Archives des Santé - Family santé https://familysante.com/category/sante Santé, famille, bien être Wed, 05 Nov 2025 06:50:28 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.4 https://familysante.com/wp-content/uploads/2016/12/cropped-Wear-32x32.png Archives des Santé - Family santé https://familysante.com/category/sante 32 32 Pourquoi les parties intimes d’une femme peuvent-elles dégager une certaine odeur ? https://familysante.com/pourquoi-les-parties-intimes-dune-femme-peuvent-elles-degager-une-certaine-odeur.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=pourquoi-les-parties-intimes-dune-femme-peuvent-elles-degager-une-certaine-odeur https://familysante.com/pourquoi-les-parties-intimes-dune-femme-peuvent-elles-degager-une-certaine-odeur.html#respond Wed, 05 Nov 2025 06:50:26 +0000 https://familysante.com/?p=10182 L’odeur naturelle des parties intimes féminines est un sujet qui peut parfois susciter curiosité ou inquiétude. Pourtant, il s’agit d’un phénomène physiologique tout à fait normal et souvent le reflet de la santé intime. Comprendre ses causes peut aider à mieux gérer l’hygiène et détecter d’éventuels problèmes. 1. L’hygiène naturelle et le microbiote vaginal Le […]

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L’odeur naturelle des parties intimes féminines est un sujet qui peut parfois susciter curiosité ou inquiétude. Pourtant, il s’agit d’un phénomène physiologique tout à fait normal et souvent le reflet de la santé intime. Comprendre ses causes peut aider à mieux gérer l’hygiène et détecter d’éventuels problèmes.

1. L’hygiène naturelle et le microbiote vaginal

Le vagin possède un écosystème unique composé de bactéries et de levures, appelé microbiote vaginal. Ces micro-organismes jouent un rôle essentiel dans la protection contre les infections. Certaines bactéries, comme les lactobacilles, produisent de l’acide lactique, qui maintient un pH légèrement acide (entre 3,8 et 4,5) et limite la prolifération de bactéries pathogènes.

Cette activité bactérienne peut produire une odeur légèrement aigre ou métallique, qui varie d’une femme à l’autre. Cette odeur naturelle est généralement plus perceptible après la transpiration, l’activité physique ou la période menstruelle.

2. Facteurs physiologiques influençant l’odeur

Plusieurs éléments peuvent accentuer ou modifier l’odeur :

  • Les hormones : Les fluctuations hormonales, notamment pendant le cycle menstruel, la grossesse ou la ménopause, peuvent modifier l’odeur vaginale.
  • L’alimentation : Certains aliments, comme l’ail, les épices fortes ou les produits riches en sucre, peuvent influencer légèrement l’odeur corporelle, y compris celle des parties intimes.
  • L’hygiène : Un lavage trop fréquent ou l’utilisation de savons agressifs peut déséquilibrer le microbiote, entraînant une odeur plus forte ou désagréable.

3. Quand l’odeur devient un signal d’alerte

Une odeur soudaine, forte, désagréable ou accompagnée d’autres symptômes (démangeaisons, brûlures, pertes anormales) peut être le signe d’une infection, comme :

  • La vaginose bactérienne : caractérisée par une odeur de poisson et des pertes grisâtres.
  • La mycose vaginale : souvent associée à des démangeaisons et un écoulement blanc épais.
  • Les infections sexuellement transmissibles : certaines peuvent modifier l’odeur normale et nécessitent un traitement médical.

Dans ces cas, il est recommandé de consulter un gynécologue pour un diagnostic précis et un traitement adapté.

4. Conseils pour maintenir une odeur naturelle saine

  • Privilégier des savons doux et sans parfum pour la toilette intime.
  • Porter des vêtements en coton et éviter les sous-vêtements trop serrés.
  • Éviter les douches vaginales internes, qui peuvent perturber le microbiote.
  • Maintenir une alimentation équilibrée et boire suffisamment d’eau.

Conclusion

L’odeur naturelle des parties intimes féminines est normale et varie selon le microbiote, les hormones et l’hygiène. Elle devient inquiétante uniquement si elle change brusquement ou s’accompagne de symptômes inhabituels. Comprendre son corps permet de mieux le respecter et de préserver sa santé intime.

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Le vaccin contre la grippe bientôt obligatoire ? Ce que prépare vraiment le gouvernement https://familysante.com/le-vaccin-contre-la-grippe-bientot-obligatoire-ce-que-prepare-vraiment-le-gouvernement.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=le-vaccin-contre-la-grippe-bientot-obligatoire-ce-que-prepare-vraiment-le-gouvernement https://familysante.com/le-vaccin-contre-la-grippe-bientot-obligatoire-ce-que-prepare-vraiment-le-gouvernement.html#respond Mon, 03 Nov 2025 07:51:38 +0000 https://familysante.com/?p=10136 Une nouvelle annonce du gouvernement risque de relancer un débat explosif : le vaccin contre la grippe pourrait bientôt devenir obligatoire pour certains publics, notamment les soignants et les résidents d’Ehpad. Une mesure qui, si elle voit le jour, promet déjà de faire grincer des dents. Une mesure ciblée, mais hautement symbolique Selon le projet […]

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Une nouvelle annonce du gouvernement risque de relancer un débat explosif : le vaccin contre la grippe pourrait bientôt devenir obligatoire pour certains publics, notamment les soignants et les résidents d’Ehpad. Une mesure qui, si elle voit le jour, promet déjà de faire grincer des dents.

