Archives des Vie de famille/éducation - Family santé https://familysante.com/category/vie-de-familleeducation Santé, famille, bien être Tue, 02 Sep 2025 11:36:24 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.3 https://familysante.com/wp-content/uploads/2016/12/cropped-Wear-32x32.png Archives des Vie de famille/éducation - Family santé https://familysante.com/category/vie-de-familleeducation 32 32 Rentrée 2025 : ce changement de dernière minute dans la notation des élèves fait grincer des dents https://familysante.com/rentree-2025-ce-changement-de-derniere-minute-dans-la-notation-des-eleves-fait-grincer-des-dents.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=rentree-2025-ce-changement-de-derniere-minute-dans-la-notation-des-eleves-fait-grincer-des-dents https://familysante.com/rentree-2025-ce-changement-de-derniere-minute-dans-la-notation-des-eleves-fait-grincer-des-dents.html#respond Tue, 02 Sep 2025 11:36:22 +0000 https://familysante.com/?p=9367 La rentrée scolaire 2025-2026 ne démarre pas sous les meilleurs auspices pour les lycéens et leurs familles. À peine les cartables ressortis, un changement inattendu dans le système de notation au lycée vient bouleverser les habitudes. Et les réactions ne se font pas attendre. Un nouveau système de notes pour le bac et Parcoursup Depuis […]

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La rentrée scolaire 2025-2026 ne démarre pas sous les meilleurs auspices pour les lycéens et leurs familles. À peine les cartables ressortis, un changement inattendu dans le système de notation au lycée vient bouleverser les habitudes. Et les réactions ne se font pas attendre.

Un nouveau système de notes pour le bac et Parcoursup

Depuis la réforme Blanquer de 2018, la moyenne des notes issues du contrôle continu compte pour 40 % de la note finale du baccalauréat. Mais à partir de cette année, une modification de taille est introduite : les élèves de première et de terminale auront désormais deux types de notes.

  • Les notes « certificatives » : elles compteront pour le bac et Parcoursup.
  • Les notes à coefficient zéro : elles apparaîtront au bulletin, mais n’auront aucun poids dans le calcul final.

Concrètement, les devoirs jugés les plus importants – dissertations, épreuves longues, travaux de recherche – devraient intégrer la première catégorie. En revanche, les petits contrôles, QCM ou évaluations ponctuelles ne pèseront plus dans la balance.

L’objectif affiché par le ministère est clair : rendre le système « plus fidèle au niveau réel des lycéens », éviter que de simples exercices annexes ne viennent gonfler artificiellement une moyenne, et renforcer l’égalité entre les élèves.

Des parents et des enseignants désorientés

Sur le papier, la mesure peut sembler logique. Mais sur le terrain, elle sème déjà la confusion. Comment savoir à l’avance quelles évaluations compteront vraiment ? Chaque établissement devra définir sa propre organisation et informer les familles avant la Toussaint. Autant dire que les calculs des moyennes, si chers aux parents comme aux élèves, vont se compliquer.

Certains y voient une source de stress supplémentaire : les « vraies » notes risquent de se concentrer sur quelques évaluations seulement, renforçant la pression le jour J.

Les syndicats dénoncent une « diversion »

Les syndicats d’enseignants, eux, n’ont pas mâché leurs mots. Pour Sophie Vénétitay, secrétaire générale du Snes-FSU, cette réforme décidée à la hâte est une « diversion », imposée sans concertation. Jean-Rémi Girard, président du Snalc, déplore de son côté une nouvelle tentative de contrôle des pratiques des professeurs :

« Cela n’en finit plus depuis la réforme du bac de Jean-Michel Blanquer. »

Dans un contexte où enseignants comme élèves réclament plus de stabilité, ce changement de dernière minute ressemble pour beaucoup à un nouveau casse-tête administratif.

Une réforme qui divise, encore une fois

La question des notes à l’école a toujours cristallisé les débats. Déjà en 2012, un sondage IFOP révélait que 80 % des Français s’opposaient à leur suppression. Cette rentrée 2025 confirme que le sujet reste explosif.

En cherchant à « mieux refléter le niveau des élèves », le ministère de l’Éducation risque surtout d’alimenter un climat de méfiance et d’incertitude. Reste à voir comment parents, enseignants et lycéens s’adapteront à ce nouveau système… et s’il sera maintenu dans la durée.

