Archives des Santé - Family santé https://familysante.com/category/sante Santé, famille, bien être Sat, 12 Jul 2025 08:26:39 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.2 https://familysante.com/wp-content/uploads/2016/12/cropped-Wear-32x32.png Archives des Santé - Family santé https://familysante.com/category/sante 32 32 Ce simple rhume cachait une maladie rare : une maman alerte les parents après le diagnostic choc de son fils https://familysante.com/ce-simple-rhume-cachait-une-maladie-rare-une-maman-alerte-les-parents-apres-le-diagnostic-choc-de-son-fils.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=ce-simple-rhume-cachait-une-maladie-rare-une-maman-alerte-les-parents-apres-le-diagnostic-choc-de-son-fils https://familysante.com/ce-simple-rhume-cachait-une-maladie-rare-une-maman-alerte-les-parents-apres-le-diagnostic-choc-de-son-fils.html#respond Sat, 12 Jul 2025 08:26:38 +0000 https://familysante.com/?p=8649 Lorsqu’un enfant attrape un rhume, rares sont les parents qui s’inquiètent outre mesure. Nez qui coule, fièvre modérée, fatigue passagère : voilà un mal hivernal presque banal dans toutes les familles. Pourtant, ce qui semblait être un simple rhume pour le petit Toby, un garçon britannique, s’est révélé être le début d’un véritable cauchemar médical. […]

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Lorsqu’un enfant attrape un rhume, rares sont les parents qui s’inquiètent outre mesure. Nez qui coule, fièvre modérée, fatigue passagère : voilà un mal hivernal presque banal dans toutes les familles. Pourtant, ce qui semblait être un simple rhume pour le petit Toby, un garçon britannique, s’est révélé être le début d’un véritable cauchemar médical.

Sa mère, Paula Jones, a choisi de témoigner publiquement pour alerter les autres parents sur une maladie méconnue et dangereuse : le syndrome de Stevens-Johnson, une pathologie rare qui peut survenir suite à certaines infections ou réactions médicamenteuses.


Une inquiétude qui s’intensifie

Tout a commencé le 21 mars. Toby, encore convalescent après un gros rhume, commence à présenter des signes inquiétants. Son visage enfle anormalement, ses lèvres deviennent pourpres, sa température grimpe en flèche, et il peine à respirer. Devant l’aggravation rapide de son état, sa mère contacte immédiatement leur médecin de famille.

Celui-ci ne cache pas son inquiétude : s’ils constatent une aggravation durant le trajet à l’hôpital, ils doivent appeler les secours sans tarder. À ce moment précis, Paula comprend que la situation est bien plus grave qu’elle ne l’imaginait.


Une urgence vitale

En moins de 20 minutes, Toby est pris en charge par les urgences de l’hôpital de Derriford. Les médecins procèdent à une batterie d’examens. Le verdict tombe : le petit garçon souffre du syndrome de Stevens-Johnson, une maladie grave et extrêmement rare, qui attaque la peau et les muqueuses.

Ce syndrome est souvent déclenché par certains médicaments, mais dans le cas de Toby, l’origine est encore plus singulière : c’est une infection au mycoplasme, un agent pathogène souvent associé à des maladies respiratoires, qui a mis en marche cette réaction auto-immune sévère.


Une réaction du corps… contre lui-même

“Le corps est entré en surréaction. Le système immunitaire s’est mis à attaquer son propre organisme, mais pas de la bonne façon”, explique Paula. Les conséquences ont été terribles : ulcérations dans la bouche, dans la gorge, sur les yeux, difficulté à respirer… Le pronostic vital de Toby était engagé.

Heureusement, après des jours d’angoisse, les médecins parviennent à stabiliser son état. Un professionnel de santé confiera même à la mère : “C’est l’une des guérisons les plus remarquables que j’aie jamais vues.”


Une maladie rare mais pas impossible

Le syndrome de Stevens-Johnson reste une maladie rare, mais il est essentiel d’en connaître les symptômes. Chez les enfants, il peut être déclenché par :

  • des infections virales comme le rhume ou la grippe,
  • les boutons de fièvre (herpès),
  • ou encore la mononucléose.

Les premiers signes ressemblent souvent à ceux d’un état grippal : fièvre, fatigue, maux de gorge. Très rapidement, une éruption cutanée peut apparaître, souvent indolore mais impressionnante, s’étendant au visage, au torse, puis aux membres. Des lésions dans la bouche, sur les lèvres ou dans la gorge peuvent également signaler un début de complication grave.


Le message d’alerte d’une maman

Aujourd’hui, Paula Jones souhaite que son témoignage serve d’avertissement. Elle encourage tous les parents à faire preuve de vigilance lorsque l’état de leur enfant semble se détériorer soudainement, même après une maladie apparemment bénigne comme un rhume.

“Si j’avais attendu un jour de plus, ou si j’avais pensé que ce n’était qu’un virus passager, cela aurait pu lui coûter la vie”, confie-t-elle.


À retenir : les signes qui doivent alerter

En cas de symptômes suivants, n’attendez pas :

  • Difficultés respiratoires
  • Fièvre élevée persistante
  • Lèvres ou yeux enflés, rouges ou douloureux
  • Éruptions cutanées inhabituelles
  • Ulcérations dans la bouche ou la gorge

Rendez-vous immédiatement aux urgences ou contactez les secours. Mieux vaut une alerte inutile qu’un danger sous-estimé.