Une mesure ciblée, mais hautement symbolique

Selon le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2026, l’exécutif souhaite donner une base légale à d’éventuelles obligations vaccinales ciblées, dont celle contre la grippe. Concrètement, cette obligation ne concernerait pas l’ensemble de la population, mais deux catégories précises :

  • Les professionnels de santé, qu’ils exercent à l’hôpital, en Ehpad, en libéral ou dans des structures médico-sociales ;
  • Les résidents d’Ehpad, particulièrement exposés aux formes graves de la grippe.

Le texte prévoit que cette obligation serait imposée « sauf contre-indication médicale reconnue », laissant ainsi la porte ouverte à quelques exemptions encadrées.

Une décision qui dépendra de la Haute Autorité de santé

Attention toutefois : l’obligation ne sera pas automatique. Le gouvernement a saisi la Haute Autorité de santé (HAS), qui doit rendre un avis avant toute mise en application. En 2023, la HAS s’était d’ailleurs montrée prudente, expliquant manquer de données suffisantes sur la transmission du virus dans les établissements de soins.

Cette prudence n’est pas nouvelle : l’obligation vaccinale contre la grippe existait déjà avant d’être suspendue en 2006. Plutôt que de simplement lever cette suspension, le gouvernement préfère aujourd’hui inscrire la mesure directement dans la loi, afin de la sécuriser juridiquement.

Un contexte épidémique préoccupant

Cette réflexion intervient alors que la campagne annuelle de vaccination contre la grippe a débuté le 14 octobre. L’hiver dernier, le virus a été particulièrement meurtrier : plus de 17 000 décès sont attribués à la grippe saisonnière, selon les estimations officielles.

Dans ce contexte, les autorités de santé insistent sur l’importance de la double vaccination, contre la grippe et contre le Covid-19, surtout pour les publics fragiles. Pourtant, les chiffres restent faibles : à peine un professionnel de santé sur deux se fait vacciner chaque année, un taux jugé insuffisant pour protéger efficacement les patients.

Un débat encore marqué par le précédent du Covid-19

Si le gouvernement avance avec précaution, c’est parce que le souvenir de la vaccination obligatoire contre le Covid-19 reste vif. Entre 2021 et 2023, cette mesure avait conduit à des suspensions de soignants, provoquant un profond malaise dans les hôpitaux et les Ehpad.

Pour beaucoup, le simple mot “obligation” réveille le traumatisme d’une période perçue comme autoritaire. D’autres estiment, au contraire, qu’il s’agit d’un devoir moral et professionnel de se protéger — et de protéger les plus fragiles.

Une question de santé publique… et de confiance

L’exécutif marche donc sur des œufs. La décision finale dépendra de l’avis de la HAS, mais le signal est clair : la vaccination contre la grippe redevient un sujet politique et sanitaire majeur.

Entre impératif de santé publique et respect de la liberté individuelle, la France s’apprête à rouvrir un débat complexe.
Faut-il rendre la vaccination contre la grippe obligatoire pour protéger les plus vulnérables — ou laisser chacun libre de choisir ?

La réponse, elle, devrait tomber au cours des prochains mois.

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Dès le 1er février 2026, plusieurs médicaments courants ne seront plus remboursés : ce qui va changer pour des millions de Français https://familysante.com/des-le-1er-fevrier-2026-plusieurs-medicaments-courants-ne-seront-plus-rembourses-ce-qui-va-changer-pour-des-millions-de-francais.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=des-le-1er-fevrier-2026-plusieurs-medicaments-courants-ne-seront-plus-rembourses-ce-qui-va-changer-pour-des-millions-de-francais https://familysante.com/des-le-1er-fevrier-2026-plusieurs-medicaments-courants-ne-seront-plus-rembourses-ce-qui-va-changer-pour-des-millions-de-francais.html#respond Sun, 02 Nov 2025 17:39:21 +0000 https://familysante.com/?p=10131 C’est une décision qui risque de faire grincer des dents. À partir du 1er février 2026, de nombreux médicaments utilisés au quotidien ne seront plus remboursés intégralement par la Sécurité sociale. En cause : leur “service médical rendu” jugé faible (SMR faible) par la Haute Autorité de Santé (HAS). Une mesure qui touche particulièrement les […]

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C’est une décision qui risque de faire grincer des dents. À partir du 1er février 2026, de nombreux médicaments utilisés au quotidien ne seront plus remboursés intégralement par la Sécurité sociale. En cause : leur “service médical rendu” jugé faible (SMR faible) par la Haute Autorité de Santé (HAS). Une mesure qui touche particulièrement les 14 millions de Français atteints d’une affection de longue durée (ALD), jusqu’ici couverts à 100 %.


Des médicaments très répandus bientôt moins pris en charge

Des noms bien connus figurent sur la liste : Gaviscon®, Spasfon®, Meteospasmyl®, Dexeryl®, Bétadine®… Autant de produits présents dans la plupart des armoires à pharmacie françaises.
Jusqu’ici, ces traitements étaient remboursés intégralement pour les patients en ALD, mais le projet de décret prévoit de supprimer cette exonération. Concrètement, ces médicaments ne seraient plus remboursés qu’à 15 %, comme pour les autres assurés.

Cette mesure s’inscrit dans un plan d’économies de 5,5 milliards d’euros pour la Sécurité sociale en 2026. Rien que la réduction du remboursement de ces produits devrait rapporter près de 90 millions d’euros à l’État chaque année.