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Ces phrases entendues à l’école dans les années 70-80 qui feraient bondir aujourd’hui https://familysante.com/ces-phrases-entendues-a-lecole-dans-les-annees-70-80-qui-feraient-bondir-aujourdhui.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=ces-phrases-entendues-a-lecole-dans-les-annees-70-80-qui-feraient-bondir-aujourdhui https://familysante.com/ces-phrases-entendues-a-lecole-dans-les-annees-70-80-qui-feraient-bondir-aujourdhui.html#respond Sun, 24 Aug 2025 12:01:21 +0000 https://familysante.com/?p=9259 Dans moins de deux semaines, les élèves reprendront le chemin de l’école. Si la rentrée est souvent synonyme d’excitation et parfois d’appréhension, elle reste aussi l’occasion de se remémorer nos propres souvenirs d’écoliers. Et pour beaucoup de ceux qui ont grandi dans les années 70 ou 80, une chose saute aux yeux : les enseignants […]

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Dans moins de deux semaines, les élèves reprendront le chemin de l’école. Si la rentrée est souvent synonyme d’excitation et parfois d’appréhension, elle reste aussi l’occasion de se remémorer nos propres souvenirs d’écoliers. Et pour beaucoup de ceux qui ont grandi dans les années 70 ou 80, une chose saute aux yeux : les enseignants d’hier n’avaient pas tout à fait la même manière de s’adresser à leurs élèves que ceux d’aujourd’hui.

À une époque où l’on valorisait la discipline, l’endurance et l’autorité, certaines phrases considérées comme anodines à l’époque seraient aujourd’hui vues comme brutales, voire traumatisantes. Voici un florilège de ces petites sentences qui résonnent encore dans la mémoire des anciens élèves – mais qui feraient bondir parents et pédagogues en 2025.


« Peu importe qui a commencé »

Lorsqu’une bagarre éclatait dans la cour, inutile de chercher le coupable ou la victime. Tout le monde était puni de la même manière. Le message était clair : la vie est injuste, il faut l’accepter. Aujourd’hui, les enseignants sont encouragés à écouter, à comprendre le contexte et à privilégier la médiation plutôt que la sanction systématique.


« Arrête de pleurer ou je te donnerai une raison de pleurer »

Grand classique de l’éducation d’antan, cette phrase illustre à quel point exprimer ses émotions n’était pas toujours bien vu. Si elle visait à endurcir les enfants, elle revenait en réalité à les punir une deuxième fois pour avoir osé pleurer. Une approche que les psychologues actuels considèrent comme nocive pour le développement émotionnel.


« Il n’exploite pas son potentiel »

Les bulletins scolaires des années 70-80 étaient de véritables anthologies de remarques assassines. La formule « n’exploite pas son potentiel » revenait souvent, sous-entendant que l’enfant était paresseux plutôt qu’en difficulté. Aujourd’hui, la tendance est à l’encouragement, à l’individualisation et à la recherche de solutions adaptées.


« Les bâtons et les pierres peuvent briser vos os, mais les mots ne vous feront jamais de mal »

Censée minimiser l’impact des insultes et moqueries, cette phrase était la réponse officielle au harcèlement scolaire. Pourtant, on sait désormais que les blessures émotionnelles peuvent être aussi profondes que les blessures physiques. Les écoles actuelles privilégient la prévention, l’écoute et l’accompagnement pour lutter contre ces violences invisibles.


« Les garçons seront toujours des garçons »

Turbulents, bagarreurs, bruyants : c’était « normal » pour les garçons, tandis qu’on attendait des filles qu’elles soient sages et appliquées. Un cliché sexiste ancré dans l’éducation de l’époque, mais largement remis en question aujourd’hui par des approches pédagogiques qui cherchent à déconstruire les stéréotypes de genre.


« Ceci sera noté dans ton carnet »

Chaque bêtise, chaque remarque négative finissait consignée noir sur blanc, avec parfois plus de poids que les rares compliments. Cette méthode fonctionnait comme une marque indélébile de « mauvaise conduite ». En 2025, les enseignants privilégient plutôt l’encouragement et la valorisation des progrès, considérant que la peur et l’humiliation ne sont pas des leviers efficaces pour apprendre.


Une éducation à la dure… mais marquante

Ces phrases font sourire certains anciens élèves et grimacer d’autres. Elles témoignent surtout d’une époque où l’autorité et la discipline passaient avant la bienveillance et l’écoute. Aujourd’hui, les pratiques éducatives évoluent vers plus de dialogue, de respect de l’enfant et d’accompagnement personnalisé.

Mais une chose est sûre : pour ceux qui ont grandi dans les années 70-80, ces petites phrases resteront gravées dans la mémoire… parfois comme des traumatismes, parfois comme des souvenirs d’une école « à l’ancienne ».

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Rentrée scolaire 2025 : l’uniforme bientôt obligatoire dans les écoles françaises ? https://familysante.com/rentree-scolaire-2025-luniforme-bientot-obligatoire-dans-les-ecoles-francaises.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=rentree-scolaire-2025-luniforme-bientot-obligatoire-dans-les-ecoles-francaises https://familysante.com/rentree-scolaire-2025-luniforme-bientot-obligatoire-dans-les-ecoles-francaises.html#respond Fri, 22 Aug 2025 10:09:20 +0000 https://familysante.com/?p=9226 La rentrée 2025 s’ouvre sur un débat brûlant qui agite parents, enseignants et élèves : le port de l’uniforme à l’école. Depuis septembre 2024, une centaine d’établissements volontaires testent le port d’une tenue commune, et l’expérience se poursuit cette année. Alors, votre enfant fait-il partie de ceux qui doivent enfiler l’uniforme dès la rentrée ? […]

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La rentrée 2025 s’ouvre sur un débat brûlant qui agite parents, enseignants et élèves : le port de l’uniforme à l’école. Depuis septembre 2024, une centaine d’établissements volontaires testent le port d’une tenue commune, et l’expérience se poursuit cette année. Alors, votre enfant fait-il partie de ceux qui doivent enfiler l’uniforme dès la rentrée ?

