Archives des Mamans - Family santé https://familysante.com/category/mamans Santé, famille, bien être Mon, 03 Nov 2025 08:38:17 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.4 https://familysante.com/wp-content/uploads/2016/12/cropped-Wear-32x32.png Archives des Mamans - Family santé https://familysante.com/category/mamans 32 32 Elle a accepté le test ADN exigé par son mari — mais ce qu’elle a demandé en retour a tout changé https://familysante.com/elle-a-accepte-le-test-adn-exige-par-son-mari-mais-ce-quelle-a-demande-en-retour-a-tout-change.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=elle-a-accepte-le-test-adn-exige-par-son-mari-mais-ce-quelle-a-demande-en-retour-a-tout-change https://familysante.com/elle-a-accepte-le-test-adn-exige-par-son-mari-mais-ce-quelle-a-demande-en-retour-a-tout-change.html#respond Mon, 03 Nov 2025 08:38:15 +0000 https://familysante.com/?p=10141 Quand la confiance s’effrite dans un couple, ce n’est pas seulement l’amour qui vacille : c’est toute une famille qui se fissure.Élodie, jeune maman comblée, pensait vivre le bonheur parfait : un mari attentionné, un petit garçon plein de vie et des beaux-parents présents. Mais ce qu’elle croyait être un cocon de douceur s’est transformé, […]

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Quand la confiance s’effrite dans un couple, ce n’est pas seulement l’amour qui vacille : c’est toute une famille qui se fissure.
Élodie, jeune maman comblée, pensait vivre le bonheur parfait : un mari attentionné, un petit garçon plein de vie et des beaux-parents présents. Mais ce qu’elle croyait être un cocon de douceur s’est transformé, en quelques semaines, en une épreuve qui allait tout redéfinir.

Le doute qui s’installe

Tout a commencé à la maternité. Alors qu’elle tenait son nouveau-né dans les bras, Élodie a surpris sa belle-mère, Sylvie, murmurer à son fils :

« Il ne ressemble pas à un Dupont… »

Une phrase, anodine en apparence, mais lourde de sous-entendus.
Dès ce jour, la suspicion s’est insinuée. Le nez du bébé, la couleur de ses yeux, son sourire… tout devenait prétexte à douter.
Julien, son mari, tenta d’abord de rassurer. Puis, lentement, il céda à la pression de sa famille.
Un soir, le verdict tomba, sec, glacial :

« Maman et Papa pensent qu’un test ADN serait préférable. Pour clarifier les choses. »

La réponse d’Élodie : la dignité avant tout

Élodie aurait pu s’effondrer, hurler, fuir. Mais elle choisit une autre voie : celle de la dignité.

« Très bien, faisons ce test. Mais si le résultat prouve ce que je sais déjà, alors vous me devrez le respect. Et plus jamais je ne tolérerai la moindre suspicion. »

Sa voix ne tremblait pas. Julien, pris au piège entre son épouse et ses parents, accepta. Sylvie, elle, resta convaincue d’avoir raison.

Le verdict qui remet tout à sa place

Quelques jours plus tard, le courrier arriva.
Julien lut le résultat, blêmit, puis tomba à genoux. Léo était bel et bien son fils.

« Élodie, je suis désolé… »

Mais Élodie, vidée de toute émotion, répondit calmement :

« Ce n’est pas à moi que tu dois des excuses. C’est à ton fils. Tu as douté de la seule personne qui t’aimait sans condition. »

Le moment de vérité

Le lendemain, elle convoqua son mari et ses beaux-parents. Sur la table, l’enveloppe ouverte.

« Voilà la vérité. Léo est votre petit-fils. À partir d’aujourd’hui, toute insulte, tout doute, sera la dernière. »

Le silence tomba.
Julien baissa les yeux. Sylvie ne trouva rien à dire.
Alors Élodie ajouta, avec une force nouvelle :

« Le respect ne se demande pas. Il se prouve. Si tu veux reconstruire notre famille, défends-moi. »

Reprendre le contrôle de sa vie

Les mois suivants furent difficiles, mais libérateurs. Julien prit ses distances avec sa mère et commença une thérapie avec Élodie. Petit à petit, ils réapprirent à se parler, à se regarder sans peur ni rancune.