Pourquoi ces médicaments sont-ils concernés ?

Le critère de sélection repose sur le service médical rendu (SMR), une évaluation de la HAS qui estime l’efficacité et l’intérêt de chaque médicament.
Les produits à SMR faible sont jugés d’efficacité limitée, ou disposent d’alternatives thérapeutiques plus efficaces. L’objectif du gouvernement est donc de réorienter les dépenses publiques vers les traitements jugés plus prioritaires ou essentiels.

Mais pour les patients, la conséquence est immédiate : des dépenses supplémentaires pour des médicaments pourtant prescrits régulièrement.


ALD, mutuelles et reste à charge : combien cela va-t-il coûter ?

Aujourd’hui, un patient en ALD ne paie rien pour un médicament à 10 €.
À partir du 1er février 2026, ce même traitement pourrait lui coûter 8,50 €.
Les prix de ces produits varient généralement entre 2 et 10 €, mais l’accumulation sur l’année peut représenter plusieurs dizaines d’euros pour les malades chroniques.

Autre difficulté : les complémentaires santé remboursent rarement ces médicaments à SMR faible, sauf option spécifique. Résultat : le reste à charge risque d’augmenter sensiblement, en particulier pour les foyers les plus modestes.


Les cures thermales également dans le viseur

Les médicaments ne sont pas les seuls concernés.
Le projet de réforme prévoit aussi une baisse du remboursement des cures thermales pour les patients en ALD.
Le taux de prise en charge passerait de 100 % à 65 %, une économie évaluée à 25 millions d’euros par an pour l’Assurance maladie.

Mais là encore, les conséquences pourraient être lourdes : une cure implique souvent des frais de transport, d’hébergement et de soins complémentaires, souvent à la charge du patient.


Une mesure qui interroge

Si cette réforme vise à réduire les dépenses publiques, elle soulève des questions sur l’équité du système de santé.
Pour beaucoup de patients en ALD, même de petites dépenses supplémentaires peuvent peser lourd, surtout dans un contexte de hausse générale des prix.
Les associations de patients s’inquiètent déjà d’un risque de renoncement aux soins pour des traitements jugés pourtant utiles dans la vie quotidienne.


En résumé

  • Date d’entrée en vigueur : 1er février 2026
  • Médicaments concernés : ceux à SMR faible (Gaviscon, Spasfon, Dexeryl, etc.)
  • Remboursement : passage de 100 % à 15 % pour les patients en ALD
  • Objectif : 90 millions d’euros d’économies par an
  • Autres mesures : cures thermales remboursées à 65 % au lieu de 100 %

Le gouvernement souhaite recentrer la solidarité nationale sur les traitements les plus efficaces, mais cette réforme risque de faire payer plus cher les maux du quotidien à des millions de Français. D’ici là, les patients concernés feraient bien de se rapprocher de leur mutuelle pour vérifier les options de remboursement disponibles.

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Alerte grippe : les départements les plus touchés en ce moment – êtes-vous dans la zone rouge ? https://familysante.com/alerte-grippe-les-departements-les-plus-touches-en-ce-moment-etes-vous-dans-la-zone-rouge.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=alerte-grippe-les-departements-les-plus-touches-en-ce-moment-etes-vous-dans-la-zone-rouge https://familysante.com/alerte-grippe-les-departements-les-plus-touches-en-ce-moment-etes-vous-dans-la-zone-rouge.html#respond Thu, 30 Oct 2025 18:10:01 +0000 https://familysante.com/?p=10089 La grippe refait surface en France, et cette année, elle frappe fort. Alors que l’hiver n’a même pas encore officiellement commencé, Santé Publique France tire déjà la sonnette d’alarme. Dans certains départements, les cas explosent littéralement. Une flambée des cas dans plusieurs régions En seulement une semaine, les passages aux urgences liés à la grippe […]

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La grippe refait surface en France, et cette année, elle frappe fort. Alors que l’hiver n’a même pas encore officiellement commencé, Santé Publique France tire déjà la sonnette d’alarme. Dans certains départements, les cas explosent littéralement.

Une flambée des cas dans plusieurs régions

En seulement une semaine, les passages aux urgences liés à la grippe ont bondi de 111 % à l’échelle nationale. Cela représente 972 patients pris en charge, soit 0,3 % de l’ensemble des passages, contre 0,2 % la semaine précédente.

Mais cette moyenne nationale masque d’importantes disparités selon les territoires. Certains départements connaissent une véritable explosion :

  • Le Lot : +2000 % de cas signalés
  • La Haute-Corse : +1200 %
  • Les Ardennes, l’Ariège et l’Allier : plus de +700 %
  • La Somme, l’Ille-et-Vilaine et la Loire-Atlantique : plus de +500 %

Le département le plus touché reste la Haute-Marne, avec 1,07 % des passages aux urgences liés à la grippe — un record national. D’autres zones comme la Somme, les Hautes-Pyrénées ou la Haute-Corse affichent aussi des niveaux préoccupants, autour de 0,8 %.

Des zones encore relativement épargnées

Tout n’est pas noir pour autant. Le quart Nord-Ouest et le centre de la France semblent encore relativement épargnés.
En Mayenne, seulement 0,4 % des passages aux urgences concernent la grippe. Les taux restent aussi faibles dans :

  • Le Finistère : 0,07 %
  • La Haute-Vienne : 0,12 %
  • L’Eure-et-Loir : 0,06 %

Et dans certains départements comme le Morbihan, le Bas-Rhin, les Côtes-d’Armor, la Creuse, la Corrèze ou le Val-d’Oise, la grippe a quasiment disparu des urgences.

