de retraite ou sur le site officiel de l’Assurance retraite. Une simulation en ligne est également disponible pour estimer vos droits.

Conclusion

L’Aspa est bien plus qu’une aide sociale : c’est un filet de sécurité pour de nombreux retraités en France. Si vous avez de faibles ressources, ne laissez pas passer cette opportunité de bénéficier d’un complément de revenu non négligeable. Renseignez-vous, parlez-en autour de vous, et surtout, n’hésitez pas à en faire la demande.

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Sheila : une vitalité exemplaire à 79 ans, « Je m’en fous de mon âge ! » https://familysante.com/sheila-une-vitalite-exemplaire-a-79-ans-je-men-fous-de-mon-age.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=sheila-une-vitalite-exemplaire-a-79-ans-je-men-fous-de-mon-age https://familysante.com/sheila-une-vitalite-exemplaire-a-79-ans-je-men-fous-de-mon-age.html#respond Fri, 09 May 2025 10:10:57 +0000 https://familysante.com/?p=7818 À 79 ans, Sheila est bien loin de l’image que l’on pourrait avoir d’une artiste en fin de carrière. Invitée sur le plateau de l’émission C à vous le 23 avril 2025, l’icône de la chanson française a surpris par son franc-parler et son énergie débordante. Venue présenter son dernier album intitulé À l’avenir, Sheila […]

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À 79 ans, Sheila est bien loin de l’image que l’on pourrait avoir d’une artiste en fin de carrière. Invitée sur le plateau de l’émission C à vous le 23 avril 2025, l’icône de la chanson française a surpris par son franc-parler et son énergie débordante. Venue présenter son dernier album intitulé À l’avenir, Sheila a profité de l’occasion pour faire un point clair et sans détour sur un sujet qui revient souvent dans les médias : son âge.

« Je m’en fous ! » : un coup de gueule salutaire

Interrogée par Anne-Elisabeth Lemoine sur le rapport qu’elle entretient avec le temps qui passe, Sheila n’a pas mâché ses mots. « Je ne vois pas le temps qui passe ! Les autres vous citent le chiffre à répétition, mais je m’en fous ! », a-t-elle lancé avec aplomb. Pour elle, l’âge est un concept extérieur, que l’on subit davantage à travers le regard des autres que dans son corps ou son esprit. « Tant que je suis en forme, je danse, je chante et je peux toujours faire le grand écart », a-t-elle ajouté, non sans une certaine fierté.

Une hygiène de vie irréprochable

Si Sheila peut se permettre une telle vitalité à l’approche de ses 80 ans, ce n’est pas un hasard. Depuis toujours, la chanteuse mise sur une hygiène de vie rigoureuse et une discipline physique constante. Elle pratique régulièrement plusieurs activités sportives, parmi lesquelles le vélo, l’équitation, et surtout la danse classique, qu’elle considère comme une école de rigueur et de dépassement de soi.

« La danse classique, que j’ai pratiquée pendant quinze ans, m’a enseigné la douleur, le dépassement de soi », confie-t-elle. Même aujourd’hui, elle continue de s’entraîner deux fois par semaine, quelles que soient les conditions météorologiques. Ce travail régulier lui permet d’assurer sur scène un spectacle de plus de deux heures, sans play-back ni prompteur.

Un message inspirant sur l’âge et la passion

Pour Sheila, tout est question de plaisir. « Je me fais d’abord plaisir », dit-elle, en évoquant les salles pleines et les spectateurs debout. Sa longévité artistique et physique repose sur un moteur simple : la passion. Tant qu’elle continue à ressentir cette joie de monter sur scène et de partager avec le public, elle ne voit aucune raison de ralentir.

Son message est clair : l’âge n’est pas un frein, mais un prétexte qu’il faut dépasser. En affirmant qu’il est « dans la tête », Sheila incarne une forme de liberté que beaucoup envient. À ceux qui veulent la voir prendre sa retraite, elle répond par la scène, la musique, et le mouvement.


