Archives des Vie de famille/éducation - Family santé https://familysante.com/category/vie-de-familleeducation Santé, famille, bien être Thu, 03 Jul 2025 16:54:05 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.2 https://familysante.com/wp-content/uploads/2016/12/cropped-Wear-32x32.png Archives des Vie de famille/éducation - Family santé https://familysante.com/category/vie-de-familleeducation 32 32 Faut-il créer un congé canicule pour les parents ? Une idée qui divise, mais qui interroge https://familysante.com/faut-il-creer-un-conge-canicule-pour-les-parents-une-idee-qui-divise-mais-qui-interroge.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=faut-il-creer-un-conge-canicule-pour-les-parents-une-idee-qui-divise-mais-qui-interroge https://familysante.com/faut-il-creer-un-conge-canicule-pour-les-parents-une-idee-qui-divise-mais-qui-interroge.html#respond Thu, 03 Jul 2025 16:54:03 +0000 https://familysante.com/?p=8506 Quand les températures dépassent les 35 °C, ce ne sont pas seulement nos corps qui souffrent, mais aussi nos organisations familiales et professionnelles. Pour les parents, en particulier, la canicule soulève une question essentielle : peut-on vraiment continuer à travailler comme si de rien n’était, pendant que nos enfants suffoquent à l’école ou à la […]

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Quand les températures dépassent les 35 °C, ce ne sont pas seulement nos corps qui souffrent, mais aussi nos organisations familiales et professionnelles. Pour les parents, en particulier, la canicule soulève une question essentielle : peut-on vraiment continuer à travailler comme si de rien n’était, pendant que nos enfants suffoquent à l’école ou à la crèche ?

Alors que le changement climatique s’impose à tous, le concept de “congé canicule” pour les parents fait son chemin. Né d’un besoin réel, il suscite un débat riche et révélateur : comment concilier parentalité, sécurité des enfants et obligations professionnelles quand la chaleur devient extrême ?


Des enfants vulnérables… et des parents inquiets

À 37, 38, parfois même 40 °C, la question n’est plus de savoir s’il fait chaud, mais comment protéger les plus fragiles : les bébés, les jeunes enfants, les élèves de maternelle ou de primaire.

Dans de nombreux établissements scolaires, les conditions deviennent intenables : pas de climatisation, pas de volets, peu de ventilation. Certains parents s’interrogent donc : et si on nous donnait le droit de rester à la maison dans ces moments-là, sans être pénalisés ?


Une demande de plus en plus entendue

De plus en plus de familles appellent à un réel ajustement des conditions de travail en période de canicule. Ce que réclament certains n’est pas forcément un nouveau congé, mais une vraie prise en compte de la parentalité face au climat.

“Pas besoin de congés si les locaux sont adaptés”, résume une maman.
“Mais si mon enfant souffre et que je dois aller au travail, c’est insoutenable”, ajoute une autre.

La divergence est claire : entre ceux qui veulent des congés, ceux qui réclament des établissements adaptés, et ceux qui demandent plus de télétravail, le consensus reste difficile… mais l’urgence est partagée.


Des inégalités flagrantes

Le débat révèle aussi des inégalités criantes : tous les parents ne sont pas logés à la même enseigne. Pour ceux qui travaillent en extérieur, dans des usines ou dans le secteur médical, pas de télétravail possible.

“Il faut un congé canicule pour ceux qui n’ont pas d’autre option”, estime un père.
“Sinon, qu’on permette le télétravail sans grignoter les RTT”, suggère une mère.

En creux, c’est aussi la question du droit à protéger sa famille qui est posée : un droit souvent freiné par les contraintes économiques et la peur de perdre son emploi.


Et si les entreprises montraient l’exemple ?

Certaines structures prennent déjà les devants. À l’image de Back Market, qui a transformé ses bureaux de Paris et Bordeaux en lieux d’accueil climatisés pour les enfants (et même les animaux) de ses salariés, le temps des pics de chaleur.

Résultat ? Les parents peuvent travailler en sachant leurs enfants en sécurité, au frais, avec des animateurs et des goûters. Une initiative saluée par les familles… et les employés.

“C’est ce genre de solution concrète qu’on attend”, note une internaute.
“Hier, dans mon bureau, il faisait 38 °C. Personne ne peut travailler dans ces conditions.”


Conclusion : s’adapter, c’est protéger

Plutôt qu’une réponse unique, la canicule impose une nouvelle manière de penser le travail, la famille et la santé. Créer un congé canicule pour les parents ? Peut-être. Mais surtout, adapter les établissements scolaires, repenser les bureaux, assouplir le télétravail, et écouter les familles.

Car le vrai enjeu, ce n’est pas seulement la chaleur. C’est de protéger ce qu’il y a de plus précieux, même quand le thermomètre s’affole.