Santé Publique France précise néanmoins que ces chiffres doivent être interprétés avec prudence : malgré les hausses spectaculaires en pourcentage, le nombre absolu de cas reste limité à ce stade de la saison.

Du côté des cabinets médicaux

Le réseau Sentinelles, qui suit l’évolution des maladies infectieuses, fait état d’une activité stable et faible : environ 2 cas pour 100 000 habitants, un niveau comparable à celui de la semaine précédente. Les médecins de ville ne constatent donc pas encore de vague majeure de grippe.

La vaccination, un geste protecteur essentiel

La campagne de vaccination antigrippale a débuté le 14 octobre, ciblant les personnes fragiles :

  • les femmes enceintes,
  • les seniors,
  • les enfants atteints de maladies chroniques,
  • et plus largement, les personnes immunodéprimées.

Au total, près de 19 millions de Français sont invités à se faire vacciner cette année.

Comment la vaccination protège-t-elle les femmes enceintes ?

La vaccination antigrippale est particulièrement recommandée pendant la grossesse. Elle protège non seulement la future maman — plus vulnérable aux complications respiratoires — mais aussi le bébé, grâce au transfert des anticorps maternels. Ces anticorps, transmis au fœtus, offrent une protection dès la naissance, avant même qu’il ne puisse être vacciné lui-même.

Vers une obligation pour certains professionnels ?

Les députés ont récemment adopté une mesure ouvrant la voie à une vaccination obligatoire contre la grippe pour les résidents d’Ehpad et certains professionnels de santé.
Cette disposition, inscrite dans le Projet de Loi de Financement de la Sécurité sociale (PLFSS), devra encore être examinée et validée. L’objectif : mieux protéger les publics les plus fragiles et limiter les risques d’épidémie en milieu médical.


En résumé

La grippe gagne du terrain, surtout dans l’Est et le Sud de la France. Si certaines régions restent encore relativement épargnées, la vigilance est de mise. Et la vaccination demeure, plus que jamais, le meilleur moyen de se protéger — particulièrement pour les femmes enceintes et les personnes à risque.

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Neurologue : ces 6 habitudes quotidiennes détruisent votre mémoire sans que vous vous en rendiez compte https://familysante.com/neurologue-ces-6-habitudes-quotidiennes-detruisent-votre-memoire-sans-que-vous-vous-en-rendiez-compte.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=neurologue-ces-6-habitudes-quotidiennes-detruisent-votre-memoire-sans-que-vous-vous-en-rendiez-compte https://familysante.com/neurologue-ces-6-habitudes-quotidiennes-detruisent-votre-memoire-sans-que-vous-vous-en-rendiez-compte.html#respond Thu, 30 Oct 2025 10:59:20 +0000 https://familysante.com/?p=10079 Vous oubliez parfois un prénom, un rendez-vous, ou ce que vous étiez venu faire dans une pièce ? Avant d’incriminer l’âge ou le stress passager, sachez que certains gestes du quotidien fragilisent directement votre mémoire.Selon plusieurs neurologues, certaines habitudes anodines perturbent les connexions neuronales et accélèrent le déclin de la mémoire, souvent sans que nous […]

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Vous oubliez parfois un prénom, un rendez-vous, ou ce que vous étiez venu faire dans une pièce ? Avant d’incriminer l’âge ou le stress passager, sachez que certains gestes du quotidien fragilisent directement votre mémoire.
Selon plusieurs neurologues, certaines habitudes anodines perturbent les connexions neuronales et accélèrent le déclin de la mémoire, souvent sans que nous en ayons conscience.

Voici les 6 comportements à éviter si vous voulez conserver un esprit alerte et une mémoire solide.


1. Négliger le sommeil : le plus grand saboteur de la mémoire

Le manque de sommeil n’est pas seulement une source de fatigue : c’est l’un des ennemis les plus redoutables du cerveau.
Pendant le sommeil profond, le cerveau trie les informations de la journée, consolide les souvenirs et élimine les toxines accumulées.
Dormir moins de 7 heures par nuit dérègle ces mécanismes : la mémorisation se dégrade, la concentration diminue et le cerveau fonctionne au ralenti.

Le bon réflexe : adoptez une routine de sommeil régulière, évitez les écrans avant le coucher et maintenez une chambre sombre, fraîche et silencieuse.


2. Manger n’importe comment

Ce que vous mettez dans votre assiette influence directement la performance de votre mémoire.
Les aliments riches en sucres rapides, graisses saturées et produits ultra-transformés favorisent l’inflammation cérébrale et le stress oxydatif. Ces deux phénomènes altèrent la communication entre les neurones.
À l’inverse, les oméga-3, les antioxydants et les vitamines du groupe B nourrissent le cerveau et stimulent la mémoire.

Le bon réflexe : privilégiez une alimentation méditerranéenne à base de fruits, légumes, poissons gras, noix et huile d’olive.


3. Vivre sous un stress permanent

Le stress n’est pas toujours mauvais, mais lorsqu’il devient chronique, il devient toxique pour le cerveau.
Une exposition prolongée au cortisol (l’hormone du stress) fragilise l’hippocampe, zone clé de la mémoire et de l’apprentissage.
Résultat : difficultés à se concentrer, trous de mémoire, fatigue mentale.

