Archives des Vie de famille/éducation - Family santé https://familysante.com/category/vie-de-familleeducation Santé, famille, bien être Sat, 20 Sep 2025 16:18:15 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.3 https://familysante.com/wp-content/uploads/2016/12/cropped-Wear-32x32.png Archives des Vie de famille/éducation - Family santé https://familysante.com/category/vie-de-familleeducation 32 32 « Je refuse de garder mon petit-fils à cause du prénom que lui ont choisi ses parents » : une grand-mère choque la toile https://familysante.com/je-refuse-de-garder-mon-petit-fils-a-cause-du-prenom-que-lui-ont-choisi-ses-parents-une-grand-mere-choque-la-toile.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=je-refuse-de-garder-mon-petit-fils-a-cause-du-prenom-que-lui-ont-choisi-ses-parents-une-grand-mere-choque-la-toile https://familysante.com/je-refuse-de-garder-mon-petit-fils-a-cause-du-prenom-que-lui-ont-choisi-ses-parents-une-grand-mere-choque-la-toile.html#respond Sat, 20 Sep 2025 16:18:14 +0000 https://familysante.com/?p=9602 Choisir le prénom de son bébé est souvent une aventure pleine d’émotion. Entre coups de cœur, hommages familiaux et tendances du moment, chaque parent rêve de trouver le prénom parfait. Mais quand ce choix divise, les réactions peuvent être… explosives. C’est exactement ce qui s’est produit pour une grand-mère britannique, décidée à ne pas garder […]

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Choisir le prénom de son bébé est souvent une aventure pleine d’émotion. Entre coups de cœur, hommages familiaux et tendances du moment, chaque parent rêve de trouver le prénom parfait. Mais quand ce choix divise, les réactions peuvent être… explosives. C’est exactement ce qui s’est produit pour une grand-mère britannique, décidée à ne pas garder son petit-fils, simplement à cause de son prénom.

Un bonheur de courte durée

Lorsqu’elle a appris que sa fille attendait un enfant, cette grand-mère s’est réjouie. Elle s’était même proposée de garder le bébé lorsque les jeunes parents reprendraient le travail. Mais son enthousiasme s’est transformé en désarroi lorsque le couple a révélé le prénom choisi : Wolfie, inspiré d’un influenceur anglais.

« Je ne veux pas paraître méchante, mais ce prénom sonne complètement ridicule. Imaginez un adulte qui se présente à un entretien en disant je m’appelle Wolfie. Ou moi, au club de lecture, expliquant que je garde Wolfie cet après-midi… Je n’arrive même pas à le dire sans rire », a-t-elle confié sur le forum Mumsnet.

Un ultimatum surprenant

Incapable de cacher son ressenti, la grand-mère a posé un véritable ultimatum : si le prénom restait, elle refuserait de faire du baby-sitting.

« Je lui ai dit clairement que je ne pourrais pas garder mon sérieux. Et honnêtement, c’est cruel de donner un prénom pareil juste parce que c’est à la mode », a-t-elle ajouté.

Sa fille, de son côté, l’accuse d’être rétrograde et de ne pas respecter leur liberté de choix. Un désaccord qui a déclenché un vif débat en ligne.

Quand le prénom devient un sujet de discorde

Cette histoire met en lumière une réalité souvent vécue en silence : les proches n’aiment pas toujours le prénom choisi par les parents. S’il est normal d’avoir un avis, poser un ultimatum soulève la question des limites à ne pas franchir.

Les prénoms originaux divisent, mais une chose est sûre : au final, ce sont les parents qui ont le dernier mot. Et l’enfant, lui, apprendra à porter son prénom avec fierté – qu’il s’appelle Louis… ou Wolfie.

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Grève du 10 septembre : écoles, transports, hôpitaux… à quoi s’attendre vraiment ce mercredi ? https://familysante.com/greve-du-10-septembre-ecoles-transports-hopitaux-a-quoi-sattendre-vraiment-ce-mercredi.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=greve-du-10-septembre-ecoles-transports-hopitaux-a-quoi-sattendre-vraiment-ce-mercredi https://familysante.com/greve-du-10-septembre-ecoles-transports-hopitaux-a-quoi-sattendre-vraiment-ce-mercredi.html#respond Mon, 08 Sep 2025 11:58:11 +0000 https://familysante.com/?p=9456 La journée du mercredi 10 septembre s’annonce compliquée pour des millions de Français. À l’appel de plusieurs syndicats et organisations, une grève nationale pourrait paralyser une large partie du pays. Entre transports à l’arrêt, écoles fermées et hôpitaux perturbés, voici un tour d’horizon des blocages attendus. Un mot d’ordre radical : « On bloque tout » Lancé […]

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La journée du mercredi 10 septembre s’annonce compliquée pour des millions de Français. À l’appel de plusieurs syndicats et organisations, une grève nationale pourrait paralyser une large partie du pays. Entre transports à l’arrêt, écoles fermées et hôpitaux perturbés, voici un tour d’horizon des blocages attendus.