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Si vos parents ne vous ont jamais dit « je t’aime », vous portez peut-être ces 8 blessures invisibles à l’âge adulte https://familysante.com/si-vos-parents-ne-vous-ont-jamais-dit-je-taime-vous-portez-peut-etre-ces-8-blessures-invisibles-a-lage-adulte.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=si-vos-parents-ne-vous-ont-jamais-dit-je-taime-vous-portez-peut-etre-ces-8-blessures-invisibles-a-lage-adulte https://familysante.com/si-vos-parents-ne-vous-ont-jamais-dit-je-taime-vous-portez-peut-etre-ces-8-blessures-invisibles-a-lage-adulte.html#respond Tue, 01 Jul 2025 09:35:38 +0000 https://familysante.com/?p=8459 L’éducation émotionnelle que nous recevons pendant l’enfance façonne en profondeur notre manière d’aimer, de nous affirmer et de nous construire en tant qu’adultes. Pour certains, les gestes d’affection et les mots doux étaient fréquents. Pour d’autres, grandir dans un foyer où les émotions restaient silencieuses a laissé des traces. Si vos parents ne vous ont […]

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L’éducation émotionnelle que nous recevons pendant l’enfance façonne en profondeur notre manière d’aimer, de nous affirmer et de nous construire en tant qu’adultes. Pour certains, les gestes d’affection et les mots doux étaient fréquents. Pour d’autres, grandir dans un foyer où les émotions restaient silencieuses a laissé des traces. Si vos parents ne vous ont jamais dit « je t’aime », il est possible que vous en ressentiez encore les effets aujourd’hui, parfois sans même en avoir conscience.

Voici 8 traits souvent observés chez les adultes ayant grandi dans un environnement émotionnellement avare.


1. Une estime de soi fragile

Lorsqu’un enfant n’entend jamais verbalement qu’il est aimé, il peut en venir à douter de sa propre valeur. L’absence de ces mots-clés peut semer l’idée que l’amour est conditionnel, ou pire, qu’il n’est pas mérité. À l’âge adulte, cela peut se traduire par une difficulté à croire en soi, à prendre des initiatives, ou à s’autoriser à rêver grand.


2. Une difficulté à faire confiance… et à exprimer ses sentiments

Grandir sans modèles d’expression affective peut entraîner une forme de blocage émotionnel. Ces adultes peuvent ressentir de la gêne ou de la méfiance lorsqu’on leur montre de l’amour. Exprimer ce qu’ils ressentent ? Un exercice parfois vécu comme inconfortable ou inutile, tant cela leur semble étranger.


3. Un besoin constant de validation

Quand les marques d’affection manquent dans l’enfance, beaucoup se tournent vers l’extérieur pour combler ce vide. À l’âge adulte, cela peut se traduire par une quête incessante d’approbation : compliments, reconnaissance professionnelle, ou besoin d’être rassuré dans ses relations. Mais malgré tout, rien ne semble jamais suffire pour apaiser ce sentiment d’insécurité.


4. Une peur profonde du rejet

Si on n’a jamais su clairement qu’on était aimé, on peut passer sa vie à craindre de ne pas l’être. Cette peur du rejet devient un fil conducteur silencieux dans les relations. L’idée d’être abandonné ou incompris pousse à l’auto-sabotage, à l’isolement, ou au contraire, à une dépendance affective qui rend toute séparation douloureuse.


5. Une tendance à l’anxiété et à la dépression

L’amour verbal et émotionnel agit comme un socle sur lequel se construit l’enfant. Lorsqu’il est absent, ce socle peut vaciller, entraînant un terrain plus fragile pour gérer les aléas de la vie. Une moindre résistance au stress, une peur de la solitude ou un sentiment diffus d’inutilité peuvent s’installer à l’âge adulte, nourrissant anxiété ou mélancolie.


6. Des limites personnelles floues

Ne pas se sentir aimé peut amener l’enfant — puis l’adulte — à croire qu’il doit « mériter » l’attention ou l’acceptation. Résultat : il devient difficile de dire non, de poser des limites ou d’assumer ses besoins. L’autre passe avant soi, toujours. Par peur de déplaire ou d’être abandonné, on se tait, on cède, on s’efface.


7. Le syndrome du « people pleaser »

Dans cette même logique, certaines personnes deviennent expertes dans l’art de faire plaisir aux autres. Être gentil, serviable, accommodant : tout pour éviter les conflits ou les jugements. Ce comportement n’est pas seulement une gentillesse sincère, il traduit souvent un profond besoin d’être aimé… à n’importe quel prix.


8. Une gestion émotionnelle difficile

Un foyer où les émotions sont peu (ou pas) exprimées, c’est aussi un foyer où l’on n’apprend pas à les réguler. En grandissant, cela peut entraîner des réactions démesurées face à des situations banales : colère soudaine, frustration incontrôlée, ou à l’inverse, refoulement systématique des ressentis. Ce manque de repères émotionnels crée un déséquilibre durable.


Alors, est-il trop tard pour guérir ?

La bonne nouvelle, c’est que ces traits ne sont pas une fatalité. Reconnaître leurs origines, c’est déjà faire un pas vers la réparation. Thérapie, introspection, relations saines et bienveillantes sont autant de voies possibles pour réapprendre à s’aimer, à s’affirmer, et à se sentir en sécurité émotionnellement.

Dire « je t’aime » n’est pas qu’un mot. C’est un pilier invisible qui structure l’estime de soi. Et même s’il ne vous a jamais été offert, vous pouvez aujourd’hui choisir de l’offrir à vous-même… et à ceux que vous aimez.