Élodie, de son côté, reprit confiance. Elle nota un soir dans son carnet :

« Ce n’était pas à moi de prouver ma valeur, mais à eux de montrer la leur. »

Et quand, un jour, sa belle-mère tenta de revenir comme si de rien n’était, Julien lui fit face :

« Si tu ne respectes pas Élodie, tu n’as plus ta place ici. »

Une femme transformée

Ce soir-là, Élodie regarda son fils dormir et comprit qu’elle n’avait rien perdu.
Elle avait tout gagné : le respect, la force, et la paix intérieure.

Parce qu’au fond, cette histoire n’est pas celle d’un test ADN, mais d’une femme qui a refusé de se laisser briser par le doute des autres.

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« Nous sommes désespérés » : ces parents doivent réunir 540 000 euros pour sauver la vie de leur bébé https://familysante.com/nous-sommes-desesperes-ces-parents-doivent-reunir-540-000-euros-pour-sauver-la-vie-de-leur-bebe.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=nous-sommes-desesperes-ces-parents-doivent-reunir-540-000-euros-pour-sauver-la-vie-de-leur-bebe https://familysante.com/nous-sommes-desesperes-ces-parents-doivent-reunir-540-000-euros-pour-sauver-la-vie-de-leur-bebe.html#respond Thu, 23 Oct 2025 18:31:35 +0000 https://familysante.com/?p=9979 À Genève, un jeune couple suisse vit un cauchemar éveillé. Leur fils Erik, âgé de seulement 13 mois, est atteint d’une maladie orpheline extrêmement rare : un déficit en asparagine synthétase (ASNSD). Ce trouble neurologique dégénératif ne touche qu’une trentaine d’enfants dans le monde. Sans traitement, il réduit considérablement l’espérance de vie. « Pour les cas […]

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À Genève, un jeune couple suisse vit un cauchemar éveillé. Leur fils Erik, âgé de seulement 13 mois, est atteint d’une maladie orpheline extrêmement rare : un déficit en asparagine synthétase (ASNSD). Ce trouble neurologique dégénératif ne touche qu’une trentaine d’enfants dans le monde. Sans traitement, il réduit considérablement l’espérance de vie.

« Pour les cas sévères, le décès intervient durant la première année. Certains enfants peuvent atteindre 10 ans, mais aucun patient adulte n’a été rapporté à ce jour », explique la Dre Roxane van Heurck, spécialiste aux Hôpitaux universitaires de Genève.

Un diagnostic comme un coup de massue

Pour Mariann et son compagnon, le verdict est tombé comme une sentence. « Les traitements actuels ne permettent que de soulager les symptômes », déplore la jeune mère. Refusant de se résigner, le couple s’est lancé dans une course contre la montre pour tenter de financer un projet de recherche qui pourrait sauver leur enfant.

Mais face à une maladie aussi rare, les grands laboratoires pharmaceutiques ne s’y intéressent pas. La raison ? Aucun retour économique possible.
Le combat d’Erik et de ses parents repose donc désormais sur la recherche privée et la solidarité du public.

Une cagnotte pour espérer un traitement

Trois équipes de chercheurs – une à Londres et deux à Genève – travaillent actuellement sur une piste de traitement. Pour lancer une première phase d’expérimentation, 540 000 euros (environ 500 000 francs suisses) sont nécessaires avant la fin de l’année.

« Nous sommes vraiment désespérés », confie Mariann. « Le temps presse, car l’état d’Erik peut se dégrader à tout moment. »

Une cagnotte GoFundMe a été ouverte pour soutenir la recherche. À ce jour, plus de 160 000 francs suisses (environ 170 000 euros) ont déjà été récoltés. Un élan de solidarité qui redonne un peu d’espoir aux parents.

Une bataille longue et incertaine

Malheureusement, les 540 000 euros ne couvriraient que la première étape. À terme, il faudra plus de deux millions et demi d’euros pour aller au bout du développement du traitement.

« Les grands groupes pharmaceutiques ne veulent pas investir dans une maladie aussi rare. Les assurances ne couvrent rien non plus », regrette la Dre van Heurck.

Pour l’instant, l’état d’Erik reste stable, mais les médecins redoutent une aggravation rapide. Ses parents, eux, refusent de baisser les bras.

Une lueur d’espoir

Malgré tout, la chercheuse veut rester optimiste :

« Ce genre de procédé est encore rare en Europe, mais il devient habituel aux États-Unis, avec d’excellents résultats pour des cas similaires à celui d’Erik. »

Aujourd’hui, le petit garçon et ses parents comptent sur la générosité collective pour donner une chance à la vie. Leur combat symbolise celui de nombreuses familles confrontées à ces maladies rares, souvent oubliées par les grands laboratoires, mais pas par le cœur humain.

