Archives des Psychologie - Family santé https://familysante.com/category/psychologie Santé, famille, bien être Sun, 22 Jun 2025 12:12:10 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.2 https://familysante.com/wp-content/uploads/2016/12/cropped-Wear-32x32.png Archives des Psychologie - Family santé https://familysante.com/category/psychologie 32 32 Porter l’alliance à la main droite : sens cachés d’un choix qui interpelle https://familysante.com/porter-lalliance-a-la-main-droite-sens-caches-dun-choix-qui-interpelle.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=porter-lalliance-a-la-main-droite-sens-caches-dun-choix-qui-interpelle https://familysante.com/porter-lalliance-a-la-main-droite-sens-caches-dun-choix-qui-interpelle.html#respond Sun, 22 Jun 2025 12:12:08 +0000 https://familysante.com/?p=8346 En matière d’amour et de symboles, chaque détail compte. Et si le fait de porter son alliance à la main droite n’était pas un simple hasard, mais un véritable choix porteur de sens ? Derrière ce geste apparemment discret, se cache souvent une histoire, une culture, un message. Zoom sur une pratique qui intrigue autant […]

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En matière d’amour et de symboles, chaque détail compte. Et si le fait de porter son alliance à la main droite n’était pas un simple hasard, mais un véritable choix porteur de sens ? Derrière ce geste apparemment discret, se cache souvent une histoire, une culture, un message. Zoom sur une pratique qui intrigue autant qu’elle fascine.

Une tradition bien plus répandue qu’on ne le croit

Dans de nombreuses cultures, l’alliance se porte naturellement à l’annulaire gauche, en lien avec une croyance ancienne selon laquelle une veine relierait ce doigt directement au cœur. Mais ce n’est pas une règle universelle. En Allemagne, en Russie, en Pologne, ou encore dans certaines régions de l’Inde, c’est la main droite qui est privilégiée pour les alliances.

Pourquoi ? Parce qu’elle est souvent associée à des valeurs fortes : loyauté, force intérieure, droiture morale. Autant de qualités que l’on retrouve volontiers dans l’idée d’un engagement amoureux sincère et durable.

Un choix personnel, parfois libérateur

Pour certains, porter leur alliance à droite n’a rien à voir avec une tradition. C’est un acte volontaire, presque intime. Cela peut symboliser :

  • Un nouveau départ après une rupture
  • Une promesse faite à soi-même
  • Une affirmation de liberté ou d’indépendance
  • Une volonté de ne pas se conformer à une norme qui ne leur parle pas

Contrairement à certains clichés, ce geste ne signifie pas forcément un échec amoureux ou une séparation. Il peut au contraire représenter un cheminement personnel, une façon de se recentrer sur soi ou de redéfinir ses engagements à sa manière.

Un héritage culturel… mais aussi un choix pratique

Dans les rites orthodoxes, la main droite est perçue comme plus noble, plus sacrée. C’est donc naturellement qu’on y glisse l’alliance. Dans d’autres cas, ce sont des raisons pratiques qui motivent le choix : un droitier actif qui veut éviter d’abîmer sa bague, un professionnel travaillant beaucoup avec ses mains, ou tout simplement une question de confort au quotidien.

L’amour, aujourd’hui, n’a plus besoin de règles figées

Nous vivons à une époque où l’on réinvente les symboles, où chaque couple (et même chaque individu) est libre de donner son propre sens aux gestes. Certaines femmes choisissent de s’offrir une bague d’engagement à soi-même, pour célébrer une étape importante de leur vie : une réussite personnelle, un voyage intérieur, une guérison.

Et pourquoi pas à la main droite ? Parce qu’au fond, le plus important n’est pas le doigt… mais ce qu’il représente.

Ce que cela peut vouloir dire… ou pas

Vous croisez quelqu’un qui porte une alliance à droite ? Voici ce qu’il faut garder en tête :

  • Est-il forcément marié ? Non, cela dépend de sa culture ou de son histoire personnelle.
  • Doit-on faire comme son partenaire ? Pas du tout. Chacun est libre de choisir ce qui lui convient.
  • Est-ce une nouvelle tendance ? Oui, et elle reflète parfaitement les valeurs modernes : authenticité, liberté, individualité.

Main gauche ou main droite : écoutez votre cœur

En définitive, peu importe la main, tant que le geste a du sens pour vous. Que vous suiviez une tradition, une intuition ou un besoin personnel, votre manière de porter l’alliance vous appartient.

L’amour se vit autant dans la liberté que dans l’engagement. Et c’est peut-être ça, le plus beau symbole de tous.

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40 % des gens sauvent leur chien plutôt qu’un inconnu : ce que révèle cette étude sur nos liens affectifs https://familysante.com/40-des-gens-sauvent-leur-chien-plutot-quun-inconnu-ce-que-revele-cette-etude-sur-nos-liens-affectifs.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=40-des-gens-sauvent-leur-chien-plutot-quun-inconnu-ce-que-revele-cette-etude-sur-nos-liens-affectifs https://familysante.com/40-des-gens-sauvent-leur-chien-plutot-quun-inconnu-ce-que-revele-cette-etude-sur-nos-liens-affectifs.html#respond Wed, 18 Jun 2025 11:05:17 +0000 https://familysante.com/?p=8283 C’est une question que personne ne souhaite jamais avoir à trancher : en cas de danger immédiat, qui choisiriez-vous de sauver en premier — votre chien ou un inconnu ? Aussi choquant que cela puisse paraître, une étude révèle que 40 % des personnes interrogées choisiraient leur animal de compagnie plutôt qu’un touriste étranger. Derrière […]

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C’est une question que personne ne souhaite jamais avoir à trancher : en cas de danger immédiat, qui choisiriez-vous de sauver en premier — votre chien ou un inconnu ? Aussi choquant que cela puisse paraître, une étude révèle que 40 % des personnes interrogées choisiraient leur animal de compagnie plutôt qu’un touriste étranger.

Derrière ce scénario digne d’un dilemme moral, se cachent des données précieuses sur la psychologie humaine et le rôle que tiennent les animaux de compagnie dans nos vies.