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« Vous avez peut-être sauvé une vie » : Quand un excès de vitesse devient une leçon de vie https://familysante.com/vous-avez-peut-etre-sauve-une-vie-quand-un-exces-de-vitesse-devient-une-lecon-de-vie.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=vous-avez-peut-etre-sauve-une-vie-quand-un-exces-de-vitesse-devient-une-lecon-de-vie https://familysante.com/vous-avez-peut-etre-sauve-une-vie-quand-un-exces-de-vitesse-devient-une-lecon-de-vie.html#respond Mon, 30 Jun 2025 12:32:14 +0000 https://familysante.com/?p=8447 Il est rare de voir un parent remercier les forces de l’ordre après une infraction. Et pourtant, dans l’Orne, un message inhabituel a été partagé sur les réseaux sociaux, empreint de gratitude sincère. Un parent — père ou mère, on ne le sait pas — a tenu à remercier les gendarmes qui ont intercepté son […]

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Il est rare de voir un parent remercier les forces de l’ordre après une infraction. Et pourtant, dans l’Orne, un message inhabituel a été partagé sur les réseaux sociaux, empreint de gratitude sincère. Un parent — père ou mère, on ne le sait pas — a tenu à remercier les gendarmes qui ont intercepté son fils pour excès de vitesse, estimant qu’ils avaient « peut-être sauvé une vie ».

Un simple contrôle, une grande prise de conscience

Le jeune homme, tout juste titulaire du permis de conduire, a été flashé le 22 juin dernier entre Sées et Alençon, à une vitesse excessive. Le résultat : trois points en moins sur son permis et une amende de 90 euros. Un épisode marquant, semble-t-il. « Cet épisode semble avoir fortement marqué mon fils », explique le parent dans un message public. Il ou elle remercie les gendarmes « d’avoir fait preuve d’autorité et de pédagogie », soulignant à quel point leur intervention a eu un effet bénéfique.

De la sanction à la réflexion

Ce témoignage rappelle que certaines erreurs, bien encadrées, peuvent devenir des leçons précieuses. Loin de se limiter à une punition, l’intervention des gendarmes a permis de provoquer une vraie prise de conscience chez ce jeune conducteur. L’autorité, quand elle est exercée avec discernement, peut être formatrice.

Ce parent le dit avec des mots simples mais puissants : « Vous avez peut-être sauvé une vie. » Celle de son fils, bien sûr, mais peut-être aussi celle d’autres usagers de la route.

Un rappel utile pour tous les jeunes conducteurs

Cet événement illustre un enjeu majeur de la sécurité routière : la sensibilisation des jeunes conducteurs. Entre excitation de la nouveauté et manque d’expérience, le risque de se laisser emporter est réel. Un excès de vitesse peut sembler anodin… jusqu’au drame.

Ce témoignage parental nous rappelle que derrière chaque contrôle routier, il y a un objectif plus grand que la sanction : protéger des vies.

En conclusion

Dans un monde souvent prompt à critiquer, ce message de remerciement fait du bien. Il montre que la sécurité routière est l’affaire de tous : forces de l’ordre, parents, jeunes conducteurs. Et que parfois, un simple flash peut éclairer bien plus qu’une infraction. Il peut être le point de départ d’un changement salutaire.

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Papa aux toilettes : doit-il accompagner sa fille chez les hommes ou chez les femmes ? https://familysante.com/papa-aux-toilettes-doit-il-accompagner-sa-fille-chez-les-hommes-ou-chez-les-femmes.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=papa-aux-toilettes-doit-il-accompagner-sa-fille-chez-les-hommes-ou-chez-les-femmes https://familysante.com/papa-aux-toilettes-doit-il-accompagner-sa-fille-chez-les-hommes-ou-chez-les-femmes.html#respond Wed, 25 Jun 2025 19:38:48 +0000 https://familysante.com/?p=8394 C’est une question en apparence simple, presque banale, et pourtant, elle divise de nombreux parents et internautes : lorsqu’un papa sort avec sa fille et qu’elle a besoin d’aller aux toilettes, dans quel espace sanitaire l’emmène-t-il ? Dans les toilettes pour hommes, dont il est l’usager légitime, ou dans celles pour femmes, jugées souvent plus […]

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C’est une question en apparence simple, presque banale, et pourtant, elle divise de nombreux parents et internautes : lorsqu’un papa sort avec sa fille et qu’elle a besoin d’aller aux toilettes, dans quel espace sanitaire l’emmène-t-il ? Dans les toilettes pour hommes, dont il est l’usager légitime, ou dans celles pour femmes, jugées souvent plus propres et plus adaptées aux enfants ?

Un débat relancé récemment sur les réseaux sociaux par une anecdote partagée par une internaute a ravivé les échanges, et derrière cette interrogation, se dessinent des questions plus profondes de sécurité, d’intimité, de parentalité… et de société.

L’anecdote qui a tout relancé

Sur Threads, Roxxi, une jeune maman, raconte une scène vécue dans un centre commercial :

« J’étais en train de me laver les mains dans les toilettes femmes quand un homme a crié trois fois “Homme qui entre, je dois accompagner ma fille, désolé !” Il est passé rapidement vers une cabine, sa fille à la main. Une dame à côté de moi a affiché un regard réprobateur. Moi, je l’ai remercié pour son annonce. Franchement, je préfère qu’un papa fasse ça plutôt que de laisser sa fille aller seule dans les toilettes hommes. »

Ce témoignage, qui se voulait bienveillant, a rapidement déclenché des réactions contrastées.