Conclusion

L’histoire de Toby nous rappelle une vérité simple mais capitale : derrière une affection banale peut se cacher une maladie plus grave. Le rôle des parents est aussi d’écouter leur instinct, d’observer les signes inhabituels, et de ne jamais minimiser un changement soudain de l’état de santé de leur enfant. La vigilance peut sauver des vies.

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Dormir 6 heures par nuit : une fausse bonne idée aux conséquences graves sur la santé https://familysante.com/dormir-6-heures-par-nuit-une-fausse-bonne-idee-aux-consequences-graves-sur-la-sante.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=dormir-6-heures-par-nuit-une-fausse-bonne-idee-aux-consequences-graves-sur-la-sante https://familysante.com/dormir-6-heures-par-nuit-une-fausse-bonne-idee-aux-consequences-graves-sur-la-sante.html#respond Tue, 08 Jul 2025 19:59:07 +0000 https://familysante.com/?p=8595 En matière de bien-être, on entend souvent parler d’alimentation équilibrée, de sport ou encore de gestion du stress. Pourtant, un élément fondamental est souvent relégué au second plan : le sommeil. Trop de personnes pensent qu’une nuit de 6 heures suffit pour “tenir la journée”. Mais selon les experts du sommeil, cette croyance est non […]

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En matière de bien-être, on entend souvent parler d’alimentation équilibrée, de sport ou encore de gestion du stress. Pourtant, un élément fondamental est souvent relégué au second plan : le sommeil. Trop de personnes pensent qu’une nuit de 6 heures suffit pour “tenir la journée”. Mais selon les experts du sommeil, cette croyance est non seulement erronée, elle est aussi dangereuse.

Une réalité inquiétante : la dette de sommeil

D’après l’Inserm, une personne sur cinq en France est concernée par un trouble du sommeil. Le professeur Pierre Philip, médecin du sommeil, alerte : dormir 6 heures par nuit pendant une semaine revient à l’équivalent d’une nuit blanche complète. Ce manque de repos s’accumule et crée ce que les spécialistes appellent une “dette de sommeil”.

Cette dette n’est pas anodine. Elle entraîne une augmentation de la pression du sommeil, ce qui peut favoriser les accidents de la route, les erreurs au travail, ou encore les troubles de l’attention. Le corps, lui, réagit en déréglant son métabolisme : les risques de développer du diabète, de l’obésité, des troubles cardiovasculaires voire certains cancers augmentent. Et les conséquences ne sont pas uniquement physiques : la santé mentale est également en jeu, avec un lien clair entre manque de sommeil et troubles anxieux, dépression ou irritabilité chronique.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes

En 2024, les Français dorment en moyenne 6 heures et 55 minutes par nuit. Pourtant, 28 % d’entre eux sont en dette de sommeil, dormant en moyenne une heure de moins que leur besoin réel. Une tendance préoccupante, surtout dans un monde où le rythme effréné du quotidien pousse à sacrifier le sommeil au profit de la productivité.

Peut-on vraiment “rattraper” son sommeil ?

Nombreux sont ceux qui pensent qu’une bonne grasse matinée le week-end suffira à “compenser” les heures de sommeil perdues durant la semaine. Pourtant, selon le professeur Philip, ce n’est pas aussi simple. L’organisme est guidé par une horloge interne, appelée horloge chronobiologique, qu’il ne faut pas dérégler. Une nuit de récupération ne suffit pas à effacer plusieurs jours de dette. Pire encore, des variations constantes dans les heures de coucher et de lever peuvent perturber davantage notre rythme naturel.

Prendre soin de son sommeil : un impératif de santé

Il est donc essentiel de considérer le sommeil non pas comme un luxe, mais comme une priorité de santé publique. Voici quelques habitudes simples mais efficaces à adopter au quotidien :

  • Éviter les écrans au moins une heure avant le coucher, pour limiter l’impact de la lumière bleue sur la production de mélatonine.
  • Privilégier un dîner léger, pauvre en sucres rapides et en graisses.
  • Créer un environnement propice au repos : chambre fraîche, literie confortable, éclairage doux.
  • Respecter des horaires réguliers de sommeil, même le week-end, pour aider l’horloge biologique à rester stable.

En conclusion

Dormir 6 heures par nuit n’est pas un signe de performance ni d’efficacité. C’est une prise de risque silencieuse, qui peut avoir un impact majeur sur la santé physique et mentale. Mieux dormir, ce n’est pas dormir plus de temps “quand on peut”, c’est surtout respecter ses besoins réels chaque nuit. Le sommeil n’est pas une variable d’ajustement dans notre emploi du temps : c’est l’un des piliers de notre équilibre global.

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Bactéries, champignons, parasites… Ces dangers invisibles qui se cachent dans le sable de la plage https://familysante.com/bacteries-champignons-parasites-ces-dangers-invisibles-qui-se-cachent-dans-le-sable-de-la-plage.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=bacteries-champignons-parasites-ces-dangers-invisibles-qui-se-cachent-dans-le-sable-de-la-plage https://familysante.com/bacteries-champignons-parasites-ces-dangers-invisibles-qui-se-cachent-dans-le-sable-de-la-plage.html#respond Sun, 06 Jul 2025 21:09:45 +0000 https://familysante.com/?p=8547 La plage évoque souvent le repos, le soleil, la mer… et ce fameux sable chaud sous les pieds. Pourtant, derrière cette image de carte postale, se cache une réalité moins connue : le sable peut contenir des micro-organismes potentiellement dangereux pour la santé. Bactéries, champignons, staphylocoques dorés… Voici ce qu’il faut savoir pour profiter sereinement […]

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La plage évoque souvent le repos, le soleil, la mer… et ce fameux sable chaud sous les pieds. Pourtant, derrière cette image de carte postale, se cache une réalité moins connue : le sable peut contenir des micro-organismes potentiellement dangereux pour la santé. Bactéries, champignons, staphylocoques dorés… Voici ce qu’il faut savoir pour profiter sereinement de vos vacances d’été.