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Nouveau congé de naissance 2026 : jusqu’à 70 % du salaire pour les jeunes parents https://familysante.com/nouveau-conge-de-naissance-2026-jusqua-70-du-salaire-pour-les-jeunes-parents.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=nouveau-conge-de-naissance-2026-jusqua-70-du-salaire-pour-les-jeunes-parents https://familysante.com/nouveau-conge-de-naissance-2026-jusqua-70-du-salaire-pour-les-jeunes-parents.html#respond Thu, 23 Oct 2025 16:08:40 +0000 https://familysante.com/?p=9973 Bonne nouvelle pour les futurs parents ! Dès 2026, un nouveau congé de naissance verra le jour en France. L’objectif de cette mesure est simple : permettre aux familles de profiter pleinement de l’arrivée de leur enfant, sans que les contraintes financières ne viennent tout gâcher. Un congé mieux rémunéré pour un meilleur équilibre Jusqu’à […]

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Bonne nouvelle pour les futurs parents ! Dès 2026, un nouveau congé de naissance verra le jour en France. L’objectif de cette mesure est simple : permettre aux familles de profiter pleinement de l’arrivée de leur enfant, sans que les contraintes financières ne viennent tout gâcher.

Un congé mieux rémunéré pour un meilleur équilibre

Jusqu’à présent, le congé parental offrait une indemnisation d’environ 400 euros par mois, un montant souvent jugé insuffisant. Résultat : de nombreux parents, notamment les pères, y renonçaient.
Mais à partir de 2026, la donne change :

  • 70 % du salaire net seront versés le premier mois,
  • puis 60 % le second mois.

De quoi encourager davantage de familles à profiter de ces précieux moments avec leur nouveau-né.

La ministre de la Santé, Stéphanie Rist, a d’ailleurs confirmé :

« Ce congé sera bien rémunéré. »

Un dispositif ouvert aux deux parents

Grande nouveauté : ce congé de naissance concernera les deux parents, qui pourront le prendre ensemble ou séparément.
Chaque parent bénéficiera de deux mois de congé, pour un total possible de quatre mois à la maison si le couple décide de le prendre simultanément.

Cette flexibilité vise à favoriser un meilleur partage des responsabilités familiales, comme l’a rappelé la ministre :

« Dans un objectif d’égalité entre les hommes et les femmes. »

Le congé sera non échangeable et non fractionnable à temps partiel, afin d’assurer une vraie coupure professionnelle et familiale pendant cette période clé.

Un investissement fort pour les familles françaises

Inscrite dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) 2026, cette mesure représente un investissement estimé à 300 millions d’euros dès la première année.
Elle s’inscrit dans la stratégie de « réarmement démographique » annoncée par Emmanuel Macron, qui vise à mieux soutenir les naissances en France.

Le gouvernement prévoit également une réforme du congé parental, devenu moins populaire ces dernières années. Mais sa suppression complète reste écartée pour l’instant, notamment en raison du manque de solutions de garde pour les tout-petits.

Vers un vrai tournant pour les jeunes parents ?

Si le texte est validé dans le budget 2026, ce nouveau congé pourrait s’appliquer dès l’année prochaine.
Deux mois mieux rémunérés, la possibilité de les partager à deux, et une volonté affirmée d’égalité entre les parents : ce nouveau congé de naissance marque un vrai tournant pour les familles françaises.

Une avancée attendue depuis longtemps, qui pourrait enfin permettre aux parents de vivre les premiers mois de bébé avec plus de sérénité — et beaucoup moins de stress financier.


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« Elle disait qu’elle était en train de mourir » : Sylvia, battue par son ex, meurt seule après 9 appels restés sans réponse https://familysante.com/elle-disait-quelle-etait-en-train-de-mourir-sylvia-battue-par-son-ex-meurt-seule-apres-9-appels-restes-sans-reponse.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=elle-disait-quelle-etait-en-train-de-mourir-sylvia-battue-par-son-ex-meurt-seule-apres-9-appels-restes-sans-reponse https://familysante.com/elle-disait-quelle-etait-en-train-de-mourir-sylvia-battue-par-son-ex-meurt-seule-apres-9-appels-restes-sans-reponse.html#respond Wed, 22 Oct 2025 14:26:09 +0000 https://familysante.com/?p=9948 C’est une histoire glaçante. Une tragédie qui met en lumière les failles terribles de notre système de secours et le drame silencieux vécu par des milliers de femmes victimes de violences conjugales. Sylvia, 43 ans, mère de deux enfants, a perdu la vie seule, chez elle, après avoir supplié à neuf reprises qu’on vienne la […]

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C’est une histoire glaçante. Une tragédie qui met en lumière les failles terribles de notre système de secours et le drame silencieux vécu par des milliers de femmes victimes de violences conjugales. Sylvia, 43 ans, mère de deux enfants, a perdu la vie seule, chez elle, après avoir supplié à neuf reprises qu’on vienne la sauver.