Des arguments en faveur des toilettes femmes

De nombreux internautes — hommes et femmes — considèrent qu’un père est parfaitement dans son droit d’accompagner sa fille dans les toilettes pour femmes. Non pas par provocation ou confort personnel, mais parce que ce sont souvent des lieux plus adaptés aux jeunes enfants.

Les toilettes hommes, avec leurs urinoirs exposés, leur manque de séparation et parfois une hygiène douteuse, ne sont pas toujours considérées comme des lieux appropriés pour les petites filles.

Un internaute résume ainsi :

« Les toilettes femmes offrent plus d’intimité. Un papa n’a rien à voir là-dedans, il attend que sa fille soit dans une cabine et veille simplement à sa sécurité. Il ne regarde personne. »
Un autre ajoute :
« Ce n’est pas une question de genre, c’est une question de rôle parental. Il s’occupe de sa fille, point. »

Mais un malaise persiste

Cependant, toutes les femmes ne sont pas à l’aise avec cette situation. Certaines estiment que les toilettes pour femmes doivent rester un espace sécurisé et exclusivement féminin. Elles ne mettent pas en doute les intentions du papa, mais revendiquent leur droit à la tranquillité et à l’intimité dans ce lieu particulier.

« Il aurait pu attendre à l’extérieur ou demander à une femme d’aider sa fille. Moi, je ne me sens pas bien quand un homme entre, même pour de bonnes raisons », commente une utilisatrice.
« On ne peut pas banaliser la présence d’hommes dans les toilettes femmes, même si c’est justifié », insiste une autre.

Entre inconfort et bons sens

Alors que faire ? Certains suggèrent que le père attende devant les toilettes pendant qu’une femme (employée ou cliente) accompagne sa fille. D’autres estiment que cette option n’est ni réaliste, ni rassurante pour l’enfant. Déléguer ce moment intime à une inconnue n’est pas toujours une solution idéale, surtout quand l’enfant est très jeune.

La question révèle en réalité une lacune bien plus large : le manque de toilettes familiales ou neutres dans les lieux publics. Des espaces pensés pour accueillir un parent et un enfant, sans tabou ni malaise, et surtout sans imposer un choix cornélien entre deux inconforts.

Une réflexion nécessaire

Le débat reste ouvert, et chacun y projette ses propres limites, son vécu, ses craintes ou son bon sens. Mais une chose est certaine : ce type de situation pourrait être évité si les lieux publics s’adaptaient davantage aux réalités familiales.

Car en fin de compte, un père qui accompagne sa fille aux toilettes ne cherche ni à choquer ni à provoquer. Il assume son rôle de parent, là où il n’existe parfois aucune alternative acceptable.

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Un couple britannique détourne 350 000 euros grâce à 18 enfants… fictifs https://familysante.com/un-couple-britannique-detourne-350-000-euros-grace-a-18-enfants-fictifs.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=un-couple-britannique-detourne-350-000-euros-grace-a-18-enfants-fictifs https://familysante.com/un-couple-britannique-detourne-350-000-euros-grace-a-18-enfants-fictifs.html#respond Fri, 13 Jun 2025 21:01:39 +0000 https://familysante.com/?p=8228 Une affaire aussi surprenante que choquante a récemment fait les gros titres au Royaume-Uni. Un couple anglais a réussi à tromper l’administration fiscale pendant plusieurs années en prétendant avoir 18 enfants, alors qu’en réalité, seuls quatre existaient. Le montant de la fraude s’élève à plus de 350 000 euros sur une période de quatre ans. […]

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Une affaire aussi surprenante que choquante a récemment fait les gros titres au Royaume-Uni. Un couple anglais a réussi à tromper l’administration fiscale pendant plusieurs années en prétendant avoir 18 enfants, alors qu’en réalité, seuls quatre existaient. Le montant de la fraude s’élève à plus de 350 000 euros sur une période de quatre ans.

Une escroquerie organisée de l’intérieur

Le cœur de cette fraude se trouve dans un usage détourné des mécanismes de redistribution sociale. Tracy Ashbridge, 44 ans, employée des services fiscaux britanniques (HMRC), a profité de son poste pour orchestrer une fraude d’une ampleur rare entre 2015 et 2019. Elle a créé de faux profils d’enfants, souvent avec des handicaps fictifs, et a manipulé des dossiers déjà existants pour rendre ses déclarations crédibles.

Avec la complicité de son mari Robert, cuisinier dans une maison de retraite, elle a réussi à faire verser plus de 359 000 euros directement sur neuf comptes bancaires différents. Les messages échangés entre eux révèlent un certain cynisme, laissant entendre qu’ils considéraient cette fraude comme une forme de stratégie familiale.

Des sanctions légères face à une fraude massive

Le procès s’est tenu en septembre dernier devant la Crown Court de Newcastle. Tracy Ashbridge a été condamnée à deux ans et quatre mois de prison ferme, et son mari à 18 mois de prison avec sursis. Malgré l’ampleur du préjudice, le tribunal a estimé que le couple ne disposait d’aucun actif récupérable, et leur a symboliquement ordonné de rembourser… une livre sterling chacun.