Un écosystème vivant… et parfois menaçant

Le sable n’est pas qu’un simple amas de grains dorés. C’est un véritable écosystème où vivent des millions de micro-organismes. Selon l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), la majorité de ces micro-organismes sont inoffensifs, mais une petite partie peut représenter un danger, surtout pour les enfants ou les personnes fragiles.

La contamination du sable provient le plus souvent de déjections humaines ou animales. Bactéries comme l’Escherichia coli ou les entérocoques peuvent s’y développer, provoquant troubles digestifs ou infections en cas d’exposition prolongée.

Le staphylocoque doré, une menace sous-estimée

Le staphylocoque doré est une bactérie naturellement présente sur la peau. Mais lorsqu’elle pénètre l’organisme par une plaie ou une muqueuse, elle peut devenir pathogène. Sur les plages très fréquentées, sa présence est plus probable. Dans certains cas, elle peut être à l’origine d’infections cutanées, digestives ou, plus rarement, systémiques.

Champignons, mycoses et parasites : les autres invités indésirables

Comme dans les piscines ou les vestiaires humides, le sable humide est un terrain idéal pour les champignons. Ils peuvent provoquer des mycoses entre les orteils ou sur d’autres zones sensibles du corps.

Autre risque plus rare mais réel : les parasites. Une étude française a révélé la présence de toxocara, un parasite responsable de la toxocarose, une infection transmise notamment par les excréments de chiens ou de chats. Bien que peu fréquente, cette contamination reste une raison de plus de rester vigilant.

6 gestes simples pour éviter les mauvaises surprises

Heureusement, il suffit de quelques précautions simples pour réduire considérablement les risques :

  1. Ne pas s’asseoir directement sur le sable, utilisez une serviette propre et sèche.
  2. Évitez que les enfants jouent nus sur le sable ou qu’ils portent leurs mains sableuses à la bouche.
  3. Ne creusez pas le sable à mains nues, les micro-organismes peuvent se loger sous les ongles.
  4. Rincez soigneusement les pieds et les mains après chaque passage à la plage.
  5. Lavez régulièrement les serviettes, draps de plage et maillots.
  6. Couvrez les plaies avant d’aller à la plage, pour éviter toute infection.

Les zones humides en bord de mer sont à surveiller particulièrement : elles favorisent la prolifération des micro-organismes, et ce sont justement les zones que les enfants préfèrent pour jouer.

Respecter l’environnement, c’est aussi protéger sa santé

Enfin, la meilleure manière de prévenir ces risques reste de respecter l’environnement : ramasser ses déchets, ne pas laisser de nourriture traîner, éviter de promener son chien sur le sable. Tous ces gestes contribuent à garder les plages plus propres… et plus saines.


En résumé, la plage reste un lieu de détente et de plaisir. Mais quelques gestes de bon sens permettent de profiter pleinement de ces moments, tout en préservant sa santé et celle de ses proches. Un été serein, ça commence aussi par une bonne hygiène… même dans le sable !

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Pourquoi votre chien ou votre chat colle sa tête contre le mur : un comportement inquiétant à ne pas ignorer https://familysante.com/pourquoi-votre-chien-ou-votre-chat-colle-sa-tete-contre-le-mur-un-comportement-inquietant-a-ne-pas-ignorer.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=pourquoi-votre-chien-ou-votre-chat-colle-sa-tete-contre-le-mur-un-comportement-inquietant-a-ne-pas-ignorer https://familysante.com/pourquoi-votre-chien-ou-votre-chat-colle-sa-tete-contre-le-mur-un-comportement-inquietant-a-ne-pas-ignorer.html#respond Fri, 27 Jun 2025 11:21:09 +0000 https://familysante.com/?p=8412 Il est parfois facile de croire qu’un comportement étrange chez son animal n’est que passager ou anodin. Pourtant, certains signes peuvent cacher des problèmes de santé graves. L’un des plus préoccupants est celui-ci : un chien ou un chat qui colle sa tête contre un mur ou une surface plane, sans raison apparente. Ce geste, […]

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Il est parfois facile de croire qu’un comportement étrange chez son animal n’est que passager ou anodin. Pourtant, certains signes peuvent cacher des problèmes de santé graves. L’un des plus préoccupants est celui-ci : un chien ou un chat qui colle sa tête contre un mur ou une surface plane, sans raison apparente. Ce geste, connu sous le nom de head pressing, doit alerter immédiatement les propriétaires responsables.

Qu’est-ce que le head pressing ?

Le head pressing désigne le comportement d’un animal qui appuie sa tête contre un mur, une porte, un meuble ou tout autre objet vertical, souvent pendant plusieurs secondes, voire plusieurs minutes. Ce comportement est généralement répétitif et ne semble pas motivé par un besoin d’affection ou de jeu. L’animal peut rester immobile, la tête appuyée, parfois dans un état de confusion.