Une nuit d’horreur

Ce soir d’août 2025, à Martigues, Sylvia reçoit la visite de son ancien compagnon. L’homme, au comportement violent depuis longtemps redouté par sa famille, s’en prend à elle avec une brutalité inouïe. Passée à tabac, elle parvient à alerter les secours. Les pompiers et la police interviennent rapidement. Consciente mais blessée, elle refuse d’être hospitalisée, pensant pouvoir déposer plainte le lendemain.

Mais cette décision lui sera fatale.

L’alerte ignorée

Peu de temps après le départ des secours, Sylvia sent son état se dégrader. Elle souffre de douleurs intenses au ventre et à la tête. Inquiète, elle rappelle les secours. Au fil des heures, elle appellera le 18 à neuf reprises, décrivant sa souffrance, sa peur et sa certitude qu’elle est en train de mourir.

Pourtant, personne ne reviendra.

Au téléphone, on lui répète qu’une équipe est déjà intervenue et qu’il n’y a pas lieu de se déplacer à nouveau. Pire encore, certains interlocuteurs la traitent comme une « déséquilibrée ». Sylvia agonise seule dans son appartement, victime d’une hémorragie interne provoquée par l’éclatement de sa rate. Elle succombe dans l’indifférence la plus totale.

Un drame qui interroge

Une information judiciaire a été ouverte pour « non-assistance à personne en danger ». Car cette tragédie n’est pas seulement celle d’une femme victime de violences conjugales. C’est aussi celle d’une défaillance collective : celle de la chaîne de secours censée protéger les citoyens.

La mère de Sylvia, brisée par le chagrin, raconte les derniers mots de sa fille : « Elle disait qu’elle se faisait dessus, qu’elle était en train de mourir ». Son frère, révolté, dénonce un mépris insupportable : « Elle a été abandonnée. Ils l’ont laissée mourir seule. »

Un symbole des violences faites aux femmes

Chaque année, en France, des dizaines de femmes meurent sous les coups de leur compagnon ou ex-compagnon. Derrière les statistiques, il y a des visages, des voix, des vies qui auraient pu être sauvées. Le drame de Sylvia rappelle à quel point chaque signalement doit être pris au sérieux, même lorsqu’il ne « semble » pas urgent.

L’histoire de cette mère de famille de 43 ans n’est pas un simple fait divers. C’est un cri d’alarme.


À retenir :

  • Sylvia a été battue à mort par son ex-compagnon.
  • Elle a passé neuf appels aux secours en vain.
  • Une information judiciaire a été ouverte pour non-assistance à personne en danger.
  • Ce drame souligne l’importance cruciale d’une meilleure prise en charge des victimes de violences.

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« C’est injuste » : le coup de colère d’une maman qui travaille face aux aides sociales https://familysante.com/cest-injuste-le-coup-de-colere-dune-maman-qui-travaille-face-aux-aides-sociales.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=cest-injuste-le-coup-de-colere-dune-maman-qui-travaille-face-aux-aides-sociales https://familysante.com/cest-injuste-le-coup-de-colere-dune-maman-qui-travaille-face-aux-aides-sociales.html#respond Sun, 21 Sep 2025 12:52:15 +0000 https://familysante.com/?p=9606 Certaines conversations déclenchent immédiatement des débats passionnés, surtout lorsqu’il est question d’aides sociales et d’équité. C’est exactement ce qui s’est produit lorsqu’une jeune maman britannique a partagé sa frustration sur TikTok. Son récit, repris par la presse anglaise, a rapidement fait le tour des réseaux. Une demande de subvention refusée Sophie, connue sur TikTok sous […]

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Certaines conversations déclenchent immédiatement des débats passionnés, surtout lorsqu’il est question d’aides sociales et d’équité. C’est exactement ce qui s’est produit lorsqu’une jeune maman britannique a partagé sa frustration sur TikTok. Son récit, repris par la presse anglaise, a rapidement fait le tour des réseaux.