Une expérimentation déjà en cours

L’idée n’est pas nouvelle. L’uniforme a longtemps marqué la vie scolaire française, avant d’être abandonné après Mai 68. Mais en décembre 2023, Gabriel Attal, alors ministre de l’Éducation nationale, avait annoncé son retour sous forme d’expérimentation dans certaines communes volontaires.

Depuis septembre 2024, des écoles, collèges et lycées participent à ce test. Les familles n’ont rien à payer : chaque élève reçoit gratuitement un trousseau type d’une valeur de 200 euros, composé de plusieurs vêtements sobres et mixtes. En cas de perte ou d’usure, les pièces peuvent être remplacées.

Quels établissements sont concernés ?

Les écoles participantes se trouvent un peu partout en France. En Île-de-France, des villes comme Neuilly-sur-Marne, Aubervilliers ou Coubron font partie du dispositif. Dans le Nord, on retrouve Tourcoing, Denain ou encore Attiches. Dans le Sud, Béziers, Perpignan et Nice sont également concernés. Outre-mer, plusieurs collèges de Mayotte, de Guyane et de La Réunion expérimentent eux aussi l’uniforme.

À la rentrée 2025, ces établissements poursuivent donc l’expérience pour une deuxième année.

Un retour qui divise

Pour certains, l’uniforme est un outil efficace pour réduire les inégalités sociales et apaiser les tensions liées à l’apparence. Il permettrait aussi de renforcer la cohésion et de créer un sentiment d’appartenance.

Mais d’autres y voient une atteinte à la liberté d’expression des élèves et craignent une uniformisation excessive. Comme le rappelle le gouvernement, « on expérimente et on évalue » avant toute généralisation.

Une décision attendue en 2026

Cette phase d’essai sera suivie et analysée par un comité scientifique. Les conclusions sont attendues en 2026 : elles détermineront si l’uniforme sera généralisé à toutes les écoles françaises, ou s’il restera une simple parenthèse.

En attendant, pour la rentrée 2025, seuls certains élèves continueront à porter l’uniforme. Le débat, lui, est loin d’être clos.

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Rentrée 2025 : l’éducation à la vie affective et sexuelle devient obligatoire dès la maternelle https://familysante.com/rentree-2025-leducation-a-la-vie-affective-et-sexuelle-devient-obligatoire-des-la-maternelle.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=rentree-2025-leducation-a-la-vie-affective-et-sexuelle-devient-obligatoire-des-la-maternelle https://familysante.com/rentree-2025-leducation-a-la-vie-affective-et-sexuelle-devient-obligatoire-des-la-maternelle.html#respond Thu, 21 Aug 2025 13:41:19 +0000 https://familysante.com/?p=9217 La rentrée scolaire 2025 s’annonce marquée par un tournant important dans l’enseignement en France. À partir de septembre, tous les élèves, de la maternelle au lycée, bénéficieront d’un programme renforcé d’éducation à la vie affective et sexuelle. Une mesure qui suscite déjà autant d’attentes que de débats. Une mesure déjà inscrite dans la loi depuis […]

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La rentrée scolaire 2025 s’annonce marquée par un tournant important dans l’enseignement en France. À partir de septembre, tous les élèves, de la maternelle au lycée, bénéficieront d’un programme renforcé d’éducation à la vie affective et sexuelle. Une mesure qui suscite déjà autant d’attentes que de débats.

Une mesure déjà inscrite dans la loi depuis 2001

Peu de parents le savent : l’éducation à la sexualité est en réalité obligatoire depuis plus de vingt ans. La loi du 4 juillet 2001 prévoit au moins trois séances annuelles dans chaque cycle scolaire, du primaire au lycée. Mais dans les faits, son application restait très inégale selon les établissements.

Avec la réforme portée par la ministre de l’Éducation nationale, Élisabeth Borne, ce programme devient désormais systématique et encadré, avec un suivi renforcé.

Des contenus adaptés à chaque âge

Le ministère insiste sur un point essentiel : les séances ne seront pas les mêmes selon l’âge des élèves.

  • En maternelle et en primaire : l’accent sera mis sur la découverte de soi et du corps, l’expression des émotions, le respect de soi et des autres, ainsi que la prévention des violences. L’objectif est d’aider les enfants à mieux se connaître, à comprendre leurs sentiments et à développer une relation sereine avec les autres.
  • Au collège et au lycée : les thématiques abordées s’élargiront à des sujets plus concrets tels que la contraception, les infections sexuellement transmissibles, le consentement, l’égalité filles-garçons, mais aussi la lutte contre le harcèlement et les stéréotypes de genre.