Ce n’est jamais un comportement normal.

Les causes possibles de ce comportement

Plusieurs affections graves peuvent expliquer ce phénomène. Il s’agit très souvent de troubles affectant le système nerveux central, notamment le cerveau. En voici les principales causes :

  • Encéphalite : inflammation du cerveau due à une infection ou une maladie auto-immune
  • Tumeur cérébrale : bénigne ou maligne, elle peut exercer une pression sur certaines zones du cerveau
  • Shunt porto-systémique : anomalie vasculaire qui perturbe la circulation sanguine et provoque une accumulation de toxines dans le cerveau
  • Traumatisme crânien : après une chute, un choc ou un accident
  • Empoisonnement : ingestion de substances toxiques (produits ménagers, plantes, médicaments, etc.)
  • Méningite ou accident vasculaire cérébral
  • Maladie métabolique sévère : comme une insuffisance hépatique ou rénale

Dans tous les cas, ces pathologies nécessitent une prise en charge vétérinaire urgente.

Les autres signes qui doivent alerter

Le head pressing ne vient jamais seul. Il peut être accompagné d’autres comportements inhabituels ou symptômes :

  • Désorientation ou perte d’équilibre
  • Convulsions
  • Changements dans le comportement habituel (agressivité, apathie, agitation)
  • Marche en cercle
  • Difficultés à voir ou à entendre
  • Perte d’appétit ou vomissements

Ces signes indiquent souvent que le cerveau est affecté.

Que faire si vous observez ce comportement ?

Il est crucial de ne pas attendre. Si votre chien ou votre chat commence à coller sa tête contre des objets ou des murs, consultez immédiatement un vétérinaire. Plus la prise en charge est rapide, plus les chances de traitement efficace augmentent.

Il est également conseillé de filmer le comportement si possible, pour le montrer au vétérinaire. Cela peut aider au diagnostic si l’animal ne le reproduit pas sur place.

Conclusion

Un chien ou un chat qui appuie sa tête contre un mur n’est pas en train de jouer, ni de manifester un comportement étrange sans importance. Il s’agit souvent d’un symptôme d’urgence vétérinaire. En tant que maître, votre vigilance peut faire toute la différence. Mieux vaut une fausse alerte qu’un danger ignoré.

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Maladie de Verneuil : vivre avec un mal invisible mais bien réel https://familysante.com/maladie-de-verneuil-vivre-avec-un-mal-invisible-mais-bien-reel.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=maladie-de-verneuil-vivre-avec-un-mal-invisible-mais-bien-reel https://familysante.com/maladie-de-verneuil-vivre-avec-un-mal-invisible-mais-bien-reel.html#respond Mon, 09 Jun 2025 20:46:39 +0000 https://familysante.com/?p=8153 À l’occasion de la journée internationale de la maladie de Verneuil, il est essentiel de mettre en lumière ce mal encore méconnu, souvent confondu avec de simples problèmes de peau. Pourtant, derrière ce nom peu familier se cache une pathologie chronique, douloureuse et invalidante, qui bouleverse le quotidien de ceux qui en souffrent. Claudia, 29 […]

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À l’occasion de la journée internationale de la maladie de Verneuil, il est essentiel de mettre en lumière ce mal encore méconnu, souvent confondu avec de simples problèmes de peau. Pourtant, derrière ce nom peu familier se cache une pathologie chronique, douloureuse et invalidante, qui bouleverse le quotidien de ceux qui en souffrent. Claudia, 29 ans, a accepté de partager son expérience pour briser les tabous.

Une errance médicale de deux ans

Tout commence en 2016, lorsque Claudia ressent les premiers signes : des kystes au niveau des parties intimes. Pensant à une infection ou à un problème passager, elle consulte un médecin généraliste. Mais le chemin vers le diagnostic sera long et semé d’incompréhensions. Pendant deux ans, elle enchaîne les consultations avant qu’un dermatologue ne lui annonce enfin qu’elle souffre de la maladie de Verneuil.

Une maladie souvent confondue avec l’acné

La maladie de Verneuil, ou hidrosadénite suppurée, est une maladie inflammatoire chronique de la peau. Contrairement à l’acné ou aux furoncles, elle provoque l’apparition de kystes, de nodules ou d’abcès dans les plis du corps : aisselles, aine, sous la poitrine, parties intimes, fesses, anus, visage ou encore dos. Ces lésions sont souvent douloureuses, parfois accompagnées de fièvre, et évoluent par poussées imprévisibles.

Des douleurs physiques mais aussi psychologiques

Claudia vit aujourd’hui au stade 2 de la maladie, avec des zones touchées sur presque tout le corps. Chaque poussée peut provoquer des douleurs aiguës, rendre la marche difficile, voire impossible. Mais au-delà de la souffrance physique, c’est le regard sur soi qui est le plus impacté. Les cicatrices, les tâches pigmentaires et la peur du jugement rendent la vie sociale et amoureuse particulièrement difficile.

Un handicap invisible

La maladie de Verneuil est une affection incurable. Même si certains traitements (biothérapie, chirurgie, laser, pommades) peuvent atténuer les symptômes ou mettre la maladie en veille, il n’existe pas de remède définitif. Cela en fait un handicap invisible, reconnu comme tel par la MDPH (Maison départementale des personnes handicapées). Claudia évoque les difficultés à maintenir un emploi stable, à planifier des sorties, ou à vivre une relation amoureuse sans honte ni gêne.