Le bon réflexe : pratiquez chaque jour une activité relaxante — marche, méditation, respiration, sport doux — et autorisez-vous des moments de pause. Un esprit apaisé retient mieux.


4. Ne pas bouger assez

Rester assis des heures devant un écran nuit autant à votre cerveau qu’à votre corps.
L’inactivité réduit l’apport d’oxygène et de nutriments essentiels aux neurones, diminuant ainsi leur performance.
À l’inverse, le mouvement stimule la circulation sanguine et favorise la production de nouvelles connexions cérébrales.

Le bon réflexe : bougez quotidiennement, même légèrement. Montez les escaliers, marchez après les repas ou dansez : chaque mouvement aide votre cerveau à rester vif.


5. Ne plus stimuler son cerveau

Le cerveau fonctionne comme un muscle : sans exercice, il s’affaiblit.
La routine, les gestes répétitifs et le manque de nouveauté réduisent la plasticité cérébrale, c’est-à-dire la capacité du cerveau à créer de nouvelles connexions.
À l’inverse, la curiosité, l’apprentissage et les défis cognitifs entretiennent la mémoire.

Le bon réflexe : variez vos activités. Lisez un nouveau genre de livre, apprenez une langue, jouez à des jeux de logique ou découvrez un lieu inconnu. Chaque expérience nouvelle renforce vos circuits neuronaux.


6. Trop déléguer à la technologie

GPS, rappels, contacts enregistrés : nos appareils retiennent tout pour nous. Mais cette dépendance affaiblit notre propre mémoire.
Des études ont montré que l’usage excessif des outils numériques réduit l’activité de l’hippocampe, la même zone qui se dégrade avec le déclin cognitif.
Autrement dit : plus votre téléphone se souvient pour vous, moins votre cerveau le fait.

Le bon réflexe : sollicitez votre mémoire au quotidien. Essayez de retenir un numéro, un trajet, une liste ou un mot de passe sans aide numérique. Ces petits efforts entretiennent vos capacités cognitives.


En résumé

Votre mémoire n’est pas figée : elle se cultive.
Bien dormir, manger sainement, gérer le stress, bouger, apprendre et faire travailler sa tête plutôt que son téléphone sont les meilleurs moyens de préserver un cerveau alerte.

Prendre soin de sa mémoire, c’est aussi prendre soin de sa qualité de vie.


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Les fossettes du bas du dos : que révèlent-elles vraiment ? https://familysante.com/les-fossettes-du-bas-du-dos-que-revelent-elles-vraiment.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=les-fossettes-du-bas-du-dos-que-revelent-elles-vraiment https://familysante.com/les-fossettes-du-bas-du-dos-que-revelent-elles-vraiment.html#respond Mon, 27 Oct 2025 12:19:14 +0000 https://familysante.com/?p=10032 Petites, discrètes et pourtant fascinantes… Les deux fossettes situées au bas du dos intriguent depuis toujours. Souvent considérées comme un signe de beauté naturelle, elles attirent l’attention par leur symétrie parfaite et leur rareté. Mais au-delà de l’aspect esthétique, que signifient-elles réellement ? Un signe anatomique rare et séduisant Ces petites marques, situées juste au-dessus […]

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Petites, discrètes et pourtant fascinantes… Les deux fossettes situées au bas du dos intriguent depuis toujours. Souvent considérées comme un signe de beauté naturelle, elles attirent l’attention par leur symétrie parfaite et leur rareté. Mais au-delà de l’aspect esthétique, que signifient-elles réellement ?

Un signe anatomique rare et séduisant

Ces petites marques, situées juste au-dessus des fesses, portent un nom : les fossettes de Vénus chez les femmes et les fossettes d’Apollon chez les hommes. Elles se forment à cause d’une particularité anatomique : un léger creux dans la zone où la peau est reliée directement à l’articulation sacro-iliaque (là où la colonne vertébrale rencontre le bassin).
Tout le monde n’en a pas, car leur présence dépend de la structure osseuse et d’une faible couche de graisse à cet endroit précis.

Un symbole de beauté naturelle

Dans de nombreuses cultures, ces fossettes sont considérées comme un signe de charme et d’équilibre.
Elles sont souvent associées à la sensualité naturelle et à la bonne santé physique. Dans l’art de la Renaissance, notamment, elles étaient vues comme un signe d’harmonie du corps – une touche que seuls certains chanceux possédaient.

Ce que disent les experts

D’un point de vue médical, ces fossettes n’ont aucune signification pathologique. Cependant, certaines études estiment qu’elles pourraient être liées à une meilleure circulation sanguine dans la région lombaire et pelvienne, favorisant parfois une meilleure vitalité musculaire.
Mais attention : il s’agit avant tout d’une caractéristique génétique, pas d’un indicateur de forme ou de santé.

Peut-on les faire apparaître ?

Beaucoup se demandent s’il est possible de “créer” ces fameuses fossettes grâce au sport. La réponse est nuancée : si votre structure osseuse ne les permet pas, elles ne peuvent pas se former naturellement.
En revanche, un travail ciblé des muscles lombaires et fessiers (comme les ponts fessiers ou les extensions du dos) peut parfois les rendre plus visibles chez les personnes qui les ont déjà légèrement marquées.

En résumé

Les fossettes du bas du dos sont avant tout un héritage génétique et un atout esthétique naturel. Elles symbolisent la beauté, la symétrie et la vitalité, sans pour autant refléter un quelconque état de santé particulier.