Un choix déchirant… mais révélateur

L’étude, menée par une équipe de psychologues dirigée par Richard Topolski et relayée par le professeur Hal Herzog dans la revue Psychology Today, a soumis les participants à une situation fictive : un bus fou fonce sur un chien et une personne. Vous n’avez qu’un instant pour réagir : qui sauvez-vous ?

Les réponses varient largement selon les liens affectifs. Lorsque l’animal est leur propre chien et la personne en danger un inconnu, 40 % des participants choisissent de sauver l’animal. Ce chiffre chute à 12 % lorsque le chien ne leur appartient pas.


Les liens affectifs changent la donne

L’étude a également exploré d’autres scénarios, en remplaçant l’inconnu par un cousin éloigné, un ami proche ou un membre de la famille. Et les résultats suivent une logique émotionnelle :

  • 23 % préfèrent sauver leur chien plutôt qu’un cousin éloigné
  • 12 % des femmes choisiraient leur chien au lieu de leur meilleur ami
  • En revanche, les proches très intimes (frère, sœur, grands-parents) sont plus souvent « choisis » que le chien

Ces chiffres montrent à quel point le lien affectif joue un rôle fondamental dans nos prises de décision. Ce n’est pas simplement un dilemme moral abstrait : c’est une question d’attachement profond, construit au fil du temps.


Quand l’animal devient un membre de la famille

Pour le professeur Herzog, ces résultats ne sont pas étonnants : « Ces données confirment que, pour beaucoup de personnes, les animaux de compagnie sont perçus — au moins psychologiquement — comme des membres à part entière de la famille. »

Le chien, compagnon fidèle et présent au quotidien, prend une place affective centrale dans la vie de nombreuses personnes. Il ne s’agit donc pas seulement d’un attachement « animalier », mais d’une véritable relation affective, équivalente à celle que l’on pourrait entretenir avec un proche.


Une sensibilité plus marquée chez les femmes ?

Autre élément marquant : l’étude montre que les femmes sont statistiquement plus enclines à sauver leur animal que les hommes, notamment lorsqu’il s’agit de le préférer à un ami proche. Ce constat soulève des questions intéressantes sur la manière dont l’empathie et l’attachement émotionnel se manifestent selon les genres.


Un miroir de notre humanité ?

Ce type d’étude, au-delà de la provocation morale, met en lumière des vérités parfois inconfortables. Elle révèle la complexité de nos attachements, mais aussi l’évolution de notre rapport aux animaux dans nos sociétés modernes. Pour certains, sauver leur chien avant un inconnu n’est pas un acte égoïste, mais une réponse instinctive dictée par l’amour et la loyauté.

En fin de compte, ces résultats interrogent plus profondément notre définition de la famille, de la loyauté… et de l’humanité elle-même.


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Pourquoi avons-nous parfois envie de « mordre » les gens qu’on aime très fort ? https://familysante.com/pourquoi-avons-nous-parfois-envie-de-mordre-les-gens-quon-aime-tres-fort.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=pourquoi-avons-nous-parfois-envie-de-mordre-les-gens-quon-aime-tres-fort https://familysante.com/pourquoi-avons-nous-parfois-envie-de-mordre-les-gens-quon-aime-tres-fort.html#respond Fri, 30 May 2025 07:41:45 +0000 https://familysante.com/?p=7981 Vous est-il déjà arrivé de ressentir cette étrange envie de « mordre » quelqu’un que vous aimez beaucoup ? Que ce soit votre enfant, votre partenaire ou même votre animal de compagnie, ce phénomène est bien plus courant qu’on ne le pense. Mais d’où vient cette impulsion étrange, et que dit-elle de nos émotions ? […]

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Vous est-il déjà arrivé de ressentir cette étrange envie de « mordre » quelqu’un que vous aimez beaucoup ? Que ce soit votre enfant, votre partenaire ou même votre animal de compagnie, ce phénomène est bien plus courant qu’on ne le pense. Mais d’où vient cette impulsion étrange, et que dit-elle de nos émotions ?

Un phénomène étudié par la science

Cette envie, qui peut sembler étrange ou même déroutante, porte un nom : l’agression mignonne (ou « cute aggression » en anglais). C’est un phénomène psychologique qui a intrigué de nombreux chercheurs en neurosciences et en psychologie.

En 2015, une étude menée par l’université de Yale a mis en évidence ce paradoxe : lorsque nous sommes confrontés à quelque chose de particulièrement mignon ou aimable, comme un bébé qui rit ou un chiot tout doux, notre cerveau active des réponses émotionnelles intenses… au point de déclencher des comportements qui peuvent sembler agressifs, comme l’envie de pincer, serrer fort dans ses bras, ou même de mordre.

Pourquoi cette réaction ?

Il s’agit en fait d’un mécanisme de régulation émotionnelle. Quand nous ressentons une émotion positive très forte, notre cerveau cherche à équilibrer cet excès d’excitation en générant des signaux « contraires », ici de type agressif. Ces signaux permettent de modérer notre trop-plein émotionnel.

C’est un peu comme si le cerveau disait : « Calme-toi, cette émotion est trop intense, je vais t’aider à la contenir. » Ainsi, l’envie de mordre ou de serrer très fort ne signifie pas que nous voulons réellement faire du mal, mais plutôt que nous cherchons inconsciemment à gérer une surcharge affective.

Une expression saine (dans une certaine mesure)

Bien entendu, cela ne veut pas dire qu’il faut se laisser aller à mordre réellement. Mais comprendre que cette envie est un mécanisme naturel peut aider à la déculpabiliser. Cela montre surtout à quel point notre attachement peut être fort.

Dans certaines cultures, on retrouve d’ailleurs des expressions qui traduisent ce phénomène, comme « je pourrais te manger » ou « je te croquerais tellement je t’aime ». Ces phrases illustrent bien cette envie paradoxale d’exprimer son amour de façon… un peu brutale.

En conclusion

L’envie de mordre quelqu’un qu’on aime très fort n’est pas un signe de danger ou de violence réelle, mais plutôt une réaction normale à des émotions intenses. Cela nous rappelle que le cerveau humain est complexe et parfois plein de contradictions.

Alors, la prochaine fois que vous ressentez cette envie étrange, sachez qu’elle est un signe d’amour… tout simplement !