S’accepter malgré la maladie

Malgré les défis, Claudia a trouvé la force de s’aimer et d’accepter son corps. Son témoignage est un message d’espoir et de résilience. Elle a choisi de partager son quotidien sans filtre sur les réseaux sociaux, sous le pseudonyme @claudiaetsesboules, pour sensibiliser et soutenir les personnes atteintes de cette maladie.

Des conseils pour mieux vivre avec la maladie

Claudia insiste sur l’importance de ne pas rester seul. Se confier, demander de l’aide, consulter un psychologue si besoin, faire reconnaître la maladie en tant qu’ALD (affection longue durée) pour bénéficier d’une meilleure prise en charge médicale : autant de démarches essentielles pour alléger le poids de la maladie.

Un message d’espoir

La maladie de Verneuil peut survenir à tout moment, chez n’importe qui. Il est donc vital de sensibiliser, d’informer, mais surtout de ne pas juger. À travers son parcours, Claudia nous rappelle que la force ne réside pas seulement dans la guérison, mais aussi dans l’acceptation et la dignité avec laquelle on affronte l’adversité.

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Attention si vous bavez la nuit : voici ce que votre corps essaie de vous dire https://familysante.com/attention-si-vous-bavez-la-nuit-voici-ce-que-votre-corps-essaie-de-vous-dire.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=attention-si-vous-bavez-la-nuit-voici-ce-que-votre-corps-essaie-de-vous-dire https://familysante.com/attention-si-vous-bavez-la-nuit-voici-ce-que-votre-corps-essaie-de-vous-dire.html#respond Sun, 08 Jun 2025 20:42:37 +0000 https://familysante.com/?p=8134 Se réveiller avec de la salive sur l’oreiller peut être embarrassant, voire dérangeant. Pourtant, le fait de baver la nuit est un phénomène courant que beaucoup de personnes connaissent à un moment ou un autre. Si cela arrive de manière ponctuelle, il n’y a généralement pas de raison de s’inquiéter. En revanche, si cela devient […]

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Se réveiller avec de la salive sur l’oreiller peut être embarrassant, voire dérangeant. Pourtant, le fait de baver la nuit est un phénomène courant que beaucoup de personnes connaissent à un moment ou un autre. Si cela arrive de manière ponctuelle, il n’y a généralement pas de raison de s’inquiéter. En revanche, si cela devient fréquent, il est important d’en comprendre les causes possibles, car votre corps essaie peut-être de vous transmettre un message.

1. Une respiration buccale pendant le sommeil

L’une des causes les plus fréquentes de la salivation nocturne est la respiration par la bouche. Cela peut survenir si votre nez est bouché à cause d’une allergie, d’un rhume ou d’un problème chronique comme une déviation du septum nasal. Quand le nez est obstrué, le corps compense en respirant par la bouche, ce qui favorise l’ouverture des lèvres et la libération de salive.

2. Une mauvaise posture de sommeil

Dormir sur le ventre ou sur le côté, avec la tête inclinée, peut favoriser l’écoulement de la salive hors de la bouche. Dans ces positions, la gravité fait son travail, surtout si la bouche reste légèrement ouverte. Modifier votre position de sommeil, notamment en dormant sur le dos, peut aider à limiter ce phénomène.

3. Des troubles neurologiques ou musculaires

Chez certaines personnes, notamment celles souffrant de maladies neurologiques (comme la maladie de Parkinson ou les accidents vasculaires cérébraux), la bave peut être due à une difficulté à avaler la salive. Cela peut aussi être le cas dans certaines pathologies musculaires ou après une chirurgie touchant les nerfs de la bouche et du visage.

4. Une production excessive de salive (hypersialorrhée)

Dans de rares cas, le corps peut produire trop de salive. Cela peut être provoqué par :

  • Des infections buccales
  • Certains médicaments (comme les neuroleptiques ou les pilocarpines)
  • Des reflux gastro-œsophagiens
  • Des troubles digestifs

Si cette hypersalivation est associée à d’autres symptômes (brûlures d’estomac, nausées, douleurs), il est conseillé de consulter un médecin.

5. Des problèmes dentaires

Une mauvaise hygiène bucco-dentaire, des caries non soignées ou des infections des gencives peuvent aussi stimuler une salivation excessive. Une visite régulière chez le dentiste peut non seulement prévenir ces problèmes mais aussi réduire l’excès de salive.

6. Les effets secondaires de certains médicaments

Certains traitements médicamenteux, notamment dans le cadre de troubles psychiatriques ou neurologiques, peuvent provoquer une production accrue de salive. Si vous avez remarqué que la bave nocturne a commencé après le début d’un traitement, parlez-en à votre médecin.


Quand faut-il consulter un professionnel de santé ?

Si baver la nuit devient une habitude régulière accompagnée de symptômes comme des maux de gorge fréquents, des troubles du sommeil, des ronflements, une fatigue excessive ou des problèmes digestifs, il est recommandé de consulter un médecin ORL, un dentiste ou un spécialiste du sommeil.


Conclusion

Baver pendant la nuit est souvent un phénomène bénin lié à des facteurs passagers comme la posture ou une légère congestion nasale. Cependant, si cela devient fréquent, c’est le signal que votre corps tente de vous envoyer un message. Être à l’écoute de ces signes, aussi discrets soient-ils, permet de prévenir des troubles plus importants et de mieux prendre soin de sa santé globale.