Seuls 7 614 livres en espèces, soit environ 8 940 euros, saisis au domicile lors de leur arrestation, ont été confisqués. Le juge a toutefois précisé que la justice se réservait le droit de revenir sur cette décision si le couple venait à percevoir des revenus significatifs dans le futur.

Un système défaillant mis en lumière

Au-delà de la fraude elle-même, cette affaire met en lumière les failles importantes du système de contrôle interne au sein du HMRC. Le fait qu’une employée ait pu détourner une telle somme en toute impunité pendant plusieurs années, sans être inquiétée, soulève de sérieuses questions sur la surveillance et les procédures internes.

Interrogée lors de son procès, Tracy Ashbridge a déclaré s’être sentie « soulagée » une fois découverte. Une confession troublante, qui montre à quel point la spirale de la fraude peut également peser psychologiquement sur les fraudeurs eux-mêmes.

Une affaire qui interroge l’opinion publique

La clémence relative des peines prononcées, notamment sur le plan financier, a suscité de nombreuses réactions dans l’opinion publique britannique. Comment une telle escroquerie peut-elle aboutir à un simple remboursement symbolique, alors que des millions de familles respectueuses des règles perçoivent difficilement des aides bien moindres ?

Ce cas soulève un débat plus large sur l’équilibre entre justice pénale et efficacité des politiques sociales. Il rappelle aussi combien la confiance dans les institutions peut être fragilisée par des abus internes non détectés à temps.

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Familles nombreuses et aides sociales : entre réalité financière et clichés persistants https://familysante.com/familles-nombreuses-et-aides-sociales-entre-realite-financiere-et-cliches-persistants.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=familles-nombreuses-et-aides-sociales-entre-realite-financiere-et-cliches-persistants https://familysante.com/familles-nombreuses-et-aides-sociales-entre-realite-financiere-et-cliches-persistants.html#respond Mon, 19 May 2025 06:41:27 +0000 https://familysante.com/?p=7898 Être parent à plein temps est un défi en soi. Lorsqu’il s’agit d’élever une tribu de 13 enfants, le mot « défi » prend une toute autre dimension. C’est le quotidien de Cheryl Prudham, une Britannique de 34 ans, souvent surnommée par la presse « la reine des allocs », qui perçoit environ 50 000 € d’aides […]

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Être parent à plein temps est un défi en soi. Lorsqu’il s’agit d’élever une tribu de 13 enfants, le mot « défi » prend une toute autre dimension. C’est le quotidien de Cheryl Prudham, une Britannique de 34 ans, souvent surnommée par la presse « la reine des allocs », qui perçoit environ 50 000 € d’aides sociales par an pour subvenir aux besoins de sa famille nombreuse.

Un modèle familial marginal, mais assumé

En France, la norme actuelle tourne autour de 1,8 enfant par femme selon l’Insee. Le modèle de la famille nombreuse, autrefois courant, est devenu rare, et parfois même critiqué. Pourtant, certaines familles continuent de faire le choix d’avoir plusieurs enfants, souvent au nom de valeurs personnelles ou d’un projet de vie assumé. C’est le cas de Cheryl, qui vit au Royaume-Uni avec ses 12 enfants… en attendant l’arrivée du treizième.

Le débat sur les aides sociales : un éternel clivage

Le cas de cette mère de famille suscite l’intérêt autant qu’il alimente les débats. En effet, toucher près de 50 000 € d’aides sociales par an soulève régulièrement des critiques dans l’opinion publique. Toutefois, ce chiffre, bien que conséquent, doit être analysé dans son contexte.

Le Royaume-Uni possède un système d’aides sociales différent de celui de la France, avec des dispositifs spécifiques pour les familles nombreuses. Et contrairement à certaines idées reçues, ces aides ne sont pas versées sans conditions. Elles répondent à des critères de revenus, de logement, de situation familiale et d’emploi.

Et en France, combien touche une mère au foyer avec 13 enfants ?

Prenons l’exemple d’une famille française avec 13 enfants à charge. La Caisse d’Allocations Familiales (CAF) prévoit une allocation familiale de base qui augmente en fonction du nombre d’enfants. Pour 13 enfants, cette allocation seule peut atteindre 2 279,76 € par mois, soit environ 27 357 € par an.

Cependant, ce montant peut être complété par d’autres aides en fonction de la situation de la famille : aides au logement (APL), allocation de rentrée scolaire, complément familial, prime d’activité, RSA ou encore soutien pour garde d’enfants. Selon les cas, le total des aides peut donc grimper, mais reste généralement en deçà du montant perçu par Cheryl au Royaume-Uni.

Un quotidien exigeant, loin de la caricature

Derrière les montants et les titres racoleurs, se cache une réalité souvent méconnue : gérer un foyer de 13 enfants n’est pas de tout repos. Organisation, logistique, éducation, santé, repas, lessives… tout devient démultiplié. Et si certaines familles choisissent de faire ce pari, elles n’en sont pas moins confrontées aux mêmes défis économiques et sociaux que les autres.