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“Mes collègues veulent que je leur cède mes vacances parce qu’ils ont des enfants, c’est hors de question” https://familysante.com/mes-collegues-veulent-que-je-leur-cede-mes-vacances-parce-quils-ont-des-enfants-cest-hors-de-question.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=mes-collegues-veulent-que-je-leur-cede-mes-vacances-parce-quils-ont-des-enfants-cest-hors-de-question https://familysante.com/mes-collegues-veulent-que-je-leur-cede-mes-vacances-parce-quils-ont-des-enfants-cest-hors-de-question.html#respond Thu, 08 May 2025 11:15:34 +0000 https://familysante.com/?p=7800 Dans de nombreuses entreprises, la répartition des congés annuels, notamment en période de vacances scolaires, suscite régulièrement des tensions. Le cas de cette employée britannique, récemment devenue mère, illustre une réalité méconnue mais bien présente : la pression silencieuse exercée par certains collègues pour obtenir des jours de congé supplémentaires, au nom de la parentalité. […]

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Dans de nombreuses entreprises, la répartition des congés annuels, notamment en période de vacances scolaires, suscite régulièrement des tensions. Le cas de cette employée britannique, récemment devenue mère, illustre une réalité méconnue mais bien présente : la pression silencieuse exercée par certains collègues pour obtenir des jours de congé supplémentaires, au nom de la parentalité.

Une habitude de longue date remise en question

Pendant plus de vingt ans, cette salariée a travaillé dans le même service. Jusqu’à récemment, elle était connue pour sa disponibilité : elle vendait régulièrement une partie de ses congés à ses collègues, se portait volontaire pour travailler à Noël et facilitait, de manière générale, l’organisation des plannings. Une attitude saluée, en particulier par les parents, pour qui la période estivale et les fêtes sont des moments cruciaux à passer en famille.

Mais depuis la naissance de son enfant, tout a changé. De retour de congé maternité, elle a décidé de consacrer ses jours de repos à sa propre famille. Une décision légitime, mais qui n’a pas été bien reçue par tout le monde. Très vite, les sollicitations ont repris : peut-elle vendre quelques jours ? Travailler à Noël, comme avant ? Faire un effort pour « ceux qui ont des enfants » ?

Quand la solidarité devient une attente implicite

Ce témoignage met en lumière une question rarement abordée : jusqu’où doit aller la solidarité entre collègues ? Si la flexibilité et l’entraide sont des qualités essentielles dans un environnement professionnel, elles peuvent aussi devenir des obligations déguisées. Lorsqu’un collaborateur est systématiquement attendu pour faire des concessions, l’équilibre est rompu.

La pression sociale au travail peut être particulièrement forte, surtout dans les équipes où la majorité des membres sont parents. Certains employés sans enfants, ou avec des enfants plus âgés, se retrouvent alors dans la position inconfortable de devoir justifier leur refus, comme si leur besoin de repos ou de temps personnel valait moins.

Des politiques de congés à repenser

Cette situation relance le débat sur les politiques de gestion des congés. Certaines entreprises choisissent de privilégier les parents pendant les périodes scolaires, au nom de la conciliation entre vie professionnelle et vie familiale. D’autres préfèrent une approche égalitaire, où chacun a les mêmes droits, quelle que soit sa situation personnelle.

Dans tous les cas, l’enjeu est d’éviter les tensions et les injustices. La clé réside dans la clarté des règles, mais aussi dans le respect des choix individuels. Un collaborateur qui décide de ne plus céder ses congés ne devrait pas être perçu comme égoïste, surtout lorsqu’il exerce ce droit pour les mêmes raisons que ses collègues : sa famille.

Conclusion

Ce témoignage soulève une réalité souvent tue : l’épuisement de ceux qui donnent toujours un peu plus, jusqu’au moment où ils décident de se préserver. Il rappelle qu’avoir des enfants n’est pas la seule raison valable pour vouloir profiter de ses congés. Chacun, parent ou non, a droit au repos, sans avoir à se justifier. La solidarité ne doit jamais devenir une dette.


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Quand la trahison vient de partout : l’histoire bouleversante d’une femme trompée par son copain et trahie par son psy https://familysante.com/quand-la-trahison-vient-de-partout-lhistoire-bouleversante-dune-femme-trompee-par-son-copain-et-trahie-par-son-psy.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=quand-la-trahison-vient-de-partout-lhistoire-bouleversante-dune-femme-trompee-par-son-copain-et-trahie-par-son-psy https://familysante.com/quand-la-trahison-vient-de-partout-lhistoire-bouleversante-dune-femme-trompee-par-son-copain-et-trahie-par-son-psy.html#respond Sun, 09 Mar 2025 09:13:42 +0000 https://familysante.com/?p=7429 Il est difficile d’imaginer une trahison plus brutale que celle d’une mère qui couche avec le petit ami de sa propre fille. Pourtant, c’est exactement ce qu’a vécu une jeune femme, dont le récit a été partagé sur Reddit et relayé par The Mirror. Et si cela ne suffisait pas, la réaction de son psychologue […]

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Il est difficile d’imaginer une trahison plus brutale que celle d’une mère qui couche avec le petit ami de sa propre fille. Pourtant, c’est exactement ce qu’a vécu une jeune femme, dont le récit a été partagé sur Reddit et relayé par The Mirror. Et si cela ne suffisait pas, la réaction de son psychologue à son traumatisme l’a laissée encore plus bouleversée. Retour sur une histoire de trahison et de déception.

Une découverte choquante en pleine pandémie

C’est au cours de la pandémie du Covid-19 que cette femme a appris l’impensable : son petit ami entretenait une liaison secrète avec sa propre mère depuis près d’un an. La vérité lui a été révélée par une source anonyme, et bien qu’elle ait d’abord eu du mal à y croire, elle a fini par confronter sa mère, presque sur le ton de la plaisanterie. Mais au lieu de nier, celle-ci a fondu en larmes et tout avoué.

Se sentir trahie par les deux personnes les plus proches d’elle a été une expérience d’une douleur incommensurable. Face à ce choc émotionnel, elle a choisi de s’isoler pendant plusieurs semaines, incapable de faire face à la réalité.