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Intolérance au gluten : ces signes qui doivent vous alerter https://familysante.com/intolerance-au-gluten-ces-signes-qui-doivent-vous-alerter.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=intolerance-au-gluten-ces-signes-qui-doivent-vous-alerter https://familysante.com/intolerance-au-gluten-ces-signes-qui-doivent-vous-alerter.html#respond Sun, 08 Jun 2025 12:05:41 +0000 https://familysante.com/?p=8125 L’intolérance au gluten, aussi appelée sensibilité au gluten non cœliaque, est une condition de plus en plus fréquemment évoquée, mais souvent mal comprise. Elle se distingue de la maladie cœliaque et de l’allergie au blé, bien qu’elle puisse engendrer un inconfort réel au quotidien. Quels sont les signes qui doivent vous alerter ? Comment reconnaître […]

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L’intolérance au gluten, aussi appelée sensibilité au gluten non cœliaque, est une condition de plus en plus fréquemment évoquée, mais souvent mal comprise. Elle se distingue de la maladie cœliaque et de l’allergie au blé, bien qu’elle puisse engendrer un inconfort réel au quotidien. Quels sont les signes qui doivent vous alerter ? Comment reconnaître une intolérance au gluten ? Faisons le point.

Qu’est-ce que le gluten ?

Le gluten est une protéine que l’on retrouve principalement dans certaines céréales comme le blé, l’orge, le seigle ou l’épeautre. On le trouve donc dans une grande variété de produits transformés : pain, pâtes, biscuits, pâtisseries, sauces industrielles, charcuteries, et bien d’autres.

Chez certaines personnes, le gluten peut provoquer des réactions indésirables, sans pour autant déclencher une maladie cœliaque avérée. On parle alors d’intolérance ou de sensibilité au gluten.

Les signes fréquents de l’intolérance au gluten

Il n’existe pas de test médical spécifique pour diagnostiquer une sensibilité au gluten. Elle est souvent évoquée après exclusion d’autres pathologies. Voici les symptômes les plus courants qui doivent vous alerter :

1. Troubles digestifs persistants

Ballonnements, gaz, douleurs abdominales, diarrhées ou constipation sont les symptômes les plus fréquemment rapportés. Ils apparaissent souvent après la consommation de produits contenant du gluten et peuvent perdurer plusieurs heures, voire jours.

2. Fatigue chronique

Une sensation de fatigue constante, même après une nuit de sommeil complète, peut être liée à une intolérance au gluten. L’organisme, en état d’inflammation légère mais continue, dépense plus d’énergie que la normale.

3. Maux de tête et migraines

Certaines personnes sensibles au gluten rapportent des maux de tête fréquents ou des migraines, sans cause apparente. Ces douleurs peuvent survenir peu de temps après un repas riche en gluten.

4. Problèmes de peau

L’eczéma, les démangeaisons, l’acné ou d’autres éruptions cutanées peuvent être des manifestations cutanées liées à une intolérance au gluten.

5. Troubles de l’humeur

Anxiété, irritabilité, troubles de la concentration (souvent appelés « brouillard cérébral ») ou même dépression légère peuvent être influencés par une sensibilité alimentaire, dont celle au gluten.

6. Douleurs articulaires ou musculaires

Chez certaines personnes, la consommation de gluten peut provoquer des douleurs diffuses, proches de celles ressenties en cas de fibromyalgie ou de rhumatismes.

Que faire si vous vous reconnaissez dans ces signes ?

Si plusieurs de ces symptômes vous parlent, voici quelques étapes à suivre :

  • Consultez un professionnel de santé : avant de modifier votre alimentation, il est important d’écarter d’autres causes médicales plus graves, comme la maladie cœliaque.
  • Tenez un journal alimentaire : notez ce que vous mangez et les symptômes associés. Cela peut aider à repérer un lien avec le gluten.
  • Essayez une éviction temporaire : sous supervision médicale, vous pouvez tester un régime sans gluten pendant quelques semaines pour observer une éventuelle amélioration.

Un diagnostic souvent par élimination

L’intolérance au gluten reste un diagnostic d’exclusion. Il est important de ne pas se lancer seul dans un régime strict sans accompagnement, au risque de déséquilibrer son alimentation ou de masquer d’autres troubles.

En conclusion

L’intolérance au gluten est une réalité pour de nombreuses personnes, même si elle demeure difficile à cerner. Si vous souffrez de troubles digestifs inexpliqués, de fatigue ou de troubles de l’humeur, il peut être utile d’envisager cette piste. Toutefois, seul un professionnel de santé pourra vous aider à poser un diagnostic fiable et à adopter les bonnes habitudes alimentaires.

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Douleur au côté droit du corps : que cela signifie ? https://familysante.com/douleur-au-cote-droit-du-corps-que-cela-signifie.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=douleur-au-cote-droit-du-corps-que-cela-signifie https://familysante.com/douleur-au-cote-droit-du-corps-que-cela-signifie.html#respond Sat, 07 Jun 2025 08:06:50 +0000 https://familysante.com/?p=8107 La douleur ressentie sur le côté droit du corps est un symptôme courant qui peut avoir de nombreuses causes, allant des troubles bénins aux pathologies plus sérieuses. Comprendre la localisation exacte de la douleur, son intensité, sa fréquence, ainsi que les autres symptômes associés est essentiel pour en déterminer la cause et savoir s’il est […]

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La douleur ressentie sur le côté droit du corps est un symptôme courant qui peut avoir de nombreuses causes, allant des troubles bénins aux pathologies plus sérieuses. Comprendre la localisation exacte de la douleur, son intensité, sa fréquence, ainsi que les autres symptômes associés est essentiel pour en déterminer la cause et savoir s’il est nécessaire de consulter un professionnel de santé.