Prévenir plutôt que guérir

Pour le ministère, cet enseignement n’a rien d’anecdotique : il vise à outiller les jeunes face aux réalités de la vie affective et sociale. Les enjeux sont nombreux :

  • prévenir les violences sexuelles et sexistes,
  • réduire les risques liés à la santé (grossesses non désirées, IST),
  • promouvoir l’égalité et le respect,
  • offrir un espace d’échange et de dialogue.

Entre soutien et contestations

Si de nombreux parents et associations saluent cette initiative, certains restent inquiets sur le contenu et l’âge jugé parfois trop précoce. La ministre a rappelé que le programme a été validé par le Conseil supérieur de l’éducation et qu’il a été pensé pour être progressif, adapté et respectueux du développement des enfants.

Une rentrée placée sous le signe du changement

Au-delà de cette réforme, la rentrée 2025 sera aussi marquée par la généralisation progressive du dispositif “portable en pause” dans les collèges publics, afin de limiter la surexposition aux écrans.

Entre lutte contre les excès numériques et meilleure éducation à la vie affective, le ministère entend faire de cette rentrée un moment charnière pour préparer les élèves aux défis du monde moderne.

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Quand la confiance familiale se brise : l’histoire d’une mère qui a suivi son instinct https://familysante.com/quand-la-confiance-familiale-se-brise-lhistoire-dune-mere-qui-a-suivi-son-instinct.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=quand-la-confiance-familiale-se-brise-lhistoire-dune-mere-qui-a-suivi-son-instinct https://familysante.com/quand-la-confiance-familiale-se-brise-lhistoire-dune-mere-qui-a-suivi-son-instinct.html#respond Thu, 14 Aug 2025 17:01:04 +0000 https://familysante.com/?p=9136 Confier son enfant à un membre de la famille est souvent perçu comme la solution la plus rassurante. Après tout, qui pourrait mieux s’occuper d’un petit qu’une grand-mère aimante ? Pourtant, certaines histoires rappellent que la confiance aveugle peut parfois cacher de lourdes surprises… Un geste en apparence bienveillant Élise et son mari Julien, comme […]

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Confier son enfant à un membre de la famille est souvent perçu comme la solution la plus rassurante. Après tout, qui pourrait mieux s’occuper d’un petit qu’une grand-mère aimante ? Pourtant, certaines histoires rappellent que la confiance aveugle peut parfois cacher de lourdes surprises…

Un geste en apparence bienveillant

Élise et son mari Julien, comme de nombreux parents, jonglent entre travail et vie familiale. Leur fille Lina, quatre ans, passe la plupart de ses journées à la crèche. Un jour, Monique, la mère de Julien, leur propose de garder Lina chaque mercredi.
« Elle a besoin de passer plus de temps avec sa famille », affirme-t-elle.
Élise accepte avec gratitude. Lina semble ravie et les premières semaines se déroulent parfaitement.

Les premiers signaux d’alerte

Peu à peu, Élise remarque des changements subtils. Sa fille devient plus réservée, ses propos parfois étranges. Un soir, Lina évoque « l’amie secrète » avec qui elle dîne chez mamie. Et cette amie, selon ses mots, « fait partie de la famille, mais maman ne l’aime pas ».
Un frisson d’inquiétude traverse Élise. Qui est cette personne ? Pourquoi ce secret ?

Quand l’instinct prend le dessus

Poussée par un pressentiment, Élise installe discrètement une mini-caméra chez sa belle-mère un mercredi matin. Les images commencent innocemment : Lina joue, Monique lit une histoire… jusqu’à cette phrase :
« Ne dis rien à maman, notre amie arrive bientôt. »
La porte s’ouvre, et apparaît Camille… l’ex-compagne de Julien. Une femme qu’Élise pensait définitivement sortie de leur vie.

La trahison mise à jour

Monique avait réintroduit Camille dans le quotidien de Lina, sans en informer Élise ni même Julien. Pire encore, elle assumait pleinement son geste, affirmant que sa belle-fille « n’a jamais fait partie de la vraie famille ». Camille, mal à l’aise, avoue avoir cédé aux insistances de Monique.

Protéger coûte que coûte

Choquée, Élise décide immédiatement de mettre fin aux visites chez Monique. Julien, en découvrant les images, soutient sa décision et assure que ni sa mère ni Camille ne reverront Lina sans leur accord.

Une leçon universelle

Cette histoire soulève une question essentielle : jusqu’où peut-on faire confiance à ses proches quand il s’agit de nos enfants ?
Les liens familiaux peuvent être source de soutien, mais aussi d’ingérence. Et parfois, suivre son intuition reste la meilleure façon de protéger ce qui compte le plus.