Une demande de subvention refusée

Sophie, connue sur TikTok sous le pseudo @sophiewhitey, pensait pouvoir bénéficier d’un soutien financier pour les voyages scolaires, les uniformes et les manuels de sa fille. Mais la réponse de l’école a été un non catégorique. Motif : seuls les parents percevant certaines prestations sociales – comme le Crédit universel ou l’allocation pour demandeurs d’emploi – peuvent prétendre à cette aide.

Pour Sophie, qui travaille à temps plein, c’est un véritable choc. « Pouvez-vous m’expliquer en quoi c’est juste pour les parents qui travaillent ? » s’indigne-t-elle dans sa vidéo, qui cumule des milliers de vues.

Le quotidien d’une famille active

La jeune femme détaille une organisation millimétrée : elle paie environ 450 livres par mois (près de 516 euros) pour la garde d’enfants, se lève à l’aube pour déposer sa fille à la garderie avant sa journée de travail de 8 h à 17 h. Son compagnon, lui, quitte la maison à 4 h 30 du matin et ne rentre pas avant 18 h, rendant l’équilibre familial encore plus difficile.

Cette réalité, beaucoup de parents salariés la connaissent : des revenus modestes mais « trop élevés » pour entrer dans les critères d’éligibilité, ce qui donne parfois l’impression d’être pénalisé pour le simple fait de travailler.

Un débat qui dépasse les frontières

Si l’histoire se déroule au Royaume-Uni, la question résonne bien au-delà. En France, la protection sociale représente près d’un tiers du PIB et ne cesse de croître. Dans un contexte de dette publique élevée, certains dénoncent des aides distribuées « trop largement », tandis que d’autres rappellent leur rôle essentiel contre la pauvreté.

L’affaire Sophie illustre ainsi une tension universelle : comment concilier soutien aux plus fragiles et reconnaissance des familles actives aux revenus modestes ? Le débat reste ouvert, mais le témoignage de cette maman met en lumière un ressenti partagé par de nombreux travailleurs : celui de ne pas être entendus.

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Ménopause et désir : quand la libido reprend vie https://familysante.com/menopause-et-desir-quand-la-libido-reprend-vie.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=menopause-et-desir-quand-la-libido-reprend-vie https://familysante.com/menopause-et-desir-quand-la-libido-reprend-vie.html#respond Thu, 18 Sep 2025 07:45:09 +0000 https://familysante.com/?p=9576 Beaucoup associent encore la ménopause à une baisse inévitable du désir sexuel. Pourtant, de nombreuses femmes démontrent chaque jour que cette étape peut au contraire marquer un véritable renouveau. En cette Journée mondiale de la ménopause, il est temps de tordre le cou aux idées reçues. Briser les clichés autour de la ménopause Bouffées de […]

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Beaucoup associent encore la ménopause à une baisse inévitable du désir sexuel. Pourtant, de nombreuses femmes démontrent chaque jour que cette étape peut au contraire marquer un véritable renouveau. En cette Journée mondiale de la ménopause, il est temps de tordre le cou aux idées reçues.

Briser les clichés autour de la ménopause

Bouffées de chaleur, troubles du sommeil, changements d’humeur… ces symptômes sont fréquemment cités lorsqu’on parle de ménopause. Mais chaque femme vit cette transition différemment. Certaines connaissent une baisse de libido, d’autres, au contraire, découvrent une énergie et une curiosité nouvelles. La sexualité ne s’éteint pas avec la fin du cycle menstruel : elle peut même se transformer et s’épanouir.

Un désir libéré

Après des années rythmées par les cycles, la grossesse ou la charge mentale du quotidien, beaucoup de femmes se sentent plus libres à ce moment de leur vie. Sans la crainte d’une grossesse et avec une meilleure connaissance de leur corps, elles peuvent enfin s’accorder du temps pour elles et pour leur plaisir. C’est souvent l’occasion de se reconnecter à ses envies, d’explorer de nouvelles pratiques ou simplement de redécouvrir la complicité avec son ou sa partenaire.

Témoignage d’un renouveau

De nombreux récits confirment cette réalité : certaines femmes ménopausées ressentent un regain d’appétit sexuel surprenant. Cette redécouverte de soi s’accompagne souvent d’une confiance accrue, d’une communication plus ouverte et d’une curiosité renouvelée. La clé réside dans le dialogue avec son partenaire et dans l’acceptation de ses propres désirs.