Alors, si vous en avez, sachez que vous possédez un petit détail rare que beaucoup considèrent comme le signe d’un charme unique. Et si vous n’en avez pas, souvenez-vous : la beauté réside avant tout dans l’harmonie et la confiance en soi.

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Arracher ses cheveux blancs : une mauvaise idée selon les experts https://familysante.com/arracher-ses-cheveux-blancs-une-mauvaise-idee-selon-les-experts.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=arracher-ses-cheveux-blancs-une-mauvaise-idee-selon-les-experts https://familysante.com/arracher-ses-cheveux-blancs-une-mauvaise-idee-selon-les-experts.html#respond Thu, 23 Oct 2025 10:45:59 +0000 https://familysante.com/?p=9967 Vous avez remarqué vos premiers cheveux blancs et, par réflexe, vous avez envie de les arracher ? Mauvaise idée, préviennent les dermatologues. Non seulement cela ne fera pas repousser vos cheveux colorés, mais ce geste anodin en apparence peut avoir des conséquences bien plus graves pour votre cuir chevelu. Non, arracher un cheveu blanc n’en […]

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Vous avez remarqué vos premiers cheveux blancs et, par réflexe, vous avez envie de les arracher ? Mauvaise idée, préviennent les dermatologues. Non seulement cela ne fera pas repousser vos cheveux colorés, mais ce geste anodin en apparence peut avoir des conséquences bien plus graves pour votre cuir chevelu.

Non, arracher un cheveu blanc n’en fait pas pousser d’autres

Une croyance populaire prétend qu’en arrachant un cheveu blanc, plusieurs repousseront à sa place. C’est totalement faux.
Chaque cheveu pousse à partir d’un follicule pileux indépendant, qui contient les cellules responsables de la couleur du cheveu : les mélanocytes. Quand ces cellules cessent de produire de la mélanine, le pigment naturel, le cheveu devient blanc ou gris.

Arracher un cheveu blanc n’a donc aucun impact sur les follicules voisins. En revanche, le cheveu arraché repoussera à nouveau… blanc, car le follicule qui l’a produit ne fabrique plus de mélanine.

Ce que vous risquez vraiment en arrachant vos cheveux blancs

Si arracher un cheveu blanc ne multiplie pas leur nombre, ce geste peut en revanche abîmer durablement le cuir chevelu :

  • Irritation et inflammation : l’arrachage répété fragilise la peau et peut provoquer des rougeurs ou des démangeaisons.
  • Folliculite : en tirant sur le cheveu, on ouvre la porte aux bactéries, ce qui peut causer une infection du follicule.
  • Cicatrices et perte définitive : à force d’agresser la même zone, le follicule peut être détruit, empêchant toute repousse.
  • Cheveux incarnés : la repousse peut se faire sous la peau, entraînant des boutons ou des zones douloureuses.

En clair, si vous tirez régulièrement sur vos cheveux blancs, vous risquez à long terme de perdre définitivement certains cheveux.

Quelles alternatives pour gérer les cheveux blancs ?

Il existe plusieurs solutions simples et sans danger pour dissimuler ou assumer vos cheveux blancs :

  • Les colorations douces : privilégiez les colorations sans ammoniaque ou végétales pour ne pas abîmer la fibre capillaire.
  • Les sprays ou mascaras capillaires : parfaits pour camoufler temporairement quelques mèches rebelles.
  • Les coupes et coiffures adaptées : une coupe dégradée ou une mèche bien placée peut rendre les cheveux blancs beaucoup moins visibles.
  • Assumer le naturel : de plus en plus de personnes choisissent de laisser leurs cheveux blancs, symbole d’élégance et de maturité.

En conclusion

Arracher ses cheveux blancs n’a aucun effet sur leur nombre, mais peut nuire à la santé de votre cuir chevelu. Pour préserver vos cheveux, mieux vaut opter pour des solutions plus douces ou apprendre à les accepter avec fierté. Après tout, les cheveux blancs ne sont pas un signe de négligence, mais le reflet d’une vie riche et bien vécue.

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Covid-19 : le variant « Frankenstein » inquiète avec un symptôme à surveiller de près, la règle des 60 minutes https://familysante.com/covid-19-le-variant-frankenstein-inquiete-avec-un-symptome-a-surveiller-de-pres-la-regle-des-60-minutes.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=covid-19-le-variant-frankenstein-inquiete-avec-un-symptome-a-surveiller-de-pres-la-regle-des-60-minutes https://familysante.com/covid-19-le-variant-frankenstein-inquiete-avec-un-symptome-a-surveiller-de-pres-la-regle-des-60-minutes.html#respond Tue, 21 Oct 2025 07:45:25 +0000 https://familysante.com/?p=9914 Alors que l’automne s’installe, les virus saisonniers refont surface. Grippe, rhume, bronchite… les symptômes se confondent souvent. Mais un nouveau variant du Covid-19, surnommé « Frankenstein » pour sa capacité à combiner plusieurs mutations, attire particulièrement l’attention des autorités sanitaires. Extrêmement contagieux, il provoque une toux persistante qu’il ne faut surtout pas ignorer. La fameuse […]

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Alors que l’automne s’installe, les virus saisonniers refont surface. Grippe, rhume, bronchite… les symptômes se confondent souvent. Mais un nouveau variant du Covid-19, surnommé « Frankenstein » pour sa capacité à combiner plusieurs mutations, attire particulièrement l’attention des autorités sanitaires. Extrêmement contagieux, il provoque une toux persistante qu’il ne faut surtout pas ignorer.