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Deux jours fériés supprimés en 2026 : l’Alsace épargnée par la mesure annoncée par François Bayrou https://familysante.com/deux-jours-feries-supprimes-en-2026-lalsace-epargnee-par-la-mesure-annoncee-par-francois-bayrou.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=deux-jours-feries-supprimes-en-2026-lalsace-epargnee-par-la-mesure-annoncee-par-francois-bayrou https://familysante.com/deux-jours-feries-supprimes-en-2026-lalsace-epargnee-par-la-mesure-annoncee-par-francois-bayrou.html#respond Mon, 11 Aug 2025 18:55:59 +0000 https://familysante.com/?p=9095 Le gouvernement a confirmé la suppression de deux jours fériés à partir de 2026 dans le cadre de son plan d’économies budgétaires. Objectif : réduire le déficit de l’État et atteindre 43,8 milliards d’euros d’économies. Une décision qui suscite déjà de vives réactions… mais une région de France devrait échapper à cette réforme : l’Alsace. […]

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Le gouvernement a confirmé la suppression de deux jours fériés à partir de 2026 dans le cadre de son plan d’économies budgétaires. Objectif : réduire le déficit de l’État et atteindre 43,8 milliards d’euros d’économies. Une décision qui suscite déjà de vives réactions… mais une région de France devrait échapper à cette réforme : l’Alsace.

Pourquoi supprimer des jours fériés ?

En France, on compte actuellement 11 jours fériés par an, soit la moyenne européenne. Mais le Premier ministre François Bayrou souhaite réduire ce nombre de deux jours pour augmenter la productivité et générer, selon les estimations, environ 4,2 milliards d’euros de recettes supplémentaires pour l’État.

Si le 8 mai et le lundi de Pâques figurent parmi les dates évoquées, le chef du gouvernement assure rester ouvert au dialogue et à d’autres propositions.

Une région protégée : l’Alsace

Lors de ses interventions, François Bayrou a évoqué la situation particulière de l’Alsace, ainsi que de la Moselle et de Saint-Pierre-et-Miquelon, où certaines spécificités locales s’ajoutent aux jours fériés nationaux.

En Alsace, deux jours fériés supplémentaires existent déjà : le Vendredi Saint et le 26 décembre. Ces dates font partie du droit local, hérité de l’histoire de la région.

Interpellé par la députée du Haut-Rhin Brigitte Klinkert, le Premier ministre a tenu à rassurer : ces jours fériés spécifiques ne seront pas supprimés. L’élue a toutefois affirmé qu’elle resterait « très vigilante » pour garantir la préservation de ces particularités, tout comme d’autres éléments du droit local, tels que l’assurance maladie alsacienne-mosellane.

Une mesure qui reste impopulaire

Malgré cette exception régionale, la suppression de jours fériés reste une décision très impopulaire auprès des Français. Beaucoup y voient une atteinte au rythme de vie, à la tradition et à l’équilibre entre travail et vie personnelle. François Bayrou, lui, estime que c’est un « effort acceptable » si cela permet de redresser les finances publiques sans toucher au modèle social français.

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Quatre grands-pères, dix-sept petits-enfants et une tradition estivale pas comme les autres https://familysante.com/quatre-grands-peres-dix-sept-petits-enfants-et-une-tradition-estivale-pas-comme-les-autres.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=quatre-grands-peres-dix-sept-petits-enfants-et-une-tradition-estivale-pas-comme-les-autres https://familysante.com/quatre-grands-peres-dix-sept-petits-enfants-et-une-tradition-estivale-pas-comme-les-autres.html#respond Fri, 25 Jul 2025 12:09:09 +0000 https://familysante.com/?p=8831 Chaque été depuis quatre ans, une joyeuse tribu s’installe sur les emplacements d’un camping quelque part en France. Ils sont 21 au total : quatre frères devenus grands-pères, et leurs dix-sept petits-enfants, unis par une tradition familiale aussi originale que touchante. Ensemble, ils transforment une simple semaine de vacances en un véritable festival de complicité, […]

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Chaque été depuis quatre ans, une joyeuse tribu s’installe sur les emplacements d’un camping quelque part en France. Ils sont 21 au total : quatre frères devenus grands-pères, et leurs dix-sept petits-enfants, unis par une tradition familiale aussi originale que touchante. Ensemble, ils transforment une simple semaine de vacances en un véritable festival de complicité, de découvertes et de souvenirs partagés.

Une idée un peu folle devenue un rituel

Tout a commencé avec Jean-François, l’un des frères, qui a décidé un été de partir camper avec ses petits-enfants. Devant l’enthousiasme général, ses frères ont suivi… avec leurs propres petits-enfants. Depuis, c’est devenu un rendez-vous incontournable : à la première semaine des vacances scolaires, ils louent un minibus, réservent quatre emplacements dans le même camping, et organisent une semaine parfaitement rythmée.

Un programme pensé pour tous

Chez les Delaporte, les vacances ne sont pas synonymes de journées à ne rien faire. Bien au contraire. Chaque matin, les grands-pères embarquent la troupe pour une visite culturelle. Châteaux, musées, mines ou vignobles : tout est soigneusement sélectionné à l’avance. Les frères prennent même le soin de faire une « pré-visite » quelques semaines avant, pour s’assurer que les enfants ne s’ennuieront pas.