Conclusion

Le cas de Cheryl Prudham met en lumière un débat complexe sur la perception des aides sociales et des familles nombreuses. Il soulève aussi une question essentielle : comment la société peut-elle mieux accompagner les familles, quelle que soit leur taille, sans les stigmatiser ? Car derrière chaque chiffre, il y a des êtres humains, avec leurs choix, leurs valeurs et leurs contraintes.

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Comment accéder aux comptes bancaires après un décès ? https://familysante.com/comment-acceder-aux-comptes-bancaires-apres-un-deces.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=comment-acceder-aux-comptes-bancaires-apres-un-deces https://familysante.com/comment-acceder-aux-comptes-bancaires-apres-un-deces.html#respond Tue, 29 Apr 2025 10:05:48 +0000 https://familysante.com/?p=7736 Lorsqu’un proche décède, de nombreuses démarches administratives s’imposent, notamment auprès de sa banque. Que devient le compte du défunt ? Peut-on y accéder pour payer les frais d’obsèques ? Qu’en est-il d’un compte joint ? Voici un point complet sur les règles en vigueur. Blocage du compte dès l’annonce du décès Dès qu’elle est informée […]

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Lorsqu’un proche décède, de nombreuses démarches administratives s’imposent, notamment auprès de sa banque. Que devient le compte du défunt ? Peut-on y accéder pour payer les frais d’obsèques ? Qu’en est-il d’un compte joint ? Voici un point complet sur les règles en vigueur.

Blocage du compte dès l’annonce du décès

Dès qu’elle est informée du décès d’un titulaire de compte individuel, la banque procède immédiatement au blocage de ses comptes. Ce blocage signifie qu’aucune opération (ni retrait, ni dépôt) ne peut plus être effectuée, sauf exceptions bien précises.

Quid de la procuration ?

Même si une personne disposait d’une procuration sur le compte, celle-ci devient caduque dès le décès du titulaire. La banque n’autorise donc plus aucune opération sur la base de cette procuration.

Et si le compte était un compte joint ?

Les règles sont différentes pour un compte joint. En général, ce type de compte continue de fonctionner au nom du cotitulaire survivant. Il peut donc l’utiliser librement, sauf si les héritiers du défunt s’y opposent. En principe, la moitié du solde du compte est considérée comme appartenant au conjoint survivant, tandis que l’autre moitié entre dans la succession.

Peut-on payer les frais d’obsèques avec l’argent du défunt ?

Oui. C’est l’une des rares exceptions au blocage bancaire. La personne qui a réglé les funérailles peut demander à se faire rembourser à partir du compte du défunt, sur présentation des justificatifs. Cette opération est possible dans la limite de 5 000 euros. Il est aussi possible, dans certains cas, de débloquer cette somme pour d’autres dépenses urgentes (impôts, frais médicaux…).

Clôture du compte du défunt : dans quels cas ?

Lorsque le montant disponible sur le compte est inférieur à 5 000 euros et qu’aucun bien immobilier ne figure dans la succession, l’un des héritiers peut demander la clôture du compte. Il devra alors prouver sa qualité d’héritier, soit par un certificat de notoriété établi par un notaire, soit par une attestation signée de l’ensemble des héritiers.

Des frais bancaires parfois élevés

La gestion des comptes d’un défunt génère des frais spécifiques, appelés frais de succession. Ils couvrent notamment la réalisation d’un arrêté des comptes et la transmission des informations à l’administration fiscale. Ces frais varient fortement d’une banque à l’autre. Une étude de l’UFC-Que Choisir révèle qu’ils s’élèvent en moyenne à 233 euros, mais peuvent atteindre plus de 500 euros selon les établissements. Une proposition de loi actuellement à l’étude vise à encadrer ces frais pour éviter les abus, notamment en les interdisant pour les successions inférieures à 5 000 euros.


Conclusion
Accéder aux comptes d’un défunt nécessite le respect de règles strictes. Il est important de se faire accompagner, si besoin, par un notaire pour faciliter les démarches et éviter tout litige entre héritiers.

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Le rôle précieux des grands-mères : un pilier du bien-être des enfants, validé par la science https://familysante.com/le-role-precieux-des-grands-meres-un-pilier-du-bien-etre-des-enfants-valide-par-la-science.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=le-role-precieux-des-grands-meres-un-pilier-du-bien-etre-des-enfants-valide-par-la-science https://familysante.com/le-role-precieux-des-grands-meres-un-pilier-du-bien-etre-des-enfants-valide-par-la-science.html#respond Thu, 24 Apr 2025 08:06:45 +0000 https://familysante.com/?p=7716 Dans un monde où les rythmes effrénés du quotidien pèsent parfois sur la qualité des relations familiales, la présence bienveillante des grands-mères se révèle être une ressource inestimable. Bien plus qu’un simple soutien ponctuel, elles jouent un rôle déterminant dans le développement émotionnel, cognitif et même physique des enfants. Et ce n’est pas qu’une impression […]

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Dans un monde où les rythmes effrénés du quotidien pèsent parfois sur la qualité des relations familiales, la présence bienveillante des grands-mères se révèle être une ressource inestimable. Bien plus qu’un simple soutien ponctuel, elles jouent un rôle déterminant dans le développement émotionnel, cognitif et même physique des enfants. Et ce n’est pas qu’une impression : la science le confirme.