La fameuse “règle des 60 minutes” : le test simple pour reconnaître une toux suspecte

Selon le NHS (National Health Service) britannique, la toux liée au variant Frankenstein est facilement identifiable grâce à la règle des 60 minutes.
Le principe est simple :

Si vous toussez pendant plus d’une heure, ou si vous avez au moins trois épisodes de toux en 24 heures, il est conseillé de faire un test Covid.

Une toux persistante peut sembler anodine, surtout à l’automne, mais si elle dure plusieurs jours, il est préférable de consulter un médecin. En effet, une infection au variant Frankenstein peut s’accompagner d’une grande fatigue et d’autres symptômes épuisants pour l’organisme.


Covid, grippe ou simple rhume : comment faire la différence ?

Les symptômes des infections respiratoires peuvent se ressembler, mais certaines nuances permettent de les distinguer.
Le pharmacien Amir Bhogal, directeur du groupe Pyramid Pharmacy, résume ainsi la différence :

  • Le rhume provoque surtout une congestion nasale et un mal de gorge léger.
  • La grippe se manifeste par une fièvre élevée, des frissons et une fatigue intense.
  • Le Covid-19, lui, combine souvent toux, fatigue, fièvre et douleurs musculaires — une combinaison plus large et plus éprouvante.

Le variant Frankenstein semble accentuer ces symptômes, notamment la toux persistante, qui reste le signe d’alerte principal.


Vaccination : la campagne automnale est lancée

Depuis le 14 octobre 2025, la campagne nationale de vaccination contre la grippe et le Covid-19 est ouverte.
Les personnes à risque – notamment les plus de 65 ans, les personnes immunodéprimées, les femmes enceintes et les professionnels de santé – ont reçu un courrier de l’Assurance Maladie leur permettant d’être vaccinées gratuitement.
Mais toute personne volontaire peut également recevoir le vaccin, même si elle ne fait pas partie des publics prioritaires.


En résumé : soyez attentif à votre toux cet automne

L’automne est propice à la propagation des virus, et la vigilance reste de mise.
Si vous remarquez une toux persistante de plus d’une heure ou plusieurs épisodes répétés dans la journée, isolez-vous, testez-vous, et consultez un professionnel de santé en cas de doute.
Mieux vaut réagir tôt que tard : le variant Frankenstein du Covid-19 rappelle que la prudence reste notre meilleure protection.

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Si votre chat a la peau du ventre qui pend, voici ce que cela signifie ! https://familysante.com/si-votre-chat-a-la-peau-du-ventre-qui-pend-voici-ce-que-cela-signifie.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=si-votre-chat-a-la-peau-du-ventre-qui-pend-voici-ce-que-cela-signifie https://familysante.com/si-votre-chat-a-la-peau-du-ventre-qui-pend-voici-ce-que-cela-signifie.html#respond Fri, 17 Oct 2025 10:29:29 +0000 https://familysante.com/?p=9848 Beaucoup de propriétaires remarquent un jour que leur chat a une peau du ventre un peu “molle” et pendante, surtout lorsqu’il marche. Cette particularité intrigue souvent : certains s’inquiètent d’un problème de poids, d’autres pensent à une maladie. Pourtant, dans la majorité des cas, ce phénomène est parfaitement normal et porte même un nom scientifique […]

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Beaucoup de propriétaires remarquent un jour que leur chat a une peau du ventre un peu “molle” et pendante, surtout lorsqu’il marche. Cette particularité intrigue souvent : certains s’inquiètent d’un problème de poids, d’autres pensent à une maladie. Pourtant, dans la majorité des cas, ce phénomène est parfaitement normal et porte même un nom scientifique : la poche primordiale.

Qu’est-ce que la poche primordiale ?

La “poche primordiale” est une fine couche de peau et de graisse située le long du ventre, entre les pattes arrière. Elle pend légèrement, surtout chez les chats adultes ou stérilisés.
Elle peut donner l’impression que l’animal a pris du poids, mais en réalité, il s’agit d’une caractéristique naturelle présente chez de nombreux félins, même les plus minces.

Pourquoi les chats ont-ils cette poche ?

Cette poche n’est pas un hasard de la nature ; elle a une véritable fonction. Les spécialistes avancent trois raisons principales :

  1. Protection des organes vitaux
    En cas de bagarre ou de morsure, cette peau souple offre une couche de protection supplémentaire pour les organes sensibles de l’abdomen.
  2. Souplesse et agilité
    Elle permet au chat de s’étirer et se tordre facilement lorsqu’il court ou saute. Cette élasticité est un atout naturel pour la chasse et les déplacements rapides.
  3. Réserve d’énergie
    Elle contient une petite quantité de graisse, ce qui peut représenter une réserve énergétique en cas de disette — un héritage de l’époque où les chats vivaient à l’état sauvage.

Poche primordiale ou surpoids ?

La confusion entre poche primordiale et excès de poids est fréquente. Voici quelques indices pour faire la différence :

  • Si la poche se balance légèrement mais que vous sentez facilement les côtes de votre chat en le caressant, il n’est probablement pas en surpoids.
  • Si en revanche, la zone est ferme, ronde et que les côtes sont difficiles à sentir, il peut s’agir de graisse abdominale liée à une prise de poids.