Un mot d’ordre radical : « On bloque tout »

Lancé sur les réseaux sociaux puis relayé par divers syndicats, le mot d’ordre est clair : « Bloquons tout ». L’idée est de marquer un coup fort face au gouvernement. Selon un sondage, près d’un Français sur deux soutiendrait le mouvement. Mais derrière ce mot d’ordre, ce sont surtout les usagers du quotidien qui risquent de vivre une journée chaotique.

Des transports fortement impactés

  • Trains et RER : la SNCF et la RATP annoncent d’ores et déjà des perturbations majeures. La CGT Cheminots et SUD-Rail appellent à une mobilisation maximale, ce qui devrait compliquer fortement les déplacements, notamment en Île-de-France.
  • Métros et bus : certaines lignes pourraient être totalement à l’arrêt, d’autres très ralenties.
  • Aéroports : SUD-Aérien et la CGT Air France ont déposé des préavis de grève. Des retards et annulations de vols sont donc à prévoir, en particulier à Roissy et Orly.
  • Routes : des barrages filtrants et blocages de périphériques sont annoncés, avec un début des actions prévu dès 7h du matin.

Écoles et services publics en première ligne

Les parents risquent d’être directement touchés.

  • Éducation nationale : SUD-Éducation appelle à la grève dans plusieurs académies, ce qui pourrait entraîner la fermeture de nombreuses classes. Des collectifs lycéens annoncent aussi des actions de « blocus ».
  • Universités : certains établissements franciliens, dont Paris 3, seront également touchés.
  • Santé : plusieurs syndicats hospitaliers, notamment à l’AP-HP, annoncent une mobilisation importante. Des perturbations dans les services d’urgence et de consultation sont attendues.
  • Pharmacies : certaines officines de garde pourraient rester fermées.

D’autres secteurs rejoignent la mobilisation

Au-delà des transports et des écoles, d’autres activités du quotidien seront aussi affectées :

  • Commerces : la CGT appelle à manifester contre la précarité dans le secteur.
  • Agents de sécurité : rassemblement prévu devant le ministère du Travail.
  • Éboueurs : plusieurs syndicats de la propreté urbaine menacent d’arrêts de travail, ce qui pourrait entraîner des rues non nettoyées et des poubelles débordantes.

Une journée sous haute tension

Entre blocages des routes, transports réduits et services publics au ralenti, ce 10 septembre s’annonce comme une journée à haut risque pour les Français. L’ampleur réelle du mouvement ne pourra être mesurée qu’au fil des heures, mais une chose est sûre : mieux vaut s’organiser dès maintenant pour limiter les désagréments.

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CAF 2026 : le gel des plafonds de ressources pourrait priver des milliers de familles de leurs aides https://familysante.com/caf-2026-le-gel-des-plafonds-de-ressources-pourrait-priver-des-milliers-de-familles-de-leurs-aides.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=caf-2026-le-gel-des-plafonds-de-ressources-pourrait-priver-des-milliers-de-familles-de-leurs-aides https://familysante.com/caf-2026-le-gel-des-plafonds-de-ressources-pourrait-priver-des-milliers-de-familles-de-leurs-aides.html#respond Sat, 06 Sep 2025 10:51:13 +0000 https://familysante.com/?p=9429 À partir de janvier 2026, une nouvelle mesure envisagée par le gouvernement pourrait bouleverser le quotidien de nombreuses familles françaises. Selon plusieurs sources, le ministère de l’Économie envisage de geler les plafonds de ressources permettant de bénéficier des aides de la CAF. Une décision qui, si elle est confirmée, pourrait exclure des milliers de foyers […]

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À partir de janvier 2026, une nouvelle mesure envisagée par le gouvernement pourrait bouleverser le quotidien de nombreuses familles françaises. Selon plusieurs sources, le ministère de l’Économie envisage de geler les plafonds de ressources permettant de bénéficier des aides de la CAF. Une décision qui, si elle est confirmée, pourrait exclure des milliers de foyers du dispositif.

Qu’est-ce que cela change concrètement ?

Chaque année, les plafonds de ressources des prestations sociales sont normalement ajustés pour tenir compte de l’évolution des salaires et du coût de la vie. Mais en 2026, cette revalorisation pourrait être suspendue. Résultat : même si vos revenus n’ont augmenté que de quelques pourcents entre 2023 et 2024, vous pourriez dépasser les plafonds actuels… et perdre tout ou partie de vos droits.