1. Douleur au côté droit de l’abdomen

C’est l’un des cas les plus fréquents. La région abdominale droite abrite plusieurs organes, dont le foie, la vésicule biliaire, une partie du côlon, l’appendice et le rein droit. La douleur peut donc être liée à :

• Problèmes hépatiques

Le foie, situé sous les côtes droites, peut provoquer des douleurs en cas d’inflammation (hépatite), de congestion ou de tumeurs. Ces douleurs sont souvent diffuses, accompagnées de fatigue, jaunisse ou nausées.

• Colique hépatique / Calculs biliaires

Une douleur vive et soudaine juste sous les côtes peut indiquer des calculs dans la vésicule biliaire. Elle est souvent déclenchée après un repas gras et peut irradier vers l’épaule droite.

• Appendicite

Lorsque l’appendice, situé dans la partie inférieure droite de l’abdomen, s’enflamme, il provoque une douleur qui commence souvent autour du nombril avant de se localiser en bas à droite. Elle peut s’accompagner de fièvre, de nausées et d’une perte d’appétit.

• Troubles intestinaux

Le syndrome de l’intestin irritable, la constipation ou des inflammations intestinales peuvent également causer des douleurs du côté droit.

2. Douleur au flanc droit ou au dos

La douleur ressentie sur le côté droit du dos ou au niveau du flanc peut être due à :

• Problèmes rénaux

Une infection urinaire ou un calcul rénal peut causer une douleur aiguë ou sourde du côté droit, souvent irradiant vers le bas du dos ou l’aine. Des symptômes comme des brûlures en urinant, une urine trouble ou la fièvre sont à surveiller.

• Douleurs musculaires

Une contracture musculaire, un effort physique ou une mauvaise posture peuvent entraîner des douleurs localisées au niveau des muscles du dos ou des côtes.

3. Douleur thoracique droite

Une douleur sur le côté droit de la poitrine peut avoir des origines variées :

• Problèmes pulmonaires

Une infection pulmonaire, une pleurésie (inflammation de la membrane entourant les poumons) ou un pneumothorax (affaissement partiel du poumon) peuvent provoquer des douleurs thoraciques, souvent aggravées par la respiration.

• Causes cardiaques

Bien que les douleurs cardiaques soient plus fréquemment ressenties du côté gauche, elles peuvent parfois se manifester du côté droit. Une évaluation médicale est toujours nécessaire en cas de doute.

4. Chez la femme : causes gynécologiques

Chez les femmes, certaines douleurs au côté droit peuvent être liées aux organes reproducteurs :

  • Kyste ovarien droit
  • Ovulation douloureuse (mittelschmerz)
  • Grossesse extra-utérine
  • Infections pelviennes

5. Quand faut-il consulter ?

Il est recommandé de consulter rapidement si la douleur :

  • Est intense, soudaine ou persistante
  • S’accompagne de fièvre, vomissements, nausées, jaunisse ou perte de conscience
  • Est associée à des troubles urinaires ou digestifs
  • S’aggrave en peu de temps ou ne disparaît pas après quelques jours

Conclusion

La douleur au côté droit du corps ne doit jamais être prise à la légère, même si elle semble bénigne. Elle peut révéler des pathologies variées allant du simple trouble digestif à des maladies plus sérieuses. Une consultation médicale est la meilleure manière de poser un diagnostic fiable et de bénéficier d’un traitement adapté.

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Les scientifiques dévoilent le poids idéal selon votre âge : mythe ou réalité ? https://familysante.com/les-scientifiques-devoilent-le-poids-ideal-selon-votre-age-mythe-ou-realite.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=les-scientifiques-devoilent-le-poids-ideal-selon-votre-age-mythe-ou-realite https://familysante.com/les-scientifiques-devoilent-le-poids-ideal-selon-votre-age-mythe-ou-realite.html#respond Fri, 06 Jun 2025 06:57:52 +0000 https://familysante.com/?p=8090 Dans un monde où la santé et le bien-être occupent une place centrale, la question du poids idéal continue de susciter de nombreux débats. Récemment, des scientifiques ont publié de nouvelles données qui suggèrent que le poids idéal ne dépend pas uniquement de la taille ou du sexe, mais aussi de l’âge. Cette approche remet […]

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Dans un monde où la santé et le bien-être occupent une place centrale, la question du poids idéal continue de susciter de nombreux débats. Récemment, des scientifiques ont publié de nouvelles données qui suggèrent que le poids idéal ne dépend pas uniquement de la taille ou du sexe, mais aussi de l’âge. Cette approche remet en question les standards universels souvent véhiculés par les indices comme l’IMC (indice de masse corporelle), et ouvre la voie à une vision plus nuancée de la santé corporelle.

Pourquoi l’âge influence-t-il le poids idéal ?

Avec l’âge, notre corps évolue naturellement : le métabolisme ralentit, la masse musculaire tend à diminuer, et la répartition des graisses change. Ces transformations biologiques font en sorte que le poids santé d’une personne de 25 ans n’est pas nécessairement le même que celui d’une personne de 55 ans, même si elles ont la même taille.