Des liens affectifs sécurisants

Plusieurs études en psychologie du développement ont montré que les enfants bénéficiant d’un lien étroit avec leur grand-mère présentent une meilleure stabilité émotionnelle. Ce lien, souvent empreint de tendresse et de patience, permet à l’enfant de se sentir écouté, compris et aimé sans condition. Contrairement aux parents, souvent pris dans la gestion quotidienne, les grands-mères peuvent offrir un temps de qualité plus apaisé, favorisant la création de souvenirs heureux et durables.

Une mémoire vivante et un ancrage culturel

Les grands-mères transmettent également un héritage culturel et familial précieux. Les contes qu’elles racontent, les recettes qu’elles partagent, ou encore les traditions qu’elles perpétuent offrent aux enfants une continuité entre les générations. Cela renforce leur sentiment d’identité et leur stabilité intérieure. D’un point de vue psychologique, cet enracinement contribue à leur construction personnelle et à leur sentiment d’appartenance.

Un soutien au développement cognitif

Des recherches ont montré que les interactions intergénérationnelles stimulent le langage, la curiosité et la créativité des enfants. Une étude menée à l’Université d’Oxford a révélé que les enfants en contact régulier avec leurs grands-parents, en particulier les grands-mères, ont de meilleurs résultats scolaires et des comportements sociaux plus adaptés. Ces effets sont en partie liés à l’écoute active et à la transmission de savoirs de manière ludique.

Une source de résilience face aux difficultés

La présence d’une grand-mère attentive peut aussi jouer un rôle protecteur en cas de difficultés familiales comme un divorce ou une période de stress. Elle représente alors un repère stable, une figure rassurante capable d’accueillir les émotions de l’enfant et de l’accompagner avec douceur dans ses questionnements. Ce rôle tampon est essentiel pour maintenir un équilibre psychique et émotionnel.

Une relation bénéfique pour les deux générations

Enfin, il ne faut pas oublier que ce lien est enrichissant dans les deux sens. Les grands-mères trouvent dans la relation avec leurs petits-enfants une source de joie, de vitalité et parfois même de sens. De nombreuses études soulignent que ces liens intergénérationnels réduisent les risques de dépression et d’isolement chez les personnes âgées.

En conclusion

La relation entre une grand-mère et son petit-enfant est bien plus qu’une simple présence affectueuse : elle constitue un véritable moteur de bien-être. En reconnaissant la valeur de ce lien, les familles et les sociétés peuvent renforcer les solidarités intergénérationnelles et offrir aux enfants un environnement affectif encore plus riche et porteur.

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Une mère de famille fait polémique en squattant une villa de luxe https://familysante.com/une-mere-de-famille-fait-polemique-en-squattant-une-villa-de-luxe.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=une-mere-de-famille-fait-polemique-en-squattant-une-villa-de-luxe https://familysante.com/une-mere-de-famille-fait-polemique-en-squattant-une-villa-de-luxe.html#respond Wed, 23 Apr 2025 11:18:24 +0000 https://familysante.com/?p=7710 En Espagne, une affaire étonnante et controversée défraie actuellement la chronique et fait grand bruit sur les réseaux sociaux. María Iguazo, une mère de cinq enfants, a choisi de s’installer illégalement dans une luxueuse villa située à Cose Noves, un quartier huppé de l’île de Minorque, estimée à 670 000 euros. Sa justification ? Elle […]

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En Espagne, une affaire étonnante et controversée défraie actuellement la chronique et fait grand bruit sur les réseaux sociaux. María Iguazo, une mère de cinq enfants, a choisi de s’installer illégalement dans une luxueuse villa située à Cose Noves, un quartier huppé de l’île de Minorque, estimée à 670 000 euros. Sa justification ? Elle estime tout simplement qu’elle le mérite.

Une vidéo virale qui fait scandale

Tout a commencé avec une vidéo publiée sur les réseaux sociaux où l’on voit la jeune femme faire visiter la propriété comme si elle en était l’heureuse propriétaire. La villa de 160 mètres carrés habitables, posée sur un terrain de 800 mètres carrés avec piscine privée et vue imprenable sur la mer, n’a rien à envier aux maisons de stars. « Même Beyoncé ne pourrait pas se la payer », ironise María dans la vidéo.

Mais très vite, ce qui pouvait sembler au départ comme une simple provocation a tourné à la controverse nationale. La vidéo est devenue virale, suscitant de vives réactions du public et des médias. En quelques jours, le nom de María Iguazo s’est retrouvé au cœur d’un débat houleux sur l’occupation illégale, les aides sociales, et les responsabilités individuelles.

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Un choix revendiqué

Ce qui choque particulièrement, c’est le discours assumé de la mère de famille. Elle ne se cache pas, ne demande pas pardon, et revendique ouvertement son acte. Elle déclare mériter ce confort malgré les conditions illégales de son installation. Avec 1 500 euros d’aides sociales perçues chaque mois, elle affirme ne pas avoir d’autre choix pour offrir un cadre de vie décent à ses enfants.

Cette posture soulève des interrogations profondes sur la précarité, la justice sociale et les limites de la provocation dans l’espace public.