Cette réforme viserait plusieurs aides majeures :

  • APL (Aides personnalisées au logement)
  • AAH (Allocation aux adultes handicapés)
  • Paje (Prestation d’accueil du jeune enfant)

Des revenus de 2024 pris en compte

Autre élément clé : l’éligibilité serait calculée sur la base des revenus de l’année 2024. Or, en moyenne, les salaires ont progressé d’environ 3 % en France cette année-là. Une hausse qui, en pratique, n’a pas toujours amélioré le pouvoir d’achat, mais qui pourrait suffire à faire franchir aux foyers le seuil d’exclusion fixé par la CAF.

Les familles les plus vulnérables en première ligne

Ce gel des plafonds risque de frapper de plein fouet des foyers déjà fragilisés :

  • des parents qui comptent sur la Paje pour couvrir une partie des frais de garde,
  • des locataires modestes dépendants des APL pour assumer leur logement,
  • des personnes handicapées qui risquent de perdre l’AAH alors que leurs charges spécifiques augmentent.

Pour beaucoup, ce serait un effet ciseau : des revenus légèrement en hausse, mais des aides qui diminuent ou disparaissent, dans un contexte où les prix continuent de grimper (alimentation, énergie, logement).

Une mesure encore en discussion

Pour l’heure, cette décision n’est pas encore actée. Les associations familiales appellent le gouvernement à reconsidérer ce projet, estimant qu’il mettrait en danger l’équilibre financier de dizaines de milliers de ménages.

D’ici là, il est recommandé aux familles de suivre attentivement leurs déclarations de revenus et de se tenir informées des évolutions réglementaires afin d’anticiper d’éventuelles pertes d’aides en 2026.


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Rentrée 2025 : ce changement de dernière minute dans la notation des élèves fait grincer des dents https://familysante.com/rentree-2025-ce-changement-de-derniere-minute-dans-la-notation-des-eleves-fait-grincer-des-dents.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=rentree-2025-ce-changement-de-derniere-minute-dans-la-notation-des-eleves-fait-grincer-des-dents https://familysante.com/rentree-2025-ce-changement-de-derniere-minute-dans-la-notation-des-eleves-fait-grincer-des-dents.html#respond Tue, 02 Sep 2025 11:36:22 +0000 https://familysante.com/?p=9367 La rentrée scolaire 2025-2026 ne démarre pas sous les meilleurs auspices pour les lycéens et leurs familles. À peine les cartables ressortis, un changement inattendu dans le système de notation au lycée vient bouleverser les habitudes. Et les réactions ne se font pas attendre. Un nouveau système de notes pour le bac et Parcoursup Depuis […]

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La rentrée scolaire 2025-2026 ne démarre pas sous les meilleurs auspices pour les lycéens et leurs familles. À peine les cartables ressortis, un changement inattendu dans le système de notation au lycée vient bouleverser les habitudes. Et les réactions ne se font pas attendre.

Un nouveau système de notes pour le bac et Parcoursup

Depuis la réforme Blanquer de 2018, la moyenne des notes issues du contrôle continu compte pour 40 % de la note finale du baccalauréat. Mais à partir de cette année, une modification de taille est introduite : les élèves de première et de terminale auront désormais deux types de notes.

  • Les notes « certificatives » : elles compteront pour le bac et Parcoursup.
  • Les notes à coefficient zéro : elles apparaîtront au bulletin, mais n’auront aucun poids dans le calcul final.

Concrètement, les devoirs jugés les plus importants – dissertations, épreuves longues, travaux de recherche – devraient intégrer la première catégorie. En revanche, les petits contrôles, QCM ou évaluations ponctuelles ne pèseront plus dans la balance.

L’objectif affiché par le ministère est clair : rendre le système « plus fidèle au niveau réel des lycéens », éviter que de simples exercices annexes ne viennent gonfler artificiellement une moyenne, et renforcer l’égalité entre les élèves.

Des parents et des enseignants désorientés

Sur le papier, la mesure peut sembler logique. Mais sur le terrain, elle sème déjà la confusion. Comment savoir à l’avance quelles évaluations compteront vraiment ? Chaque établissement devra définir sa propre organisation et informer les familles avant la Toussaint. Autant dire que les calculs des moyennes, si chers aux parents comme aux élèves, vont se compliquer.

Certains y voient une source de stress supplémentaire : les « vraies » notes risquent de se concentrer sur quelques évaluations seulement, renforçant la pression le jour J.