Une nouvelle étape, pas une fin

La ménopause n’est pas une parenthèse, mais une nouvelle phase de la vie. Elle peut devenir un moment idéal pour réinventer sa sexualité, raviver la flamme dans le couple ou simplement s’épanouir pleinement.

En somme, la sexualité n’a pas d’âge. Qu’elle s’exprime dans la douceur, la passion ou l’exploration, elle peut rester vivante et joyeuse bien après la cinquantaine. La ménopause n’est pas la fin du désir : c’est parfois le début d’une belle aventure intime.

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Mort tragique d’un nourrisson : un médecin alerte sur les risques des porte-bébés pour l’allaitement mains libres https://familysante.com/mort-tragique-dun-nourrisson-un-medecin-alerte-sur-les-risques-des-porte-bebes-pour-lallaitement-mains-libres.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=mort-tragique-dun-nourrisson-un-medecin-alerte-sur-les-risques-des-porte-bebes-pour-lallaitement-mains-libres https://familysante.com/mort-tragique-dun-nourrisson-un-medecin-alerte-sur-les-risques-des-porte-bebes-pour-lallaitement-mains-libres.html#respond Fri, 12 Sep 2025 17:10:03 +0000 https://familysante.com/?p=9512 Un drame survenu au Royaume-Uni rappelle l’importance de la vigilance lors du portage des tout-petits. Un bébé de six semaines est décédé après avoir été allaité dans un porte-bébé, soulevant de sérieuses questions sur l’utilisation de ces dispositifs pourtant très populaires. Un accident qui a bouleversé une famille En octobre 2023, une mère britannique utilisait […]

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Un drame survenu au Royaume-Uni rappelle l’importance de la vigilance lors du portage des tout-petits. Un bébé de six semaines est décédé après avoir été allaité dans un porte-bébé, soulevant de sérieuses questions sur l’utilisation de ces dispositifs pourtant très populaires.

Un accident qui a bouleversé une famille

En octobre 2023, une mère britannique utilisait une écharpe porte-bébé pour allaiter son fils de six semaines, Jimmy. Le dispositif semblait correctement ajusté : l’écharpe n’était pas trop serrée et le visage de l’enfant restait visible. Pourtant, après seulement quelques minutes, le nourrisson a cessé de respirer. Malgré les efforts de réanimation et une hospitalisation en urgence, il est décédé trois jours plus tard.

L’enquête a révélé que le décès n’était pas lié à une chute mais à une asphyxie. Le bébé était positionné trop bas dans l’écharpe, ce qui a obstrué ses voies respiratoires.

« Un manque d’informations pour les parents »

Pour Lydia Brown, médecin légiste en charge de l’enquête, le problème dépasse ce cas particulier. Elle déplore le manque de consignes claires sur le portage et l’allaitement mains libres :

« Il n’existe pas suffisamment d’informations pour guider les parents sur la position sécurisée des nourrissons, notamment lors de l’allaitement dans un porte-bébé. »

Selon elle, si ces dispositifs peuvent renforcer le lien mère-enfant et faciliter l’allaitement, leur usage inapproprié représente un danger réel.

Conseils pour un portage en toute sécurité

Les experts recommandent de suivre quelques règles essentielles :

  • Position verticale : la tête du bébé doit toujours rester bien dégagée, le menton relevé.
  • Voies respiratoires dégagées : le nez et la bouche doivent être visibles en permanence.
  • Proximité surveillée : le visage de l’enfant doit être à portée de bisou, pour pouvoir contrôler sa respiration d’un simple regard.
  • Vérifications fréquentes : même si le bébé semble paisible, il faut s’assurer régulièrement que sa position n’a pas changé.

Un appel à mieux informer les jeunes parents

Ce drame met en lumière un enjeu majeur : l’importance d’une information accessible et détaillée pour les familles. Les fabricants, mais aussi les professionnels de santé, pourraient jouer un rôle clé en sensibilisant davantage sur les bonnes pratiques de portage.

Avant d’utiliser un porte-bébé, il est recommandé de se renseigner auprès d’un conseiller en portage ou d’une sage-femme formée, afin d’apprendre les gestes qui garantissent la sécurité du nourrisson.