Mais l’après-midi, place à la détente : balades, plongeons dans la piscine, moments calmes sous les arbres… avec tout de même un cadre bien défini. L’organisation est millimétrée : les courses sont faites avant le départ, les tâches réparties, et chacun sait ce qu’il a à faire. Un équilibre parfait entre liberté et structure, qui permet à tout le monde de profiter pleinement.

Des souvenirs pour la vie

Au fil des étés, les enfants ont grandi, et beaucoup ont appris à nager pendant ces vacances pas comme les autres. Ils se créent des liens forts non seulement avec leurs cousins, mais aussi entre générations. Ces moments deviennent des repères, des souvenirs fondateurs qu’ils garderont toute leur vie.

« Les gens pensent qu’on va faire du bruit, mais en réalité, on reçoit surtout des compliments », raconte Jean-François, le sourire dans la voix. Car au-delà du nombre ou du tumulte que pourrait représenter une telle tribu, c’est surtout une belle leçon de transmission et de solidarité familiale qui se joue ici.

Le camping, une école de vie

Cette aventure familiale montre que le camping n’est pas seulement un mode de vacances économique : c’est un cadre propice au partage, à la simplicité, et à la transmission de valeurs. Une vraie école de la vie, où l’on apprend à vivre ensemble, à s’adapter, à découvrir, et à profiter pleinement des petites choses.

Et si on s’en inspirait ?

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Enfant pourri gâté : 5 signes révélateurs et comment y remédier efficacement https://familysante.com/enfant-pourri-gate-5-signes-revelateurs-et-comment-y-remedier-efficacement.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=enfant-pourri-gate-5-signes-revelateurs-et-comment-y-remedier-efficacement https://familysante.com/enfant-pourri-gate-5-signes-revelateurs-et-comment-y-remedier-efficacement.html#respond Fri, 18 Jul 2025 11:47:11 +0000 https://familysante.com/?p=8736 Quand on évoque un enfant « pourri gâté », on imagine souvent des caprices à répétition, des colères explosives ou des exigences permanentes. Pourtant, ces comportements ne sont pas toujours le reflet d’un simple excès de cadeaux ou d’un laxisme parental. Ils traduisent souvent un besoin émotionnel non comblé, un manque de cadre ou des limites trop […]

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Quand on évoque un enfant « pourri gâté », on imagine souvent des caprices à répétition, des colères explosives ou des exigences permanentes. Pourtant, ces comportements ne sont pas toujours le reflet d’un simple excès de cadeaux ou d’un laxisme parental. Ils traduisent souvent un besoin émotionnel non comblé, un manque de cadre ou des limites trop floues.

Si vous vous demandez si votre enfant est trop gâté, voici cinq signaux d’alerte à surveiller, accompagnés de solutions concrètes pour retrouver un équilibre familial apaisé.


1. Il ne supporte pas qu’on lui dise « non »

Un enfant qui explose ou négocie sans fin à chaque refus ne cherche pas forcément à manipuler. Il peut simplement être désorienté face à des règles changeantes ou une autorité vacillante. Lorsqu’un enfant n’a pas l’habitude d’entendre un « non » ferme et cohérent, il perd ses repères.

Que faire ?
Plutôt que de dire non sèchement, validez d’abord ses émotions tout en maintenant la limite. Par exemple : « Je comprends que tu aimerais continuer à jouer, mais il est temps d’aller dormir. » Cette posture d’écoute, combinée à une fermeté constante, aide l’enfant à accepter la frustration sans se sentir rejeté.


2. Il réclame constamment votre attention

Un enfant qui interrompt, parle fort ou cherche sans cesse à capter l’attention ne le fait pas toujours par égoïsme. Ces comportements peuvent révéler une insécurité émotionnelle ou un besoin de connexion plus profond.

Que faire ?
Réservez chaque jour un temps de qualité avec lui, même court. Une quinzaine de minutes sans écran ni distraction, consacrées à une activité partagée ou une discussion, suffisent souvent à renforcer son sentiment d’être vu, écouté et aimé.


3. Il fait des crises pour obtenir ce qu’il veut

Cris, pleurs ou colères soudaines peuvent être perçus comme des caprices, alors qu’ils sont souvent le signe d’émotions débordantes mal gérées. L’enfant n’a pas encore les outils nécessaires pour exprimer ce qu’il ressent autrement.

Que faire ?
Gardez votre calme et nommez ce qu’il traverse : « Tu es très fâché parce que tu ne peux pas avoir ce jouet. » Ensuite, accompagnez-le pour retrouver son calme, sans céder. Offrir un câlin, proposer une activité apaisante ou simplement rester près de lui en silence peut suffire à désamorcer la crise.


4. Il refuse toute responsabilité

Quand un enfant rechigne à ranger ses jouets, à aider ou à accomplir des tâches simples, cela peut indiquer qu’il a été trop assisté… ou, à l’inverse, qu’on a attendu de lui une autonomie prématurée. Dans les deux cas, il peut développer une forme de désengagement face à l’effort.