Les syndicats dénoncent une « diversion »

Les syndicats d’enseignants, eux, n’ont pas mâché leurs mots. Pour Sophie Vénétitay, secrétaire générale du Snes-FSU, cette réforme décidée à la hâte est une « diversion », imposée sans concertation. Jean-Rémi Girard, président du Snalc, déplore de son côté une nouvelle tentative de contrôle des pratiques des professeurs :

« Cela n’en finit plus depuis la réforme du bac de Jean-Michel Blanquer. »

Dans un contexte où enseignants comme élèves réclament plus de stabilité, ce changement de dernière minute ressemble pour beaucoup à un nouveau casse-tête administratif.

Une réforme qui divise, encore une fois

La question des notes à l’école a toujours cristallisé les débats. Déjà en 2012, un sondage IFOP révélait que 80 % des Français s’opposaient à leur suppression. Cette rentrée 2025 confirme que le sujet reste explosif.

En cherchant à « mieux refléter le niveau des élèves », le ministère de l’Éducation risque surtout d’alimenter un climat de méfiance et d’incertitude. Reste à voir comment parents, enseignants et lycéens s’adapteront à ce nouveau système… et s’il sera maintenu dans la durée.

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Ces phrases entendues à l’école dans les années 70-80 qui feraient bondir aujourd’hui https://familysante.com/ces-phrases-entendues-a-lecole-dans-les-annees-70-80-qui-feraient-bondir-aujourdhui.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=ces-phrases-entendues-a-lecole-dans-les-annees-70-80-qui-feraient-bondir-aujourdhui https://familysante.com/ces-phrases-entendues-a-lecole-dans-les-annees-70-80-qui-feraient-bondir-aujourdhui.html#respond Sun, 24 Aug 2025 12:01:21 +0000 https://familysante.com/?p=9259 Dans moins de deux semaines, les élèves reprendront le chemin de l’école. Si la rentrée est souvent synonyme d’excitation et parfois d’appréhension, elle reste aussi l’occasion de se remémorer nos propres souvenirs d’écoliers. Et pour beaucoup de ceux qui ont grandi dans les années 70 ou 80, une chose saute aux yeux : les enseignants […]

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Dans moins de deux semaines, les élèves reprendront le chemin de l’école. Si la rentrée est souvent synonyme d’excitation et parfois d’appréhension, elle reste aussi l’occasion de se remémorer nos propres souvenirs d’écoliers. Et pour beaucoup de ceux qui ont grandi dans les années 70 ou 80, une chose saute aux yeux : les enseignants d’hier n’avaient pas tout à fait la même manière de s’adresser à leurs élèves que ceux d’aujourd’hui.

À une époque où l’on valorisait la discipline, l’endurance et l’autorité, certaines phrases considérées comme anodines à l’époque seraient aujourd’hui vues comme brutales, voire traumatisantes. Voici un florilège de ces petites sentences qui résonnent encore dans la mémoire des anciens élèves – mais qui feraient bondir parents et pédagogues en 2025.


« Peu importe qui a commencé »

Lorsqu’une bagarre éclatait dans la cour, inutile de chercher le coupable ou la victime. Tout le monde était puni de la même manière. Le message était clair : la vie est injuste, il faut l’accepter. Aujourd’hui, les enseignants sont encouragés à écouter, à comprendre le contexte et à privilégier la médiation plutôt que la sanction systématique.


« Arrête de pleurer ou je te donnerai une raison de pleurer »

Grand classique de l’éducation d’antan, cette phrase illustre à quel point exprimer ses émotions n’était pas toujours bien vu. Si elle visait à endurcir les enfants, elle revenait en réalité à les punir une deuxième fois pour avoir osé pleurer. Une approche que les psychologues actuels considèrent comme nocive pour le développement émotionnel.


« Il n’exploite pas son potentiel »

Les bulletins scolaires des années 70-80 étaient de véritables anthologies de remarques assassines. La formule « n’exploite pas son potentiel » revenait souvent, sous-entendant que l’enfant était paresseux plutôt qu’en difficulté. Aujourd’hui, la tendance est à l’encouragement, à l’individualisation et à la recherche de solutions adaptées.


« Les bâtons et les pierres peuvent briser vos os, mais les mots ne vous feront jamais de mal »

Censée minimiser l’impact des insultes et moqueries, cette phrase était la réponse officielle au harcèlement scolaire. Pourtant, on sait désormais que les blessures émotionnelles peuvent être aussi profondes que les blessures physiques. Les écoles actuelles privilégient la prévention, l’écoute et l’accompagnement pour lutter contre ces violences invisibles.


