Une condamnation lourde de sens

Le 2 juin 2025, à Dunkerque, une professionnelle a été condamnée à 3 500 euros d’amende avec sursis pour avoir réalisé des échographies 3D à visée non médicale. Son tort ? Avoir exercé, sans en avoir le droit, des actes réservés aux médecins et sages-femmes. Son activité consistait à proposer aux femmes enceintes des rendez-vous pour voir leur bébé sous tous les angles, comme on réserverait une séance photo.

Si l’intention n’était pas malveillante — l’entrepreneuse souhaitait simplement offrir un moment d’émotion aux parents — la justice a été claire : ces pratiques relèvent de l’exercice illégal de la médecine.

Une tendance séduisante… mais illégale

Lancée en 2023, son entreprise surfait sur une vague bien réelle : celle d’un suivi de grossesse plus émotionnel et personnalisé. Pour de nombreux parents, revoir leur bébé entre les échographies obligatoires permettait de tisser un lien plus fort. Mais cette personnalisation a franchi une ligne rouge réglementaire.

Un arrêté ministériel de 2018 stipule en effet que seules les sages-femmes et les médecins peuvent pratiquer des échographies obstétricales. Même si aucune intention de nuire n’a été retenue, la loi reste la loi. Et cette décision pourrait bien entraîner la fermeture d’autres structures similaires dans plusieurs départements français.

Des risques pour le fœtus encore trop peu connus

Au-delà du cadre légal, c’est aussi une question de sécurité pour le bébé. La Haute Autorité de Santé (HAS) rappelle que les échographies à but non médical ne sont pas anodines. Les ultrasons, surtout s’ils sont répétés sans nécessité, peuvent avoir des effets sur le développement du fœtus.

Les sages-femmes, garantes de la santé périnatale, alertent régulièrement : ces séances ne sont pas de simples photographies. Ce sont des actes médicaux qui doivent rester dans un cadre professionnel strict et encadré.

Futurs parents : comment faire la part des choses ?

Il est naturel de vouloir immortaliser chaque moment de la grossesse. Mais il est essentiel de rester vigilants face aux offres commerciales qui exploitent ce désir. Tous les cabinets ne sont pas habilités, et toutes les échographies ne se valent pas.

Comme le rappelle Anaïs Huguet, présidente du Conseil de l’ordre des sages-femmes du Nord :

« Ce n’est pas juste une jolie image, c’est un acte médical. »

Conclusion

Ce jugement met en lumière un besoin d’encadrement plus strict autour des pratiques d’échographies dites « de plaisir ». Il rappelle aussi que, même dans les moments de grande émotion, la sécurité et le cadre légal doivent primer.

Pour les futurs parents, le message est clair : ne confiez jamais votre suivi de grossesse à un cabinet non médicalisé. L’amour que vous portez à votre bébé commence aussi par des choix responsables.

L’article Échographies 3D de plaisir : un joli souvenir… mais une pratique désormais condamnée par la justice est apparu en premier sur Family santé.

Un refus incompréhensible en pleine urgence

Ce soir-là, la future mère et son compagnon sortaient d’une séance de cinéma lorsqu’elle commence à ressentir les premières contractions. Conscients de l’urgence, ils appellent un taxi pour se rendre à l’hôpital. Le véhicule arrive rapidement, la femme monte à bord, prenant même la précaution de protéger le siège avec une serviette. Tout laisse croire qu’ils seront conduits sans délai à la maternité.

Mais le soulagement est de courte durée. Le chauffeur, sans donner d’explication claire, change d’avis, les fait descendre du véhicule, puis redémarre, les laissant seuls sur le trottoir. Une décision aux conséquences lourdes : la femme, prise de fortes douleurs, n’a d’autre choix que de s’allonger sur un passage piéton, où elle accouche en pleine rue, assistée par quelques passants avant l’arrivée des secours. Par miracle, la mère et le nouveau-né se portent bien. Une enquête a été ouverte pour déterminer si le comportement du chauffeur peut être qualifié de mise en danger délibérée d’autrui.

Accoucher hors d’un environnement médicalisé : des risques majeurs

Un accouchement dans la rue n’est pas un simple fait divers. Il s’agit d’une urgence médicale grave. L’absence de conditions d’hygiène, d’équipements médicaux et de personnel qualifié peut mettre en péril la vie de la mère comme celle de l’enfant. Les risques sont nombreux : infections, hémorragies, détresse respiratoire du nouveau-né, complications imprévues impossibles à gérer sur place.

Parmi les causes principales de mortalité maternelle figure l’hémorragie post-partum. Hors hôpital, ce type de complication peut rapidement devenir dramatique, faute de moyens pour intervenir efficacement.