Un durcissement de la loi

Face à la recrudescence des occupations illégales ces derniers mois, les autorités espagnoles ont récemment adopté une nouvelle législation. Votée le 27 juillet, cette loi vise à accélérer les procédures d’expulsion et à alourdir les sanctions contre les squatteurs. Le cas de María Iguazo pourrait bien devenir un exemple emblématique de cette politique plus répressive.

Selon les dernières informations relayées par les médias locaux, la jeune femme risque désormais une expulsion imminente. Les autorités, alertées par la diffusion massive de la vidéo, ont ouvert une enquête. Si rien n’a encore été confirmé quant à la date d’intervention, il semble que les vacances à Minorque touchent à leur fin pour María et ses enfants.

Entre fascination et indignation

Cette affaire met en lumière un phénomène complexe où se croisent misère sociale, système d’aides, choix individuels, et crispation autour de la propriété privée. Elle soulève également une question importante : jusqu’où peut-on aller pour revendiquer ce que l’on estime mériter, sans basculer dans l’illégalité ?

L’histoire de María Iguazo n’est pas qu’un fait divers. Elle est le miroir de tensions profondes, qui traversent aujourd’hui de nombreuses sociétés européennes.

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Quand la vie décide pour nous : comment une famille de cinq est devenue une famille de huit https://familysante.com/quand-la-vie-decide-pour-nous-comment-une-famille-de-cinq-est-devenue-une-famille-de-huit.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=quand-la-vie-decide-pour-nous-comment-une-famille-de-cinq-est-devenue-une-famille-de-huit https://familysante.com/quand-la-vie-decide-pour-nous-comment-une-famille-de-cinq-est-devenue-une-famille-de-huit.html#respond Mon, 21 Apr 2025 14:05:21 +0000 https://familysante.com/?p=7690 Parfois, la vie réserve des surprises que même les esprits les plus rêveurs n’auraient pas pu imaginer. C’est exactement ce qu’ont vécu Natasha et Jordan, un couple britannique qui pensait simplement agrandir leur famille avec un « petit quatrième »… et qui s’est retrouvé à accueillir des triplés. Déjà parents de trois jeunes enfants, Molly-May, Lily et […]

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Parfois, la vie réserve des surprises que même les esprits les plus rêveurs n’auraient pas pu imaginer. C’est exactement ce qu’ont vécu Natasha et Jordan, un couple britannique qui pensait simplement agrandir leur famille avec un « petit quatrième »… et qui s’est retrouvé à accueillir des triplés.

Déjà parents de trois jeunes enfants, Molly-May, Lily et Finley, ils se sont retrouvés du jour au lendemain à la tête d’une fratrie de six, avec l’arrivée de Frankie, Elsie et Louie. Une transformation aussi bouleversante qu’inattendue, qui a changé leur quotidien, leurs priorités, et leur vision de la parentalité.

Une grossesse surprise… puissance trois

Quand Natasha a découvert qu’elle était enceinte, elle ne s’attendait pas à un tel bouleversement. Les premiers symptômes se sont manifestés tardivement, et c’est seulement à l’échographie que le couple a appris qu’ils n’attendaient pas un, ni deux, mais trois bébés. Un choc. Une joie teintée d’inquiétude.

Les triplés sont arrivés prématurément à 33 semaines, par césarienne. Une naissance qui a marqué le début d’une toute nouvelle organisation familiale.

Réorganiser toute une vie

Avec six enfants, le quotidien devient une vraie gymnastique. L’ancienne voiture, une Nissan Qashqai, a rapidement été remplacée par un véhicule sept places. Mais même avec cette nouvelle voiture, impossible de faire tenir tout le monde en une seule fois. Résultat : les trajets familiaux se font désormais à deux véhicules, ou à pied, comme pour accompagner les aînés à l’école.

Leur maison de quatre chambres, autrefois confortable, semble maintenant bien étroite. Pourtant, déménager n’est pas envisageable à court terme. Le couple, très engagé professionnellement, se retrouve face à un dilemme : continuer à travailler à temps plein, ou mettre une carrière entre parenthèses pour assurer la stabilité familiale.

Soutien, entraide et adaptation

Heureusement, ils ne sont pas seuls. Deux autres mamans de triplés, vivant dans la région, leur ont tendu la main. Elles ont partagé conseils, matériel et surtout, une oreille attentive. Une poussette triple, des vêtements, des équipements pour bébé… La solidarité prend ici tout son sens.

Mais malgré les difficultés et l’incertitude, Natasha reste sereine. Le couple a même envisagé la stérilisation pour ne pas agrandir davantage la famille, mais leur demande a été refusée à cause de leur âge. Qu’à cela ne tienne : pour eux, cette aventure inattendue est aujourd’hui une source de bonheur intense, même si le chemin reste semé d’embûches.

Grandir avec ses enfants

Ce que cette histoire nous rappelle, c’est que devenir parent, c’est aussi continuer à grandir soi-même. Apprendre à lâcher prise, à s’adapter, à redéfinir ses priorités. Et surtout, à accueillir l’inattendu avec courage et tendresse.

Avoir six enfants n’était pas prévu. Mais pour Natasha et Jordan, c’est désormais leur réalité. Une vie plus bruyante, plus chaotique… mais infiniment plus riche.

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