« Les garçons seront toujours des garçons »

Turbulents, bagarreurs, bruyants : c’était « normal » pour les garçons, tandis qu’on attendait des filles qu’elles soient sages et appliquées. Un cliché sexiste ancré dans l’éducation de l’époque, mais largement remis en question aujourd’hui par des approches pédagogiques qui cherchent à déconstruire les stéréotypes de genre.


« Ceci sera noté dans ton carnet »

Chaque bêtise, chaque remarque négative finissait consignée noir sur blanc, avec parfois plus de poids que les rares compliments. Cette méthode fonctionnait comme une marque indélébile de « mauvaise conduite ». En 2025, les enseignants privilégient plutôt l’encouragement et la valorisation des progrès, considérant que la peur et l’humiliation ne sont pas des leviers efficaces pour apprendre.


Une éducation à la dure… mais marquante

Ces phrases font sourire certains anciens élèves et grimacer d’autres. Elles témoignent surtout d’une époque où l’autorité et la discipline passaient avant la bienveillance et l’écoute. Aujourd’hui, les pratiques éducatives évoluent vers plus de dialogue, de respect de l’enfant et d’accompagnement personnalisé.

Mais une chose est sûre : pour ceux qui ont grandi dans les années 70-80, ces petites phrases resteront gravées dans la mémoire… parfois comme des traumatismes, parfois comme des souvenirs d’une école « à l’ancienne ».

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Rentrée scolaire 2025 : l’uniforme bientôt obligatoire dans les écoles françaises ? https://familysante.com/rentree-scolaire-2025-luniforme-bientot-obligatoire-dans-les-ecoles-francaises.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=rentree-scolaire-2025-luniforme-bientot-obligatoire-dans-les-ecoles-francaises https://familysante.com/rentree-scolaire-2025-luniforme-bientot-obligatoire-dans-les-ecoles-francaises.html#respond Fri, 22 Aug 2025 10:09:20 +0000 https://familysante.com/?p=9226 La rentrée 2025 s’ouvre sur un débat brûlant qui agite parents, enseignants et élèves : le port de l’uniforme à l’école. Depuis septembre 2024, une centaine d’établissements volontaires testent le port d’une tenue commune, et l’expérience se poursuit cette année. Alors, votre enfant fait-il partie de ceux qui doivent enfiler l’uniforme dès la rentrée ? […]

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La rentrée 2025 s’ouvre sur un débat brûlant qui agite parents, enseignants et élèves : le port de l’uniforme à l’école. Depuis septembre 2024, une centaine d’établissements volontaires testent le port d’une tenue commune, et l’expérience se poursuit cette année. Alors, votre enfant fait-il partie de ceux qui doivent enfiler l’uniforme dès la rentrée ?

Une expérimentation déjà en cours

L’idée n’est pas nouvelle. L’uniforme a longtemps marqué la vie scolaire française, avant d’être abandonné après Mai 68. Mais en décembre 2023, Gabriel Attal, alors ministre de l’Éducation nationale, avait annoncé son retour sous forme d’expérimentation dans certaines communes volontaires.

Depuis septembre 2024, des écoles, collèges et lycées participent à ce test. Les familles n’ont rien à payer : chaque élève reçoit gratuitement un trousseau type d’une valeur de 200 euros, composé de plusieurs vêtements sobres et mixtes. En cas de perte ou d’usure, les pièces peuvent être remplacées.

Quels établissements sont concernés ?

Les écoles participantes se trouvent un peu partout en France. En Île-de-France, des villes comme Neuilly-sur-Marne, Aubervilliers ou Coubron font partie du dispositif. Dans le Nord, on retrouve Tourcoing, Denain ou encore Attiches. Dans le Sud, Béziers, Perpignan et Nice sont également concernés. Outre-mer, plusieurs collèges de Mayotte, de Guyane et de La Réunion expérimentent eux aussi l’uniforme.

À la rentrée 2025, ces établissements poursuivent donc l’expérience pour une deuxième année.

Un retour qui divise

Pour certains, l’uniforme est un outil efficace pour réduire les inégalités sociales et apaiser les tensions liées à l’apparence. Il permettrait aussi de renforcer la cohésion et de créer un sentiment d’appartenance.

Mais d’autres y voient une atteinte à la liberté d’expression des élèves et craignent une uniformisation excessive. Comme le rappelle le gouvernement, « on expérimente et on évalue » avant toute généralisation.

Une décision attendue en 2026

Cette phase d’essai sera suivie et analysée par un comité scientifique. Les conclusions sont attendues en 2026 : elles détermineront si l’uniforme sera généralisé à toutes les écoles françaises, ou s’il restera une simple parenthèse.

En attendant, pour la rentrée 2025, seuls certains élèves continueront à porter l’uniforme. Le débat, lui, est loin d’être clos.