La thérapie, un refuge salutaire… jusqu’à une nouvelle déception

Encouragée par une amie, elle a décidé d’entamer une thérapie en ligne, bien qu’elle ait été sceptique à l’égard du soutien psychologique. Contre toute attente, son thérapeute lui a été d’une aide précieuse. Au fil des séances, elle a commencé à retrouver une certaine stabilité et à envisager un avenir après cette trahison destructrice. Convaincue par les bienfaits de cette approche, elle a fait le choix de poursuivre en présentiel.

Mais c’est lors d’une de ces rencontres physiques que son monde s’est à nouveau effondré. Alors qu’elle partageait sa douleur et son incapacité à pardonner sa mère et son ex, son psy lui a demandé si elle envisageait de leur pardonner un jour. Elle a répondu sans hésitation que c’était hors de question. C’est alors que son thérapeute a qualifié son attitude de « trop rigide » et l’a invitée à reconsidérer sa position une fois que la douleur aurait diminué.

Peut-on tout pardonner ?

Cette réaction a laissé la jeune femme sans voix. Non seulement elle s’était sentie trahie par sa mère et son ex, mais maintenant, elle avait l’impression que son propre psy minimisait son ressenti. Son récit a suscité de nombreuses réactions sur Reddit, beaucoup trouvant inapproprié que son psy tente de la pousser au pardon alors qu’elle n’était pas prête.

La question du pardon est toujours délicate. Si certaines personnes y voient un moyen de se libérer du poids du passé, d’autres estiment que certaines actions sont impardonnables. Dans tous les cas, forcer quelqu’un à pardonner alors qu’il n’en ressent pas le besoin ou l’envie peut être contre-productif et même nuisible à son processus de reconstruction.

Comment se reconstruire après une telle trahison ?

Face à une trahison d’une telle ampleur, chacun doit trouver sa propre manière de guérir. Pour certains, le pardon peut faire partie du chemin, mais pour d’autres, couper les ponts et se concentrer sur soi-même est la meilleure solution. L’important est de ne pas se sentir obligé de suivre un chemin dicté par d’autres, mais de respecter son propre rythme.

Le plus important dans une telle situation est d’apprendre à se reconstruire, à se redonner de la valeur et à retrouver confiance en soi et en ses choix. Trouver un soutien bienveillant, que ce soit auprès d’amis, de proches ou d’un professionnel de confiance, est essentiel pour avancer.

Cette histoire nous rappelle que la confiance est précieuse et que la trahison, surtout lorsqu’elle vient des personnes censées nous aimer le plus, peut laisser des cicatrices profondes. Mais même après de telles épreuves, il est toujours possible de se relever, à son propre rythme et selon ses propres termes.

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Les amitiés d’hier et d’aujourd’hui : Retour sur la magie des années 70 https://familysante.com/les-amities-dhier-et-daujourdhui-retour-sur-la-magie-des-annees-70.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=les-amities-dhier-et-daujourdhui-retour-sur-la-magie-des-annees-70 https://familysante.com/les-amities-dhier-et-daujourdhui-retour-sur-la-magie-des-annees-70.html#respond Wed, 19 Feb 2025 11:46:51 +0000 https://familysante.com/?p=7330 Imaginez-vous sur un vélo « banane », les cheveux au vent, entouré de vos amis ricanant à vos côtés. À une époque où ni les téléphones portables ni les réseaux sociaux n’existaient, les amitiés des années 70 se construisaient autour de moments simples et sincères. Dans un monde moderne dominé par les écrans et les notifications incessantes, […]

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Imaginez-vous sur un vélo « banane », les cheveux au vent, entouré de vos amis ricanant à vos côtés. À une époque où ni les téléphones portables ni les réseaux sociaux n’existaient, les amitiés des années 70 se construisaient autour de moments simples et sincères. Dans un monde moderne dominé par les écrans et les notifications incessantes, ces liens d’antan apparaissent comme un modèle d’authenticité et de complicité. Mais qu’est-ce qui les rendait si uniques ?

Les secrets d’une connexion sincère

Des interactions en face à face

Dans les années 70, l’amitié était nourrie par de véritables échanges. Il n’y avait ni SMS, ni émojis pour traduire les émotions. Les conversations étaient réelles, ponctuées de rires et d’une écoute attentive.

Le téléphone fixe, encore rare dans certains foyers, rendait les appels précieux et souvent brefs. Par conséquent, les liens se forgeaient principalement lors de rencontres en personne, dans un parc, autour d’un café ou à la maison. Une authenticité qui semble parfois manquer à l’ère du digital.

Le temps, un allié précieux

Sans les distractions numériques, le temps paraissait plus abondant. Les après-midis étaient consacrés à des balades, des pique-niques improvisés ou des parties de jeux spontanées.

Contrairement à aujourd’hui, où l’on jongle entre un emploi du temps chargé et des échanges virtuels, le rythme des années 70 favorisait les relations profondes et sincères.

Ce qui a changé avec le temps

L’influence des technologies

Dans les années 70, les moyens de communication étaient limités, ce qui renforçait la qualité des interactions. Aujourd’hui, les réseaux sociaux nous permettent de rester connectés, mais souvent au prix de relations plus superficielles.

Bien que ces outils modernes rapprochent les amis éloignés, ils ont également transformé la nature des interactions, les rendant parfois plus fugaces et moins engagées.

La simplicité, un luxe oublié

Autrefois, il suffisait d’une promenade, d’une soirée à discuter sous un ciel étoilé ou d’un concert en plein air pour créer des souvenirs inoubliables.

Aujourd’hui, entre les emplois du temps surchargés et les sollicitations permanentes, ces moments de pure simplicité se font plus rares, rendant leur souvenir encore plus précieux.

Pourquoi ces amitiés nous manquent-elles tant ?

Les relations des années 70 se distinguaient par leur authenticité. Les amis étaient pleinement présents : pas d’écrans, pas de distractions numériques. On partageait des rires, des confidences et des aventures avec une intensité aujourd’hui difficile à retrouver.

En outre, ces amitiés étaient renforcées par un profond sentiment de communauté. Les voisins, les camarades et les proches formaient des cercles soudés où entraide et solidarité étaient des valeurs essentielles.