En cas de doute, une simple visite chez le vétérinaire permet de vérifier l’état de santé général et d’établir un poids idéal pour votre animal.

Quand faut-il s’inquiéter ?

La poche primordiale en elle-même n’est pas un signe de maladie. Toutefois, certaines situations nécessitent une consultation vétérinaire :

  • Si la poche grossit soudainement.
  • Si elle devient douloureuse au toucher.
  • Si elle s’accompagne d’autres symptômes (perte d’appétit, léthargie, changement de comportement).

Dans ces cas, il peut s’agir d’un problème médical sous-jacent (hernie, masse, inflammation…).

En résumé

La peau pendante au niveau du ventre d’un chat est le plus souvent une caractéristique naturelle appelée “poche primordiale”. Elle protège, rend plus agile et peut stocker un peu d’énergie. Ce n’est donc pas un défaut, mais une véritable force héritée de l’évolution.

Surveillez simplement les changements inhabituels ; sinon, cette petite poche est tout à fait normale et n’a rien d’inquiétant.


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Covid-19 : le symptôme nocturne du variant “Frankenstein” qui inquiète les médecins chez les enfants https://familysante.com/covid-19-le-symptome-nocturne-du-variant-frankenstein-qui-inquiete-les-medecins-chez-les-enfants.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=covid-19-le-symptome-nocturne-du-variant-frankenstein-qui-inquiete-les-medecins-chez-les-enfants https://familysante.com/covid-19-le-symptome-nocturne-du-variant-frankenstein-qui-inquiete-les-medecins-chez-les-enfants.html#respond Thu, 16 Oct 2025 15:47:29 +0000 https://familysante.com/?p=9837 Avec l’arrivée de l’automne et la baisse des températures, les virus saisonniers refont surface. Cette année, les professionnels de santé sont particulièrement vigilants face à une nouvelle souche du Covid-19 : le variant surnommé “Frankenstein”. Ce dernier touche de plus en plus d’enfants et présente un symptôme nocturne que les parents doivent absolument surveiller. Un […]

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Avec l’arrivée de l’automne et la baisse des températures, les virus saisonniers refont surface. Cette année, les professionnels de santé sont particulièrement vigilants face à une nouvelle souche du Covid-19 : le variant surnommé “Frankenstein”. Ce dernier touche de plus en plus d’enfants et présente un symptôme nocturne que les parents doivent absolument surveiller.

Un variant qui se propage rapidement

Comme chaque automne, les cabinets médicaux et les pharmacies sont pris d’assaut. Grippe, angines, gastro-entérites… les maladies respiratoires saisonnières reviennent en force. Mais depuis septembre, les cas de Covid-19 sont également en hausse, notamment à cause de ce nouveau variant, appelé aussi XFG. Issu d’une recombinaison de la souche Omicron, le variant “Frankenstein” est particulièrement virulent et s’attaque désormais aussi aux plus jeunes.

La plupart des adultes infectés présentent des symptômes proches d’un rhume prolongé : fièvre modérée, gorge irritée, toux persistante et fatigue plus longue à disparaître. Si la majorité des cas ne sont pas graves, les médecins recommandent toutefois une vigilance accrue, surtout chez les enfants.

Le signal d’alerte à surveiller la nuit

Selon le pédiatre britannique Dr Suraj Kukadia, un signe nocturne spécifique doit alerter les parents : une respiration sifflante ou un léger grincement à l’expiration lorsque l’enfant dort. Ce phénomène, souvent discret au départ, traduit une irritation ou une inflammation des voies respiratoires. Il peut indiquer que les bronches sont partiellement obstruées.

La nuit, le corps produit naturellement moins d’adrénaline et de cortisol, des hormones qui aident les bronches à rester bien ouvertes. Chez les enfants, ce relâchement musculaire nocturne rend la respiration plus difficile et peut accentuer les symptômes respiratoires.

Pourquoi il ne faut pas ignorer ce symptôme

Une respiration sifflante ne doit jamais être prise à la légère. Si elle s’installe ou s’aggrave, elle peut rapidement évoluer vers une toux intense, un essoufflement ou, dans les cas plus sérieux, une infection thoracique voire une pneumonie. Les spécialistes recommandent de consulter un médecin sans attendre si ces signes apparaissent, même si l’enfant ne présente pas de forte fièvre.

D’autres symptômes à surveiller

Outre les difficultés respiratoires nocturnes, le variant “Frankenstein” peut provoquer chez les enfants et les adultes :

  • une fatigue persistante,
  • une gorge irritée et une toux sèche,
  • des troubles de la concentration (flou cérébral),
  • une sensation de désorientation passagère.

Ces symptômes, bien que souvent modérés, peuvent durer plus longtemps que pour les autres infections respiratoires classiques.

Prévention et vigilance

Comme pour les précédents variants, les gestes barrières restent essentiels :

  • lavage fréquent des mains,
  • aération des pièces,
  • port du masque en cas de symptômes,
  • et isolement temporaire en cas de test positif.

Pour les enfants, une attention particulière doit être portée au sommeil : si leur respiration devient sifflante ou bruyante la nuit, une consultation médicale est fortement recommandée.


En résumé : le variant “Frankenstein” du Covid-19 n’est pas forcément plus dangereux, mais il présente une particularité inquiétante chez les enfants : la respiration sifflante nocturne. Ce signal, souvent sous-estimé, doit pousser les parents à agir rapidement pour éviter toute complication.

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