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Rentrée 2025 : l’éducation à la vie affective et sexuelle devient obligatoire dès la maternelle https://familysante.com/rentree-2025-leducation-a-la-vie-affective-et-sexuelle-devient-obligatoire-des-la-maternelle.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=rentree-2025-leducation-a-la-vie-affective-et-sexuelle-devient-obligatoire-des-la-maternelle https://familysante.com/rentree-2025-leducation-a-la-vie-affective-et-sexuelle-devient-obligatoire-des-la-maternelle.html#respond Thu, 21 Aug 2025 13:41:19 +0000 https://familysante.com/?p=9217 La rentrée scolaire 2025 s’annonce marquée par un tournant important dans l’enseignement en France. À partir de septembre, tous les élèves, de la maternelle au lycée, bénéficieront d’un programme renforcé d’éducation à la vie affective et sexuelle. Une mesure qui suscite déjà autant d’attentes que de débats. Une mesure déjà inscrite dans la loi depuis […]

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La rentrée scolaire 2025 s’annonce marquée par un tournant important dans l’enseignement en France. À partir de septembre, tous les élèves, de la maternelle au lycée, bénéficieront d’un programme renforcé d’éducation à la vie affective et sexuelle. Une mesure qui suscite déjà autant d’attentes que de débats.

Une mesure déjà inscrite dans la loi depuis 2001

Peu de parents le savent : l’éducation à la sexualité est en réalité obligatoire depuis plus de vingt ans. La loi du 4 juillet 2001 prévoit au moins trois séances annuelles dans chaque cycle scolaire, du primaire au lycée. Mais dans les faits, son application restait très inégale selon les établissements.

Avec la réforme portée par la ministre de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne, ce programme devient désormais systématique et encadré, avec un suivi renforcé.

Des contenus adaptés à chaque âge

Le ministère insiste sur un point essentiel : les séances ne seront pas les mêmes selon l’âge des élèves.

  • En maternelle et en primaire : l’accent sera mis sur la découverte de soi et du corps, l’expression des émotions, le respect de soi et des autres, ainsi que la prévention des violences. L’objectif est d’aider les enfants à mieux se connaître, à comprendre leurs sentiments et à développer une relation sereine avec les autres.
  • Au collège et au lycée : les thématiques abordées s’élargiront à des sujets plus concrets tels que la contraception, les infections sexuellement transmissibles, le consentement, l’égalité filles-garçons, mais aussi la lutte contre le harcèlement et les stéréotypes de genre.

Prévenir plutôt que guérir

Pour le ministère, cet enseignement n’a rien d’anecdotique : il vise à outiller les jeunes face aux réalités de la vie affective et sociale. Les enjeux sont nombreux :

  • prévenir les violences sexuelles et sexistes,
  • réduire les risques liés à la santé (grossesses non désirées, IST),
  • promouvoir l’égalité et le respect,
  • offrir un espace d’échange et de dialogue.

Entre soutien et contestations

Si de nombreux parents et associations saluent cette initiative, certains restent inquiets sur le contenu et l’âge jugé parfois trop précoce. La ministre a rappelé que le programme a été validé par le Conseil supérieur de l’éducation et qu’il a été pensé pour être progressif, adapté et respectueux du développement des enfants.

Une rentrée placée sous le signe du changement

Au-delà de cette réforme, la rentrée 2025 sera aussi marquée par la généralisation progressive du dispositif “portable en pause” dans les collèges publics, afin de limiter la surexposition aux écrans.

Entre lutte contre les excès numériques et meilleure éducation à la vie affective, le ministère entend faire de cette rentrée un moment charnière pour préparer les élèves aux défis du monde moderne.

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Quand la confiance familiale se brise : l’histoire d’une mère qui a suivi son instinct https://familysante.com/quand-la-confiance-familiale-se-brise-lhistoire-dune-mere-qui-a-suivi-son-instinct.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=quand-la-confiance-familiale-se-brise-lhistoire-dune-mere-qui-a-suivi-son-instinct https://familysante.com/quand-la-confiance-familiale-se-brise-lhistoire-dune-mere-qui-a-suivi-son-instinct.html#respond Thu, 14 Aug 2025 17:01:04 +0000 https://familysante.com/?p=9136 Confier son enfant à un membre de la famille est souvent perçu comme la solution la plus rassurante. Après tout, qui pourrait mieux s’occuper d’un petit qu’une grand-mère aimante ? Pourtant, certaines histoires rappellent que la confiance aveugle peut parfois cacher de lourdes surprises… Un geste en apparence bienveillant Élise et son mari Julien, comme […]