Des leçons à tirer pour aujourd’hui

Si la technologie moderne a ses avantages, elle ne doit pas remplacer l’essence des amitiés sincères. Pour retrouver un peu de cette magie des années 70, il suffit de :

  • Privilégier les rencontres en personne. Rien ne remplace la chaleur du contact humain.
  • Se déconnecter des écrans pour profiter pleinement des moments partagés.
  • Valoriser la qualité plutôt que la quantité. Mieux vaut quelques amitiés profondes que des centaines de contacts virtuels.

En quête de simplicité

Les amitiés des années 70 nous rappellent que le bonheur réside dans les choses les plus simples : des éclats de rire partagés, des discussions sincères et des moments spontanés.

Bien que les temps aient changé, nous pouvons toujours nous inspirer de cette époque pour cultiver des relations plus profondes et authentiques.

Alors, pourquoi ne pas essayer de recréer un peu de cette magie dans nos amitiés d’aujourd’hui ?

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Je suis devenue adulte le jour où ma mère est décédée https://familysante.com/je-suis-devenue-adulte-le-jour-ou-ma-mere-est-decedee.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=je-suis-devenue-adulte-le-jour-ou-ma-mere-est-decedee https://familysante.com/je-suis-devenue-adulte-le-jour-ou-ma-mere-est-decedee.html#respond Sun, 21 Jul 2024 12:18:40 +0000 https://familysante.com/?p=6971 Ce n’était pas le jour où j’ai obtenu mon permis de conduire. Ce n’était pas le jour de mon mariage ou de la naissance de mes enfants. Aucune de ces choses ne m’a fait sentir adulte. La vérité, c’est que j’ai fait beaucoup de choses d’adulte avant de me sentir vraiment adulte. Tout cela a […]

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Ce n’était pas le jour où j’ai obtenu mon permis de conduire.

Ce n’était pas le jour de mon mariage ou de la naissance de mes enfants.

Aucune de ces choses ne m’a fait sentir adulte.

La vérité, c’est que j’ai fait beaucoup de choses d’adulte avant de me sentir vraiment adulte.

Tout cela a changé le jour où ma mère est morte.

Ce jour-là, je suis devenu adulte.

Le genre d’adulte qui n’a plus de mère.

Ce genre d’âge adulte ne peut être ignoré.

C’est le genre d’adulte qui se voit soudainement confier d’immenses responsabilités.

Instantanément, vous avez une nouvelle autorité, une que vous n’avez jamais souhaitée.

Perdre un parent vous change.

Vous vous sentez comme un orphelin.

La personne même et l’âme qui vous ont créé ne sont plus là, ce qui signifie qu’une partie de votre être est partie aussi.

Vous êtes différent, et vous resterez différent.

Il est impossible d’être la même personne que vous étiez lorsque votre parent était vivant, marchant dans ce monde avec vous.

Le monde est maintenant vide de l’une des personnes les plus importantes de votre vie.

Le monde est maintenant vide de tout ce qu’ils étaient et de tout ce qu’ils ont donné.

À cause de cela, le monde semble maintenant vide, même s’il est encore plein d’autres personnes que vous aimez et adorez.

Je suis devenu adulte le jour où ma mère est décédée.

J’ai gagné en responsabilité et perdu une partie de mon âme, tout en une seconde.

La maturité m’a trouvé, tout comme le chagrin.

Le jour où votre parent meurt, votre avenir semble différent.

Des morceaux de celui-ci vous sont volés.

Des moments perdus.

De nouveaux souvenirs ne sont plus permis.

C’est comme si tout leur amour, leur sagesse et leurs conseils dérivaient dans votre existence, la seconde où ils perdent la leur.

Vous êtes changé à jamais.

Si vous voulez vous sentir adulte, attendez jusqu’à ce que vous perdiez un parent.

L’âge adulte vous trouve immédiatement, et vous n’êtes plus jamais le même.

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Si vous lisez cet article, je tiens à dire « merci » avant toute chose. Le fait de lire ceci montre que vous vous souciez de savoir ce que c’est que d’élever et de prendre soin d’un enfant avec des capacités différentes. Alors, merci de reconnaître que nous existons et que nous avons vraiment des luttes parentales différentes et des défis accrus auxquels nous sommes confrontés chaque jour. Voici quelques-unes des choses les plus nécessaires que les parents et les aidants espèrent recevoir, sans ordre d’importance particulier, car elles sont toutes également importantes. Aux aidants des enfants exceptionnels lisant ceci, je vous salue !

1. Quelqu’un à Qui Parler

Les parents qui élèvent ou prennent soin d’un enfant dépendant ayant des besoins différents ont besoin d’un bon soutien de la part d’amis et de membres de la famille de confiance. Une des choses que nous apprenons dès le début de notre parcours avec nos enfants, c’est qu’il est si difficile de trouver des personnes avec qui nous pouvons simplement parler. Parfois, nous voulons parler des choses qui nous font mal, comme ne pas pouvoir faire face, et nous avons besoin d’une oreille attentive et non-jugeante pour nous aider avec cela. Nous recherchons des cœurs empathiques qui reconnaîtront simplement nos luttes et nous permettront de pleurer, crier, ou même rester silencieux à côté de nous. Croyez-moi, cela fait toute la différence pour nous de savoir que vous serez là et que nous pouvons pleurer sur votre épaule.

2. Du Sommeil

Je sais que les parents en général recherchent cela aussi. Je comprends totalement. Voici où c’est différent pour beaucoup d’entre nous, les parents d’enfants ayant des besoins spéciaux : Certains d’entre nous ne dorment pas du tout, ou dorment très peu. Peut-être parce que nos enfants ne dorment pas car ils ont aussi des troubles du sommeil. Peut-être parce que nous devons surveiller nos enfants pendant leur sommeil pour les signes vitaux essentiels et les repas. Peut-être parce que nous restons éveillés la nuit à nous inquiéter des choses dont aucun parent ne devrait s’inquiéter, comme ce qui arrivera à nos enfants quand nous ne serons plus là. Alors, s’il y a un moyen de nous donner quelques heures pour simplement recharger nos batteries afin que nous puissions continuer notre combat, s’il vous plaît aidez. Nous aimons les siestes de jour comme tout le monde, mais elles sont révolues depuis longtemps, et nous accueillerions leur retour.

