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Parents fatigués : c’est à cet âge que tout se complique

Élever un enfant, c’est un peu comme courir un marathon… en sandales, avec une main attachée dans le dos, et une bande-son en boucle de « pourquoi ? » crié à pleine voix. Et pourtant, malgré les nuits courtes, les caprices surprises et l’énergie débordante, les parents tiennent bon. Mais s’il y avait un âge où tout devient vraiment plus intense ? Spoiler : il existe. Et d’après une étude menée par la marque Petits Filous, cet âge… c’est 4 ans.

L’âge où tout explose : énergie, créativité, fatigue

À 4 ans, les enfants sont à la croisée des chemins entre bébé et « grand ». Leur imagination est débordante, leur logique commence à se structurer… mais la notion de conséquences ? Encore floue, voire inexistante. Résultat : des dialogues dignes de pièces de théâtre absurdes, des expérimentations en tout genre (sur les murs, la farine, le chien…) et une capacité innée à épuiser les adultes les plus endurants.

Cette étude révèle que les parents identifient majoritairement cet âge comme le plus éprouvant. Pas étonnant : entre les fameuses « phases d’opposition », l’apprentissage de l’autonomie et une énergie quasi illimitée, les journées sont bien remplies – et les soirées, souvent sans répit.

Tous dans le même bateau (ou la même tempête)

La parentalité à cet âge, c’est aussi une montagne russe émotionnelle. En moyenne, un quart des parents avouent ressentir régulièrement de la frustration. Pourtant, beaucoup trouvent dans l’humour un outil de survie. Parce qu’après tout, il vaut mieux rire d’un mur redécoré à la pâte à modeler que pleurer sur son sort.

Et surtout, savoir que d’autres vivent la même chose apporte du réconfort. Non, vous n’êtes pas les seuls à avoir négocié pendant 20 minutes pour que votre enfant mette des chaussures et non des bottes de pluie par 30 degrés.

Un âge aussi épuisant que magique

Mais si les 4 ans mettent à rude épreuve la patience parentale, ils offrent aussi des moments d’une tendresse rare. Des câlins serrés, des « je t’aime » spontanés, des questions qui ouvrent des fenêtres sur leur monde intérieur. C’est l’âge des premières vraies blagues, des histoires farfelues, des amitiés imaginaires et des éclats de rire partagés.

Alors oui, c’est un âge fatiguant, parfois usant. Mais c’est aussi celui où l’on construit des souvenirs inoubliables. Celui où l’on comprend, souvent dans un fou rire ou un moment câlin, que la parentalité n’est pas qu’un défi. C’est une aventure.

Et à 4 ans, elle est à son sommet.

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