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Confier son enfant à un membre de la famille est souvent perçu comme la solution la plus rassurante. Après tout, qui pourrait mieux s’occuper d’un petit qu’une grand-mère aimante ? Pourtant, certaines histoires rappellent que la confiance aveugle peut parfois cacher de lourdes surprises…

Un geste en apparence bienveillant

Élise et son mari Julien, comme de nombreux parents, jonglent entre travail et vie familiale. Leur fille Lina, quatre ans, passe la plupart de ses journées à la crèche. Un jour, Monique, la mère de Julien, leur propose de garder Lina chaque mercredi.
« Elle a besoin de passer plus de temps avec sa famille », affirme-t-elle.
Élise accepte avec gratitude. Lina semble ravie et les premières semaines se déroulent parfaitement.

Les premiers signaux d’alerte

Peu à peu, Élise remarque des changements subtils. Sa fille devient plus réservée, ses propos parfois étranges. Un soir, Lina évoque « l’amie secrète » avec qui elle dîne chez mamie. Et cette amie, selon ses mots, « fait partie de la famille, mais maman ne l’aime pas ».
Un frisson d’inquiétude traverse Élise. Qui est cette personne ? Pourquoi ce secret ?

Quand l’instinct prend le dessus

Poussée par un pressentiment, Élise installe discrètement une mini-caméra chez sa belle-mère un mercredi matin. Les images commencent innocemment : Lina joue, Monique lit une histoire… jusqu’à cette phrase :
« Ne dis rien à maman, notre amie arrive bientôt. »
La porte s’ouvre, et apparaît Camille… l’ex-compagne de Julien. Une femme qu’Élise pensait définitivement sortie de leur vie.

La trahison mise à jour

Monique avait réintroduit Camille dans le quotidien de Lina, sans en informer Élise ni même Julien. Pire encore, elle assumait pleinement son geste, affirmant que sa belle-fille « n’a jamais fait partie de la vraie famille ». Camille, mal à l’aise, avoue avoir cédé aux insistances de Monique.

Protéger coûte que coûte

Choquée, Élise décide immédiatement de mettre fin aux visites chez Monique. Julien, en découvrant les images, soutient sa décision et assure que ni sa mère ni Camille ne reverront Lina sans leur accord.

Une leçon universelle

Cette histoire soulève une question essentielle : jusqu’où peut-on faire confiance à ses proches quand il s’agit de nos enfants ?
Les liens familiaux peuvent être source de soutien, mais aussi d’ingérence. Et parfois, suivre son intuition reste la meilleure façon de protéger ce qui compte le plus.

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Deux jours fériés supprimés en 2026 : l’Alsace épargnée par la mesure annoncée par François Bayrou https://familysante.com/deux-jours-feries-supprimes-en-2026-lalsace-epargnee-par-la-mesure-annoncee-par-francois-bayrou.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=deux-jours-feries-supprimes-en-2026-lalsace-epargnee-par-la-mesure-annoncee-par-francois-bayrou https://familysante.com/deux-jours-feries-supprimes-en-2026-lalsace-epargnee-par-la-mesure-annoncee-par-francois-bayrou.html#respond Mon, 11 Aug 2025 18:55:59 +0000 https://familysante.com/?p=9095 Le gouvernement a confirmé la suppression de deux jours fériés à partir de 2026 dans le cadre de son plan d’économies budgétaires. Objectif : réduire le déficit de l’État et atteindre 43,8 milliards d’euros d’économies. Une décision qui suscite déjà de vives réactions… mais une région de France devrait échapper à cette réforme : l’Alsace. […]

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Le gouvernement a confirmé la suppression de deux jours fériés à partir de 2026 dans le cadre de son plan d’économies budgétaires. Objectif : réduire le déficit de l’État et atteindre 43,8 milliards d’euros d’économies. Une décision qui suscite déjà de vives réactions… mais une région de France devrait échapper à cette réforme : l’Alsace.

Pourquoi supprimer des jours fériés ?

En France, on compte actuellement 11 jours fériés par an, soit la moyenne européenne. Mais le Premier ministre François Bayrou souhaite réduire ce nombre de deux jours pour augmenter la productivité et générer, selon les estimations, environ 4,2 milliards d’euros de recettes supplémentaires pour l’État.

Si le 8 mai et le lundi de Pâques figurent parmi les dates évoquées, le chef du gouvernement assure rester ouvert au dialogue et à d’autres propositions.

Une région protégée : l’Alsace

Lors de ses interventions, François Bayrou a évoqué la situation particulière de l’Alsace, ainsi que de la Moselle et de Saint-Pierre-et-Miquelon, où certaines spécificités locales s’ajoutent aux jours fériés nationaux.