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Quand une mère répond avec élégance à une remarque sur l’allaitement en public https://familysante.com/quand-une-mere-repond-avec-elegance-a-une-remarque-sur-lallaitement-en-public.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=quand-une-mere-repond-avec-elegance-a-une-remarque-sur-lallaitement-en-public https://familysante.com/quand-une-mere-repond-avec-elegance-a-une-remarque-sur-lallaitement-en-public.html#respond Wed, 10 Sep 2025 17:19:45 +0000 https://familysante.com/?p=9494 Imaginez la scène : une terrasse ensoleillée, une maman qui nourrit son bébé, et un inconnu qui croit bon de donner son avis. Une situation malheureusement trop fréquente… mais qui, cette fois, s’est transformée en une belle leçon de vie. Un geste naturel encore mal compris Camille Durand, 34 ans, était en vacances au Mexique […]

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Imaginez la scène : une terrasse ensoleillée, une maman qui nourrit son bébé, et un inconnu qui croit bon de donner son avis. Une situation malheureusement trop fréquente… mais qui, cette fois, s’est transformée en une belle leçon de vie.

Un geste naturel encore mal compris

Camille Durand, 34 ans, était en vacances au Mexique avec sa famille. Assise tranquillement dans un restaurant, elle commence à allaiter son bébé de quatre mois, discrètement, comme elle en a l’habitude.

Tout se passait bien jusqu’à ce qu’un homme, visiblement gêné, s’approche et lui dise :
« Vous pourriez vous couvrir. »

Plutôt que de se lancer dans un débat ou de se fâcher, Camille a choisi une réponse aussi simple qu’étonnante. Elle a pris le lange qu’elle tenait à la main… et s’est recouverte le visage.

Un clin d’œil ironique, plein d’humour, qui a tout de suite fait réagir les témoins de la scène.

Une photo qui fait le tour du monde

Une amie de Camille a immortalisé ce moment en photo avant de le partager sur les réseaux sociaux. Résultat : plus de 100 000 partages en quelques jours, et une vague de soutien venue des quatre coins du monde.

Pourquoi cette image a-t-elle touché autant de gens ? Parce qu’elle résume, en un instant, ce que vivent encore trop de mères : devoir se justifier pour un geste aussi naturel que nourrir leur enfant.

Un message universel

Camille n’a pas crié. Elle n’a pas cherché à humilier l’homme. Elle a simplement répondu avec humour, en rappelant une vérité simple : l’allaitement n’a pas besoin d’être caché, encore moins excusé.

De nombreux internautes – mères, pères, grands-parents, mais aussi des personnes sans enfants – ont salué son attitude. Beaucoup en ont profité pour partager leurs propres expériences, entre soutien et incompréhension. Un seul message en ressort : il est temps de normaliser l’allaitement en public.

Ce qu’il faut retenir

Allaiter n’est ni un acte provocateur, ni un geste déplacé. C’est un besoin fondamental pour l’enfant et un moment précieux pour la mère.

Le geste de Camille restera comme un exemple de réponse intelligente et digne. Parfois, il ne faut pas de grands discours pour bousculer les préjugés : un simple linge peut suffire à faire passer le message.

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La maternité est souvent présentée comme une expérience naturellement épanouissante. Pourtant, pour certaines femmes, être mère n’a jamais été source de joie, mais plutôt un fardeau difficile à porter. Comprendre les traits de personnalité qui se retrouvent fréquemment chez ces mères permet non seulement d’éclairer leur comportement, mais aussi d’aider les enfants devenus adultes à mettre des mots sur leur vécu.

La distance émotionnelle : une barrière invisible

Un premier trait récurrent chez ces mères est la difficulté à exprimer ou à partager leurs émotions. L’enfant peut grandir avec la sensation d’être seul, même en présence de sa mère.
Cette distance se traduit souvent par un rejet ou une minimisation des besoins affectifs de l’enfant. Résultat : une estime de soi fragile et une incapacité, une fois adulte, à se sentir en sécurité dans les relations affectives.

La critique permanente et le besoin de contrôle

Certaines mères se distinguent par un tempérament critique, parfois même dévalorisant. Leur exigence constante pousse les enfants à rechercher une perfection inatteignable, au prix d’une anxiété profonde.
À cela s’ajoute une tendance à franchir les limites : intrusion dans l’intimité, mépris des besoins individuels, volonté de tout contrôler. Dans ce climat, l’enfant apprend à « marcher sur des œufs », adaptant son comportement pour maintenir la paix familiale.

La jalousie et l’ambivalence

Un autre aspect troublant est l’ambivalence : ces mères peuvent retenir leur affection ou la conditionner à la réussite de l’enfant. Certaines vont même jusqu’à saboter ses succès, par jalousie ou par ressentiment.
Parfois, elles expriment ouvertement que leur vie aurait été meilleure sans enfants. Dans d’autres cas, elles instaurent un favoritisme ou attisent les rivalités entre frères et sœurs, alimentant un climat de compétition malsain.