3. Aide – Ménage, Courses, Nettoyage

Il y a tellement de façons d’aider une famille avec des besoins spéciaux, car les besoins sont nombreux. En plus de prendre soin de nos enfants, certains d’entre nous luttons contre nos propres problèmes de santé, ou devons travailler, ou avons d’autres membres de notre famille à prendre soin. Proposer de faire les courses, de récupérer des articles ou de venir pour laver notre sol soulage notre quotidien. Mon voisin a vu notre herbe devenir trop longue et a su que mon mari et moi étions tous les deux malades, alors il l’a tondue pour nous. Ce geste m’a fait pleurer. Cela ne prend pas beaucoup, mais pour nous, cela fait toute la différence du monde. Si vous ne faites pas confiance à vos talents culinaires pour nous préparer un repas, pas de problème. Nous aimons aussi les plats à emporter !

Si vous voyez une famille avec des besoins spéciaux dans la communauté, tout ce que nous demandons, c’est que vous nous voyiez comme tout le monde. S’il vous plaît, ne nous jugez pas si vous voyez nos enfants en crise et que vous ne comprenez pas pourquoi. Vous pouvez nous demander si nous avons besoin d’aide, ou simplement ne rien dire. Mais s’il vous plaît, ne nous dites pas que si nous disciplinions plus nos enfants, ils écouteraient. Ne nous regardez pas fixement ou ne faites pas de commentaires, car je vous assure que nous vous voyons et nous vous sentons nous regarder. Beaucoup d’entre nous sortent rarement en public car cela demande tellement d’efforts, alors s’il vous plaît, donnez-nous l’espace et la grâce dont nous avons besoin. Nous voulons être dans les magasins, les centres commerciaux, les parcs à thème, les salons, les parcs, comme les autres familles. Laissez-nous faire partie de ce qui vient si facilement pour tant d’autres. J’ai déjà porté un panneau dans mon sac qui était plastifié et qui disait, « Crise en cours, rien à voir ici. S’il vous plaît, continuez. »

4. Un Fort Soutien en Éducation

Je suis enseignant et je dois admettre que j’étais nouveau dans le monde de l’éducation spécialisée. Ce n’est que lorsque j’ai eu moi-même un enfant avec des besoins spéciaux que j’ai commencé à me renseigner sur les soutiens dont mon enfant avait besoin et sur ce à quoi il avait légalement droit. Permettez-moi de clarifier cela pour que les personnes à l’arrière de la salle puissent entendre : Les élèves ayant des capacités différentes ne reçoivent pas plus, ils reçoivent simplement ce dont ils ont besoin pour réussir. Il me semble que l’ensemble du système éducatif a besoin d’un rappel de ce que cela signifie, et les personnes qui ont le pouvoir de le faire auraient dû le faire hier. Aucun parent ne devrait être mis dans une situation où il doit mendier ou se sentir reconnaissant pour les choses qui auraient dû être mises en place pour tous les enfants, alors rattrapons notre retard, n’est-ce pas ? Pire encore, aucun parent ne devrait se sentir coupable parce que l’école de son enfant offre du soutien et que juste à côté, une autre école n’en offre pas. Si cette pandémie nous a appris quelque chose, c’est que les enfants ayant des besoins spéciaux ont le plus perdu, et que les choses doivent changer. Nous avons besoin de plus de soutiens en éducation spécialisée, de cohérence entre les conseils scolaires et de financement – alors faisons-le déjà.

5. Des Options Thérapeutiques Durables et Cohérentes

Il semblerait que ce soit la chose la plus évidente de la liste, n’est-ce pas ? Je veux dire, si vous avez un problème médical, le traitement devrait être disponible et couvert, n’est-ce pas ? Eh bien non. Nous devons découvrir de la manière la plus décourageante que nos enfants n’ont pas de soutiens et de traitements facilement disponibles, et qu’attendre plus de deux ans pour les obtenir est une occurrence normale. Imaginez que votre enfant ne communique pas, ne peut pas utiliser les toilettes ou ne peut pas bouger son corps et a besoin de thérapie, et qu’on ne vous propose des consultations que tous les trois mois pour des choses que vous pouvez essayer de faire avec votre enfant. Oui, essayez de l’imaginer. Cela vous brisera, je vous le promets. C’est pourquoi vous nous voyez manifester et passer notre temps avec les représentants du gouvernement, dans les émissions de nouvelles télévisées, à la radio, ou à écrire des choses comme celle-ci.

6. L’Inclusion pour Nos Enfants

Cela me fait pleurer. Tous les parents veulent que leurs enfants soient inclus, alors pourquoi serait-ce différent pour nos enfants ? Une des choses les plus étonnantes qui soit arrivée à mon fils, c’est qu’à l’école, ses camarades le voient toujours comme Max. Il participe aux mêmes programmes qu’eux, et il est inclus dans toutes les activités en cours. Bien sûr, les choses sont modifiées autant que possible, et dans certains cas, des programmes alternatifs sont nécessaires. Parents – vous connaissez cet enfant qui se déplace différemment, qui communique différemment, qui est différent d’une manière ou d’une autre ? Invite-les à vos fêtes, à vos rassemblements, et pendant que vous y êtes, invitez aussi les parents. Ils ne viendront peut-être pas, mais savoir que quelqu’un a pensé à eux les fait se sentir reconnus. Il n’y a pas de meilleur sentiment dans notre monde.

7. Des Personnes Prêtes à Apprendre

Si vous voulez nous soutenir davantage, veuillez vous renseigner sur qui sont nos enfants. Nous attendons toujours de nos enfants ayant des besoins spéciaux qu’ils apprennent à vivre dans un monde qui n’a pas été fait pour eux, mais nous ne demandons jamais aux gens autour d’eux d’en apprendre plus sur eux. Lisez, posez des questions, et s’il vous plaît, apprenez-en plus sur ce que nos enfants affrontent chaque jour. Cela facilite tellement l’expression de nos besoins lorsque nous avons des personnes qui comprennent nos enfants.