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Retraite : voici à combien s’élève la pension d’une femme qui n’a jamais travaillé https://familysante.com/retraite-voici-a-combien-seleve-la-pension-dune-femme-qui-na-jamais-travaille.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=retraite-voici-a-combien-seleve-la-pension-dune-femme-qui-na-jamais-travaille https://familysante.com/retraite-voici-a-combien-seleve-la-pension-dune-femme-qui-na-jamais-travaille.html#comments Mon, 05 May 2025 15:33:04 +0000 https://familysante.com/?p=7778 En France, la retraite repose essentiellement sur un système contributif. Cela signifie que les pensions sont calculées en fonction des cotisations versées tout au long de la vie professionnelle. Mais qu’en est-il des femmes qui n’ont jamais travaillé ou qui n’ont jamais cotisé personnellement à un régime de retraite ? Peuvent-elles prétendre à une pension […]

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En France, la retraite repose essentiellement sur un système contributif. Cela signifie que les pensions sont calculées en fonction des cotisations versées tout au long de la vie professionnelle. Mais qu’en est-il des femmes qui n’ont jamais travaillé ou qui n’ont jamais cotisé personnellement à un régime de retraite ? Peuvent-elles prétendre à une pension ? Et si oui, de quel montant ?

Une femme sans carrière professionnelle peut-elle percevoir une pension ?

Oui, une femme qui n’a jamais travaillé peut percevoir une pension, mais pas une retraite au sens strict du terme. Elle peut bénéficier de ce qu’on appelle l’allocation de solidarité aux personnes âgées (ASPA), anciennement appelée minimum vieillesse. Il ne s’agit pas d’une retraite contributive, mais d’une aide sociale destinée à garantir un revenu minimum aux personnes âgées disposant de faibles ressources.

Quelles sont les conditions pour toucher l’ASPA ?

Pour percevoir l’ASPA, plusieurs conditions doivent être remplies :

  • Être âgée d’au moins 65 ans (ou 62 ans si reconnue inapte au travail)
  • Résider de manière stable et régulière en France
  • Disposer de ressources inférieures à un plafond fixé par l’État

En 2025, ce plafond est de :

  • 1 012,02 euros par mois pour une personne seule
  • 1 571,16 euros par mois pour un couple

Si les ressources de la personne sont inférieures à ce seuil, l’ASPA vient compléter la différence.

À combien s’élève l’ASPA en 2025 ?

En 2025, le montant maximum de l’ASPA est de :

  • 1 012,02 euros par mois pour une personne seule
  • 1 571,16 euros par mois pour un couple

Cela signifie qu’une femme seule, sans revenus, peut toucher jusqu’à 1 012,02 euros par mois.

Quelles autres aides peut-elle recevoir ?

Outre l’ASPA, une femme qui n’a jamais travaillé peut également bénéficier de :

  • Aides au logement (APL)
  • Couverture maladie universelle (PUMA)
  • Tarifs sociaux sur l’électricité, le gaz ou les transports

Attention : l’ASPA est récupérable sur succession

Il est important de noter que l’ASPA est une aide sociale récupérable sur la succession. Si la valeur nette du patrimoine laissé dépasse 39 000 euros, l’État peut récupérer les montants versés, dans la limite de cette valeur. Cela peut avoir un impact sur l’héritage transmis aux enfants.

Conclusion

Une femme qui n’a jamais travaillé ne touche pas de retraite au sens classique, mais elle peut percevoir une allocation de solidarité sous conditions de ressources. En 2025, cela peut aller jusqu’à 1 012 euros par mois pour une personne seule. Cette aide, bien qu’essentielle, reste modeste et implique parfois des restrictions, notamment en matière de succession. Cela souligne l’importance de l’indépendance économique, même en l’absence d’activité professionnelle continue, par exemple via l’épargne, les droits dérivés du conjoint ou d’autres formes de revenus complémentaires.

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