En Alsace, deux jours fériés supplémentaires existent déjà : le Vendredi Saint et le 26 décembre. Ces dates font partie du droit local, hérité de l’histoire de la région.

Interpellé par la députée du Haut-Rhin Brigitte Klinkert, le Premier ministre a tenu à rassurer : ces jours fériés spécifiques ne seront pas supprimés. L’élue a toutefois affirmé qu’elle resterait « très vigilante » pour garantir la préservation de ces particularités, tout comme d’autres éléments du droit local, tels que l’assurance maladie alsacienne-mosellane.

Une mesure qui reste impopulaire

Malgré cette exception régionale, la suppression de jours fériés reste une décision très impopulaire auprès des Français. Beaucoup y voient une atteinte au rythme de vie, à la tradition et à l’équilibre entre travail et vie personnelle. François Bayrou, lui, estime que c’est un « effort acceptable » si cela permet de redresser les finances publiques sans toucher au modèle social français.

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Quatre grands-pères, dix-sept petits-enfants et une tradition estivale pas comme les autres https://familysante.com/quatre-grands-peres-dix-sept-petits-enfants-et-une-tradition-estivale-pas-comme-les-autres.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=quatre-grands-peres-dix-sept-petits-enfants-et-une-tradition-estivale-pas-comme-les-autres https://familysante.com/quatre-grands-peres-dix-sept-petits-enfants-et-une-tradition-estivale-pas-comme-les-autres.html#respond Fri, 25 Jul 2025 12:09:09 +0000 https://familysante.com/?p=8831 Chaque été depuis quatre ans, une joyeuse tribu s’installe sur les emplacements d’un camping quelque part en France. Ils sont 21 au total : quatre frères devenus grands-pères, et leurs dix-sept petits-enfants, unis par une tradition familiale aussi originale que touchante. Ensemble, ils transforment une simple semaine de vacances en un véritable festival de complicité, […]

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Chaque été depuis quatre ans, une joyeuse tribu s’installe sur les emplacements d’un camping quelque part en France. Ils sont 21 au total : quatre frères devenus grands-pères, et leurs dix-sept petits-enfants, unis par une tradition familiale aussi originale que touchante. Ensemble, ils transforment une simple semaine de vacances en un véritable festival de complicité, de découvertes et de souvenirs partagés.

Une idée un peu folle devenue un rituel

Tout a commencé avec Jean-François, l’un des frères, qui a décidé un été de partir camper avec ses petits-enfants. Devant l’enthousiasme général, ses frères ont suivi… avec leurs propres petits-enfants. Depuis, c’est devenu un rendez-vous incontournable : à la première semaine des vacances scolaires, ils louent un minibus, réservent quatre emplacements dans le même camping, et organisent une semaine parfaitement rythmée.

Un programme pensé pour tous

Chez les Delaporte, les vacances ne sont pas synonymes de journées à ne rien faire. Bien au contraire. Chaque matin, les grands-pères embarquent la troupe pour une visite culturelle. Châteaux, musées, mines ou vignobles : tout est soigneusement sélectionné à l’avance. Les frères prennent même le soin de faire une « pré-visite » quelques semaines avant, pour s’assurer que les enfants ne s’ennuieront pas.

Mais l’après-midi, place à la détente : balades, plongeons dans la piscine, moments calmes sous les arbres… avec tout de même un cadre bien défini. L’organisation est millimétrée : les courses sont faites avant le départ, les tâches réparties, et chacun sait ce qu’il a à faire. Un équilibre parfait entre liberté et structure, qui permet à tout le monde de profiter pleinement.

Des souvenirs pour la vie

Au fil des étés, les enfants ont grandi, et beaucoup ont appris à nager pendant ces vacances pas comme les autres. Ils se créent des liens forts non seulement avec leurs cousins, mais aussi entre générations. Ces moments deviennent des repères, des souvenirs fondateurs qu’ils garderont toute leur vie.

« Les gens pensent qu’on va faire du bruit, mais en réalité, on reçoit surtout des compliments », raconte Jean-François, le sourire dans la voix. Car au-delà du nombre ou du tumulte que pourrait représenter une telle tribu, c’est surtout une belle leçon de transmission et de solidarité familiale qui se joue ici.

Le camping, une école de vie

Cette aventure familiale montre que le camping n’est pas seulement un mode de vacances économique : c’est un cadre propice au partage, à la simplicité, et à la transmission de valeurs. Une vraie école de la vie, où l’on apprend à vivre ensemble, à s’adapter, à découvrir, et à profiter pleinement des petites choses.

Et si on s’en inspirait ?

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