Que faire ?
Impliquez-le dans la vie quotidienne de manière ludique et collaborative. Invitez-le à participer : « Tu veux couper les légumes avec moi ? » Valorisez surtout ses efforts, pas seulement le résultat. Cela lui donnera confiance pour prendre des initiatives sans peur de l’échec.


5. Il semble ingrat, même lorsqu’il est gâté

Certains enfants ne semblent jamais satisfaits, même après avoir reçu un cadeau ou une attention particulière. Ce comportement peut révéler une habitude à être comblé matériellement, mais pas toujours émotionnellement.

Que faire ?
Favorisez les expériences partagées plutôt que les récompenses matérielles. Cuisiner ensemble, bricoler, écrire un mot doux ou simplement remercier avec sincérité contribue à ancrer la gratitude. Un enfant qui se sent valorisé pour ce qu’il est, pas pour ce qu’il reçoit, devient naturellement plus reconnaissant.


Un enfant gâté, mais pas perdu

Être « trop gâté » n’est pas une fatalité. Avec un peu d’ajustement dans la manière de poser les limites, de renforcer la relation et d’encourager l’autonomie, il est tout à fait possible d’aider un enfant à se recentrer, à gagner en maturité émotionnelle et à grandir dans un cadre rassurant.

L’objectif n’est pas de restreindre, mais d’accompagner. Car un enfant qui se sent à la fois aimé et guidé développe, à long terme, les qualités essentielles pour devenir un adulte épanoui.

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Quand la belle-mère dérape au mariage… et se fait remettre à sa place avec élégance https://familysante.com/quand-la-belle-mere-derape-au-mariage-et-se-fait-remettre-a-sa-place-avec-elegance.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=quand-la-belle-mere-derape-au-mariage-et-se-fait-remettre-a-sa-place-avec-elegance https://familysante.com/quand-la-belle-mere-derape-au-mariage-et-se-fait-remettre-a-sa-place-avec-elegance.html#respond Tue, 15 Jul 2025 15:45:38 +0000 https://familysante.com/?p=8699 Le mariage est censé être l’un des plus beaux jours de notre vie. Un moment suspendu, entre émotion, amour et célébration. Mais parfois, l’imprévu s’invite à la fête… et transforme un conte de fées en drame familial — avec un twist final que personne n’avait vu venir. C’est exactement ce qui est arrivé à Camille, […]

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Le mariage est censé être l’un des plus beaux jours de notre vie. Un moment suspendu, entre émotion, amour et célébration. Mais parfois, l’imprévu s’invite à la fête… et transforme un conte de fées en drame familial — avec un twist final que personne n’avait vu venir.

C’est exactement ce qui est arrivé à Camille, une jeune mariée radieuse, et à Julien, l’homme qu’elle venait d’épouser.

Une cérémonie de rêve… entachée par une ombre familière

Tout était parfait. Une salle décorée avec soin, des invités émus, une ambiance chaleureuse. Camille avançait vers l’autel le cœur léger, entourée de ceux qu’elle aime.

Mais dans un coin de la salle, un regard glacial rappelait à tous que l’harmonie n’est jamais garantie : Brigitte, la mère du marié, semblait déjà prête à voler la vedette.

Le discours qui a glacé l’assemblée

Alors que le dîner battait son plein, Brigitte se leva, flûte de champagne à la main. D’un ton doucereux mais tranchant, elle lança :

« Il est fascinant de voir certains invités s’incruster à une réception sans y avoir contribué… »

Un silence brutal s’abattit. Le regard de Camille se posa sur ses parents, assis humblement au fond de la salle. Tous comprirent le sous-entendu. L’humiliation était publique, brutale.

Mais ce que Brigitte ne savait pas… c’est que la réponse n’allait pas tarder — et qu’elle serait mémorable.

Une réponse pleine de dignité

Calme et digne, le père de Camille se leva à son tour. Il sortit de sa veste une petite enveloppe, et un trousseau de clés.

« Avant de partir, j’aimerais simplement remettre ceci à ma fille. Il s’agit des clés de leur première maison. »

Un murmure d’étonnement parcourut la salle. Camille, les larmes aux yeux, comprenait que ses parents, discrets mais généreux, lui offraient bien plus qu’un simple cadeau : un avenir.

Brigitte, elle, perdait soudain toute contenance.

Et le coup de grâce…

Comme si ce n’était pas assez, une autre voix retentit dans la salle : celle de Marc, le père de Julien. Divorcé de Brigitte, il avait longtemps gardé le silence. Ce soir-là, il décida de rétablir une vérité.

« Pour être clair : ce mariage, c’est moi qui l’ai payé. Elle vit encore de ma pension et s’attribue tous les mérites. »

La stupeur laissa place à des applaudissements. Brigitte, démasquée, quitta la salle sous les regards mi-amusés, mi-indignés.

Le triomphe discret des vrais héros

Dans ce tourbillon d’émotions, une chose restait claire : ce n’est pas le bruit que l’on fait qui compte, mais les actes. Les parents de Camille avaient choisi le silence, les sacrifices, la générosité. Ils avaient investi non dans des apparences, mais dans l’essentiel : le bonheur de leur fille.