Un combat intérieur qui rejaillit sur l’enfant

Ces traits – distance émotionnelle, critique, jalousie ou favoritisme – ne sont pas anodins. Ils révèlent souvent des blessures profondes, des frustrations ou une incapacité à accepter pleinement le rôle maternel.
Pour les enfants devenus adultes, reconnaître ces dynamiques peut être une étape essentielle. Comprendre que ce manque d’amour n’était pas de leur faute aide à se libérer d’un sentiment de culpabilité persistant et à reconstruire des relations plus saines.

En conclusion

Être mère n’est pas synonyme d’épanouissement pour toutes les femmes, et cela ne fait pas d’elles des « monstres », mais des personnes en lutte avec leurs propres limites émotionnelles. Identifier ces comportements et leurs impacts permet aux enfants concernés de mieux comprendre leur histoire et, surtout, d’entamer un chemin vers la guérison et l’équilibre.

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Faut-il vraiment se doucher tous les jours ? Le témoignage d’une mère qui fait débat https://familysante.com/faut-il-vraiment-se-doucher-tous-les-jours-le-temoignage-dune-mere-qui-fait-debat.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=faut-il-vraiment-se-doucher-tous-les-jours-le-temoignage-dune-mere-qui-fait-debat https://familysante.com/faut-il-vraiment-se-doucher-tous-les-jours-le-temoignage-dune-mere-qui-fait-debat.html#respond Tue, 02 Sep 2025 17:38:30 +0000 https://familysante.com/?p=9372 Combien de fois par semaine faut-il se laver ? La question peut paraître anodine, et pourtant, elle déchaîne les passions. Sur le forum britannique Mumsnet, une mère de famille a récemment confié ne pas réussir à se doucher tous les jours. Résultat : son témoignage a suscité une vague de réactions, entre critiques virulentes et […]

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Combien de fois par semaine faut-il se laver ? La question peut paraître anodine, et pourtant, elle déchaîne les passions. Sur le forum britannique Mumsnet, une mère de famille a récemment confié ne pas réussir à se doucher tous les jours. Résultat : son témoignage a suscité une vague de réactions, entre critiques virulentes et messages de soutien.

« Suis-je dégoûtante ? »

Cette jeune maman explique avoir deux enfants, dont une petite de moins de cinq ans, et travailler à temps partiel. Son rythme quotidien la pousse à privilégier la praticité :

« Je prends une douche les jours où je travaille, plus un jour supplémentaire. En moyenne, trois fois par semaine. Les jours de congé, je joue avec mes filles, je promène le chien, je vais à l’école… Je prends des douches supplémentaires si j’ai transpiré, eu un rapport, pendant mes règles ou en cas de forte chaleur. »

Elle conclut son message par une question sincère : « Suis-je dégoûtante ? »

Des réactions partagées

La discussion a rapidement pris de l’ampleur. Beaucoup d’internautes n’ont pas hésité à critiquer son hygiène :

  • « Trois fois par semaine, c’est trop peu. Je ne peux pas commencer une journée sans une douche. »
  • « Pour moi, une douche quotidienne est indispensable. »

Mais d’autres mamans l’ont rassurée en soulignant que l’essentiel est de rester à l’aise avec soi-même :

  • « Si tu ne sens pas mauvais, il n’y a pas de problème. »
  • « Trois douches par semaine, c’est largement suffisant. »

Que disent les experts ?

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, les médecins ne sont pas unanimes sur l’importance de la douche quotidienne. De nombreux dermatologues rappellent qu’un lavage trop fréquent peut agresser la peau, surtout lorsqu’on utilise des produits trop décapants.

En réalité, tout dépend du mode de vie :

  • 3 douches par semaine peuvent suffire si l’on ne transpire pas beaucoup et que l’on n’a pas d’activités physiques intensives.
  • 1 douche par jour est conseillée si l’on fait du sport, si l’on vit dans un climat chaud ou si l’on a besoin de cette habitude pour se sentir bien.

L’essentiel reste d’adopter une hygiène adaptée à ses besoins personnels, sans culpabiliser.

Et vous, quelle est votre routine ?

Ce débat soulève une question intéressante : se laver tous les jours est-il une nécessité ou plutôt une habitude culturelle ? Finalement, il n’existe pas de règle universelle. L’important est de trouver son équilibre, entre confort personnel, hygiène et respect de sa peau.


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