Les chercheurs soulignent que prendre quelques kilos avec l’âge n’est pas nécessairement dangereux, à condition que cela ne s’accompagne pas de complications métaboliques comme l’hypertension, le diabète ou des maladies cardiovasculaires.

Un tableau indicatif du poids idéal par âge

Bien qu’il soit difficile d’établir une règle universelle, certaines études proposent des fourchettes de poids idéales qui tiennent compte de l’âge et de la taille. Voici un exemple simplifié pour les adultes :

ÂgeTaille (cm)Poids idéal estimé (kg)
20-30 ans17063 – 70
30-40 ans17065 – 72
40-50 ans17067 – 74
50-60 ans17068 – 76
60 ans et +17069 – 78

Ces chiffres ne doivent toutefois pas être considérés comme une norme rigide, mais plutôt comme des indications générales. La constitution corporelle, le niveau d’activité physique, l’alimentation et l’état de santé global doivent aussi être pris en compte.

L’importance d’un poids “santé” plutôt qu’un poids “idéal”

De nombreux spécialistes préfèrent aujourd’hui parler de poids santé plutôt que de poids idéal. Cette approche valorise l’écoute du corps et l’équilibre global, plutôt que la recherche d’un chiffre précis sur la balance. Une personne légèrement en surpoids mais active, sans troubles métaboliques, peut être en meilleure santé qu’une autre ayant un IMC “parfait” mais sédentaire ou stressée.

En conclusion

Si les nouvelles recherches sur le poids idéal selon l’âge apportent des éclairages intéressants, il est essentiel de les aborder avec discernement. Chaque individu est unique, et la santé ne peut se résumer à un simple chiffre. Mieux vaut viser une alimentation équilibrée, une activité physique régulière et un bon rapport avec son corps, que de poursuivre un idéal parfois irréaliste.

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Maladie de Charcot : Voici les premiers symptômes de cette affection https://familysante.com/maladie-de-charcot-voici-les-premiers-symptomes-de-cette-affection.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=maladie-de-charcot-voici-les-premiers-symptomes-de-cette-affection https://familysante.com/maladie-de-charcot-voici-les-premiers-symptomes-de-cette-affection.html#respond Thu, 05 Jun 2025 07:51:57 +0000 https://familysante.com/?p=8062 La maladie de Charcot, aussi connue sous le nom de sclérose latérale amyotrophique (SLA), est une maladie neurodégénérative grave qui affecte progressivement les neurones moteurs, responsables du contrôle des mouvements volontaires. Bien qu’elle reste encore incurable à ce jour, une détection précoce des premiers symptômes peut permettre une meilleure prise en charge médicale et une […]

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La maladie de Charcot, aussi connue sous le nom de sclérose latérale amyotrophique (SLA), est une maladie neurodégénérative grave qui affecte progressivement les neurones moteurs, responsables du contrôle des mouvements volontaires. Bien qu’elle reste encore incurable à ce jour, une détection précoce des premiers symptômes peut permettre une meilleure prise en charge médicale et une amélioration de la qualité de vie des patients.

Qu’est-ce que la maladie de Charcot ?

La SLA touche principalement les neurones moteurs situés dans le cerveau et la moelle épinière. À mesure que ces neurones se détériorent, les muscles qu’ils contrôlent s’affaiblissent, jusqu’à provoquer une paralysie progressive. La maladie n’affecte généralement ni la sensibilité ni les fonctions intellectuelles, ce qui la rend particulièrement difficile sur le plan émotionnel et psychologique.

Les premiers symptômes à surveiller

Les signes précoces de la maladie de Charcot peuvent varier d’une personne à l’autre, mais certains symptômes sont fréquemment observés aux premiers stades :

1. Faiblesse musculaire

La faiblesse est souvent localisée au début : une main qui devient maladroite, une jambe qui traîne légèrement, ou une difficulté à monter les escaliers. Ce sont souvent ces petits changements qui alertent le patient ou ses proches.

2. Crampes et fasciculations

Des crampes fréquentes ou des fasciculations (twitchs musculaires visibles sous la peau) peuvent apparaître, notamment au niveau des bras, des épaules ou de la langue.

3. Troubles de la parole

Certains patients remarquent une difficulté à articuler ou un changement dans la voix (voix plus rauque, plus faible). Ces troubles peuvent s’aggraver avec le temps.

4. Troubles de la déglutition

Des difficultés à avaler ou une sensation de « blocage » en mangeant peuvent survenir dès les premières phases de la maladie, en particulier dans les formes dites « bulbaires ».

5. Raideur et troubles de la coordination

Une raideur musculaire ou des gestes mal coordonnés peuvent apparaître, rendant certaines tâches du quotidien plus difficiles, comme boutonner une chemise ou écrire.

Quand consulter ?

Face à l’apparition de ces symptômes, il est essentiel de consulter un médecin généraliste ou un neurologue. Bien que ces signes ne soient pas toujours liés à la SLA, seul un professionnel de santé peut poser un diagnostic précis à l’aide d’examens cliniques, d’IRM, d’électromyogrammes (EMG) et d’autres tests spécialisés.

Conclusion

La maladie de Charcot est une pathologie grave, mais une détection rapide de ses premiers symptômes peut aider à mieux la gérer. Bien qu’il n’existe pas encore de traitement curatif, des approches thérapeutiques et des soins de soutien permettent d’atténuer les symptômes et de préserver au mieux l’autonomie des patients. Rester attentif aux premiers signes est donc essentiel.

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