Et ce soir-là, leur geste résonnait plus fort que n’importe quel discours.

Une leçon d’élégance… et de revanche

Ce mariage aurait pu être entaché à jamais. Mais il est devenu, au contraire, le symbole d’une vérité simple : la bienveillance finit toujours par briller, même face à l’arrogance.

Et pour Camille, une chose est sûre : la meilleure revanche n’est jamais la colère… mais une vie remplie d’amour, de dignité, et de gratitude.

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Faut-il créer un congé canicule pour les parents ? Une idée qui divise, mais qui interroge https://familysante.com/faut-il-creer-un-conge-canicule-pour-les-parents-une-idee-qui-divise-mais-qui-interroge.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=faut-il-creer-un-conge-canicule-pour-les-parents-une-idee-qui-divise-mais-qui-interroge https://familysante.com/faut-il-creer-un-conge-canicule-pour-les-parents-une-idee-qui-divise-mais-qui-interroge.html#respond Thu, 03 Jul 2025 16:54:03 +0000 https://familysante.com/?p=8506 Quand les températures dépassent les 35 °C, ce ne sont pas seulement nos corps qui souffrent, mais aussi nos organisations familiales et professionnelles. Pour les parents, en particulier, la canicule soulève une question essentielle : peut-on vraiment continuer à travailler comme si de rien n’était, pendant que nos enfants suffoquent à l’école ou à la […]

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Quand les températures dépassent les 35 °C, ce ne sont pas seulement nos corps qui souffrent, mais aussi nos organisations familiales et professionnelles. Pour les parents, en particulier, la canicule soulève une question essentielle : peut-on vraiment continuer à travailler comme si de rien n’était, pendant que nos enfants suffoquent à l’école ou à la crèche ?

Alors que le changement climatique s’impose à tous, le concept de “congé canicule” pour les parents fait son chemin. Né d’un besoin réel, il suscite un débat riche et révélateur : comment concilier parentalité, sécurité des enfants et obligations professionnelles quand la chaleur devient extrême ?


Des enfants vulnérables… et des parents inquiets

À 37, 38, parfois même 40 °C, la question n’est plus de savoir s’il fait chaud, mais comment protéger les plus fragiles : les bébés, les jeunes enfants, les élèves de maternelle ou de primaire.

Dans de nombreux établissements scolaires, les conditions deviennent intenables : pas de climatisation, pas de volets, peu de ventilation. Certains parents s’interrogent donc : et si on nous donnait le droit de rester à la maison dans ces moments-là, sans être pénalisés ?


Une demande de plus en plus entendue

De plus en plus de familles appellent à un réel ajustement des conditions de travail en période de canicule. Ce que réclament certains n’est pas forcément un nouveau congé, mais une vraie prise en compte de la parentalité face au climat.

“Pas besoin de congés si les locaux sont adaptés”, résume une maman.
“Mais si mon enfant souffre et que je dois aller au travail, c’est insoutenable”, ajoute une autre.

La divergence est claire : entre ceux qui veulent des congés, ceux qui réclament des établissements adaptés, et ceux qui demandent plus de télétravail, le consensus reste difficile… mais l’urgence est partagée.


Des inégalités flagrantes

Le débat révèle aussi des inégalités criantes : tous les parents ne sont pas logés à la même enseigne. Pour ceux qui travaillent en extérieur, dans des usines ou dans le secteur médical, pas de télétravail possible.

“Il faut un congé canicule pour ceux qui n’ont pas d’autre option”, estime un père.
“Sinon, qu’on permette le télétravail sans grignoter les RTT”, suggère une mère.

En creux, c’est aussi la question du droit à protéger sa famille qui est posée : un droit souvent freiné par les contraintes économiques et la peur de perdre son emploi.


Et si les entreprises montraient l’exemple ?

Certaines structures prennent déjà les devants. À l’image de Back Market, qui a transformé ses bureaux de Paris et Bordeaux en lieux d’accueil climatisés pour les enfants (et même les animaux) de ses salariés, le temps des pics de chaleur.

Résultat ? Les parents peuvent travailler en sachant leurs enfants en sécurité, au frais, avec des animateurs et des goûters. Une initiative saluée par les familles… et les employés.

“C’est ce genre de solution concrète qu’on attend”, note une internaute.
“Hier, dans mon bureau, il faisait 38 °C. Personne ne peut travailler dans ces conditions.”


Conclusion : s’adapter, c’est protéger

Plutôt qu’une réponse unique, la canicule impose une nouvelle manière de penser le travail, la famille et la santé. Créer un congé canicule pour les parents ? Peut-être. Mais surtout, adapter les établissements scolaires, repenser les bureaux, assouplir le télétravail, et écouter les familles.

Car le vrai enjeu, ce n’est pas seulement la chaleur. C’est de protéger ce qu’il y a de plus précieux, même quand le thermomètre s’affole.

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