8. Un Répit Fiable

Rien ne nous aidera plus que d’offrir de garder nos enfants. Si les parents qui s’occupent de personnes ayant des besoins étendus n’obtiennent pas de répit, ils ne peuvent pas faire face. Les aidants sont plus susceptibles de souffrir de problèmes de santé mentale et physique que ceux qui ont des enfants à développement typique, donc il est si important qu’ils puissent se reposer loin de leurs postes. Nous sommes littéralement parfois seuls avec nos enfants 24 heures sur 24 sans aide, ce qui nous rend de moins en moins capables de prendre soin de nous-mêmes comme nous le devrions. Souvent, nous avons peur de laisser nos enfants avec des personnes que nous ne connaissons pas parce qu’ils pourraient ne pas être compris ou parce que nous craignons les abus. Il n’est pas aussi simple pour nous d’appeler une baby-sitter, alors nous avons besoin de quelqu’un qui connaît notre enfant et en qui nous pouvons avoir confiance.

9. Des Gens Qui Seront à Nos Côtés

En plus des exigences de l’éducation d’un enfant ou d’un adulte ayant des capacités différentes, la plupart d’entre nous devons faire beaucoup de plaidoyer pour accéder au soutien dont nous avons besoin. Lorsque vous plaidez avec nous, vous plaidez également pour de meilleures solutions et systèmes pour tout le monde. Parce que lorsque nous plaidons pour l’inclusion et l’équité pour les enfants ayant des besoins spéciaux, nous donnons également à chaque autre enfant ce dont il a besoin. Tenez-vous à côté de nous lorsque nous plaidons lors de rassemblements, ou allez encore plus loin et dénoncez l’ableisme et la discrimination contre les personnes handicapées. Partagez nos histoires, nos photos, nos publications. Croyez-moi, nous avons besoin de plus d’alliés et nous n’en avons jamais assez.

Et quand nous tombons, car nous tomberons souvent, s’il vous plaît soyez là pour nous aider à nous relever. Parce qu’en nous aidant, je vous promets que vous n’aidez pas seulement nous – vous aidez aussi nos enfants.

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La plupart des parents ne se soucient plus de devenir grands-parents selon une étude https://familysante.com/la-plupart-des-parents-ne-se-soucient-plus-de-devenir-grands-parents-selon-une-etude.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=la-plupart-des-parents-ne-se-soucient-plus-de-devenir-grands-parents-selon-une-etude https://familysante.com/la-plupart-des-parents-ne-se-soucient-plus-de-devenir-grands-parents-selon-une-etude.html#respond Tue, 31 Jan 2023 09:26:59 +0000 https://familysante.com/?p=6243 On peut dire sans risque de se tromper que la plupart des enfants dont les parents sont des baby -boomers ont été entraînés toute leur vie pour obtenir de bonnes notes, aller à l’université, démarrer une carrière, puis fonder une famille et sortir un groupe d’enfants. Combien d’entre vous peuvent compter sur les deux mains le nombre de […]

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On peut dire sans risque de se tromper que la plupart des enfants dont les parents sont des baby -boomers ont été entraînés toute leur vie pour obtenir de bonnes notes, aller à l’université, démarrer une carrière, puis fonder une famille et sortir un groupe d’enfants. Combien d’entre vous peuvent compter sur les deux mains le nombre de fois où votre mère ou belle-mère vous a demandé quand elle allait avoir un petit -enfant ?

Alors que les petits-enfants peuvent être les principaux espoirs des baby-boomers, la plupart des parents des nouvelles générations n’ont même pas cela sur leur radar lorsqu’il s’agit de l’avenir de leurs enfants.

Une nouvelle enquête du Pew Research Center suggère que les parents sont préoccupés par la santé mentale, la stabilité financière et la satisfaction au travail de leurs enfants par rapport à d’autres marqueurs sociétaux de réussite dans la vie tels que se marier, avoir des enfants ou obtenir un diplôme universitaire.

Pew Research a interrogé 3 757 parents américains ayant des enfants de moins de 18 ans pour l’étude et a constaté que 4 parents sur 10 étaient extrêmement ou très inquiets au sujet de leurs enfants souffrant d’anxiété ou de dépression, leurs enfants étant victimes d’intimidation comme deuxième plus grande préoccupation.

Les recherches ont attribué ces statistiques à « la pandémie de COVID-19 et au milieu des rapports faisant état d’une crise croissante de la santé mentale des jeunes ».

Sans surprise, par des marges importantes, les mères sont plus susceptibles que les pères de s’inquiéter de la plupart de ces choses, selon l’enquête.

Près de la moitié des parents interrogés ont indiqué que ce n’était pas trop important ou pas du tout important pour eux que leurs enfants se marient ou aient des enfants. Les parents des nouvelles générations préféreraient de loin que leurs enfants trouvent un emploi qui les rend heureux et qu’ils soient financièrement stables et indépendants plutôt que de les voir s’installer avec un conjoint et des enfants.

Interrogés sur leurs aspirations pour leurs enfants à l’âge adulte, les parents priorisent l’indépendance financière et la satisfaction professionnelle. Environ 9 parents sur 10 interrogés ont déclaré qu’il est extrêmement ou très important pour eux que leurs enfants soient financièrement indépendants lorsqu’ils seront adultes, et qu’il est tout aussi important que leurs enfants aient un emploi ou une carrière qu’ils aiment.

Cela se compare à 21 % et 20 % qui disent qu’il est très important de se marier ou d’avoir des enfants quand ils seront grands.

Un père de 46 ans ayant participé à l’enquête a déclaré à TIME qu’il élevait ses enfants « en mettant l’accent sur les résultats scolaires et l’atteinte du potentiel intellectuel ».

L’enquête a également interrogé les parents sur leurs préoccupations concernant leurs enfants ayant des ennuis avec la police. Il s’avère que les parents étaient les moins concernés par ce problème. 67% ont déclaré qu’ils n’étaient «pas trop» ou «pas du tout» inquiets tandis que 54% ont déclaré qu’ils n’étaient pas inquiets que leurs enfants tombent enceintes ou qu’une personne tombe enceinte à l’adolescence.

Une autre conclusion intéressante de l’enquête a révélé que les parents évaluaient également le plus que leurs enfants étaient honnêtes et éthiques, 94 % affirmant que c’était extrêmement ou très important par rapport à d’autres facteurs tels que le partage des mêmes croyances religieuses 35 % ou les convictions politiques 16 %.

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Je suis la maman qui ne boit pas et je me sens jugée tout le temps https://familysante.com/je-suis-la-maman-qui-ne-boit-pas-et-je-me-sans-jugee-tout-le-temps.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=je-suis-la-maman-qui-ne-boit-pas-et-je-me-sans-jugee-tout-le-temps https://familysante.com/je-suis-la-maman-qui-ne-boit-pas-et-je-me-sans-jugee-tout-le-temps.html#respond Thu, 01 Dec 2022 09:46:24 +0000 https://familysante.com/?p=6053 J’ai arrêté de boire quand j’ai eu des enfants parce que je me sentais fatiguée et démotivée. Et tout le monde n’a pas l’air de respecter ma décision. La première fois qu’on m’a demandé pourquoi je ne buvais pas, c’était à la première fête d’anniversaire de mon fils. Nous avons organisé une fête pour lui dans le […]

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J’ai arrêté de boire quand j’ai eu des enfants parce que je me sentais fatiguée et démotivée. Et tout le monde n’a pas l’air de respecter ma décision.

La première fois qu’on m’a demandé pourquoi je ne buvais pas, c’était à la première fête d’anniversaire de mon fils. Nous avons organisé une fête pour lui dans le jardin, et je me souviens que j’étais tellement enthousiasmée par la tarte aux pommes et le gâteau à la citrouille que j’avais préparés. C’était fin septembre ; nous avions allumé un barbecue dans le jardin.

Nous avons invité la famille, les amis et leurs conjoints. Quelques minutes après le début de la fête, un des amis de mon mari lui a demandé où étaient les boissons. J’ai pointé du doigt la table qui affichait du cidre de pomme, de l’eau, du soda et du café. Ce n’est pourtant pas ce qu’il voulait dire. Il voulait des boissons alcoolisées. Quand je lui ai dit que je n’avais vraiment rien, il m’a demandé qui organiserait une fête d’anniversaire pour enfants sans alcool.

La vérité était que cela ne m’avait même pas traversé l’esprit. C’était la première fête d’anniversaire de mon fils, nous essayions à nouveau de tomber enceinte et je ne me souvenais pas de la dernière fois que j’avais bu un verre . Je suis allée me ​​coucher ce soir-là en me demandant si quelque chose n’allait pas chez moi parce que j’avais oublié de fournir de l’alcool à la fête d’anniversaire de mon fils. Mais ensuite j’ai réalisé qu’il n’y en avait pas – c’était un dimanche soir. Je n’avais pas besoin de m’inquiéter de savoir si les autres pensaient que j’étais un mauvais hôte parce que nous n’avions pas d’alcool.

Alors que les années passaient et que j’avais deux autres enfants, je n’avais jamais vraiment envie de boire autre qu’un verre de vin occasionnel lorsque je préparais le dîner ou que mon ex-mari et moi sortions. Plus je vieillissais, plus j’avais l’impression que boire un verre m’affectait beaucoup plus qu’il n’affectait les autres. Un verre me laissait éveillée la nuit et je ne dormais pas beaucoup. Le lendemain, j’avais l’impression d’avoir une horrible gueule de bois. Je me sentais fatiguée et démotivée. J’avais peu de patience avec mes enfants et je me suis vite rendu compte que je n’aimais même pas assez le vin (ou tout type d’alcool) pour sacrifier une bonne nuit de sommeil et toute la journée du lendemain.

Ce n’était pas une annonce que je me sentais obligée de faire. Je n’avais pas envie de m’expliquer devant qui que ce soit quand je refusais un verre lors de soirées, d’anniversaires d’enfants ou d’une soirée entre filles. Mais j’étais souvent le seul à ne pas boire lors de ces événements et tout le monde voulait savoir pourquoi.

On m’a demandé si j’avais peut-être eu un problème d’alcool une fois. On m’a demandé si j’étais allergique à l’alcool. Les gens voulaient savoir pourquoi je ne buvais pas et ma réponse « Je ne veux tout simplement pas parce que je n’aime pas ce que je ressens » ne leur suffisait pas.

Certains de mes amis faisaient des suggestions : « Eh bien, avez-vous essayé la vodka, l’eau gazeuse, avec une touche de canneberge ? Vous n’aurez pas la gueule de bois à cause de ça !

Je répondrais en disant: « Non merci. » .

« Tu devrais juste essayer ! »

La vérité, c’est que je n’aime pas le goût de la plupart des alcools et que ça n’en vaut pas la peine pour moi. Je préfère de loin siroter quelque chose dont j’aime vraiment le goût, comme un coca light. Et voilà, cette réponse n’était pas assez bonne pour personne non plus. Il semblait qu’ils n’avaient jamais entendu parler d’une telle chose.

Maintenant que mes enfants sont plus grands et que je traverse la périménopause , il est encore plus important pour moi de me sentir bien. Je veux suivre le rythme de mes adolescents et me sentir aussi bien et reposée que possible lorsque je me réveille le matin. Je connais mon corps et je ne peux pas faire ça si je bois quelques verres ou même un seul. La plupart des gens qui me connaissent savent que je ne bois pas, et j’entends encore des commentaires comme : « Oh, c’est une folle ! Ou « Attention, c’est une rabat-joie! » quand je prends une eau ou un soda light pendant que tout le monde prend un verre.

Je ne juge personne qui boit. J’avais l’habitude de m’amuser et j’adorais boire du vin ou des margaritas avec mes copines. Ce n’est plus le cas pour moi, et je me sens constamment comme une personne étrange puisque tout le monde est suffisamment à l’aise pour attirer l’attention et commenter le fait que je ne bois pas.

Donc, si vous voyez une mère qui ne boit pas d’alcool, ne lui demandez pas pourquoi. Ne lui dites pas qu’elle a besoin de se détendre et n’essayez pas de la convaincre de boire un verre. Vous faites ce que vous voulez et n’attirez pas l’attention sur le fait qu’elle ne veut pas boire. Il y a de fortes chances qu’elle n’ait pas l’énergie de vous l’expliquer.

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