Une situation qui dépasse les frontières espagnoles

Ce drame résonne bien au-delà de l’Espagne. En France, par exemple, la fermeture progressive des maternités aggrave le problème. En cinquante ans, plus de 800 maternités ont fermé. Dans certains départements ruraux, une femme sur quatre doit désormais parcourir plus de 45 minutes pour atteindre une structure capable de l’accueillir. Ces distances, souvent sous-estimées, augmentent significativement les risques d’accouchements non programmés en dehors d’un cadre médicalisé.

Une société face à ses responsabilités

Cet événement tragique rappelle que la solidarité, l’éthique professionnelle et l’accès rapide aux soins sont essentiels, en particulier lorsqu’il s’agit de femmes en travail. Refuser de transporter une personne en détresse médicale, c’est non seulement faire preuve d’un profond manque d’humanité, mais aussi prendre le risque de mettre des vies en danger.

Il est urgent que les autorités renforcent les protocoles et rappellent aux chauffeurs de taxi, comme aux autres acteurs du transport public ou privé, leurs obligations en matière d’assistance aux personnes en situation critique. Par ailleurs, un effort collectif est nécessaire pour garantir un accès rapide et équitable aux soins obstétricaux, notamment en zones rurales.

L’article Refusée par un taxi en plein travail, elle accouche sur le trottoir est apparu en premier sur Family santé.

Le parcours d’une battante

Emma Smith souffre d’endométriose, une maladie gynécologique chronique qui touche environ une femme sur dix en âge de procréer. Cette pathologie se caractérise par le développement de tissu semblable à celui de la muqueuse utérine en dehors de l’utérus. Elle provoque souvent des douleurs intenses, des troubles digestifs et, dans de nombreux cas, des difficultés à concevoir un enfant.

Pour Emma, la route vers la maternité a été semée d’embûches : plusieurs fausses couches, des interventions chirurgicales, des traitements médicaux… Malgré tout, elle et son compagnon Dave n’ont jamais abandonné leur rêve de devenir parents.

La naissance de trois bébés « arc-en-ciel »

Le terme « bébé arc-en-ciel » désigne un enfant né après une fausse couche, une mort fœtale ou infantile. Il symbolise l’espoir après la tempête, la lumière après l’obscurité.

Pour Emma et Dave, cet espoir s’est matérialisé par la naissance de trois garçons : Alfie James, Jesse Joe et Arley Jay. Fait étonnant, et presque mystique, ils sont tous nés le 20 juin, à quelques années d’intervalle. Une coïncidence rare, qui rend leur histoire encore plus singulière.

« Nous n’arrivons toujours pas à y croire », confiait Emma au média britannique Metro. « C’est un vrai miracle. C’est magique, et nous nous sentons bénis. »

Ce que l’histoire d’Emma nous enseigne

La fausse couche est une réalité fréquente, bien que souvent taboue. Elle touche environ 10 à 20 % des grossesses confirmées. Elle peut être causée par des anomalies chromosomiques, des troubles hormonaux, des infections ou encore des problèmes anatomiques. Pour les parents concernés, la douleur est immense et souvent invisible.

Mais l’histoire d’Emma rappelle qu’une issue heureuse est possible. D’après les statistiques médicales, environ 85 % des femmes ayant fait une fausse couche parviennent à mener une grossesse à terme par la suite. Le soutien du partenaire, de la famille et des professionnels de santé joue un rôle essentiel dans ce processus de guérison et de reconstruction.

Un message d’espoir

Emma Smith incarne le courage et la persévérance. Son histoire est un témoignage vibrant pour toutes les femmes qui vivent la perte, l’attente, la déception et la douleur. Elle prouve que même après plusieurs fausses couches et malgré une maladie chronique, il est possible de donner la vie, non pas une fois, mais trois.

Et ce 20 juin, chaque année, est désormais pour elle et sa famille un symbole de victoire sur l’adversité.

L’article Trois naissances, une date : le miracle d’une maman après plusieurs fausses couches est apparu en premier sur Family santé.

En février 2017, lors d’une échographie de routine, ce couple de l’Oklahoma apprend que leur fille à naître souffre d’anencéphalie, une malformation incurable empêchant le développement du cerveau. Une condamnation sans appel. Eva ne vivra pas.

Face à ce verdict, la majorité des parents auraient probablement choisi l’interruption médicale de grossesse. Mais Keri et Royce, eux, ont pris une décision aussi impensable que magnifique : mener la grossesse jusqu’à son terme, pour permettre à leur fille de devenir donneuse d’organes.

Choisir l’altruisme dans la douleur

Dans un témoignage bouleversant partagé sur les réseaux sociaux, Royce raconte la force de sa femme, qui, dès l’annonce de ce diagnostic tragique, a pensé aux autres. À peine quelques instants après avoir appris que son bébé ne survivrait pas, Keri s’est tournée vers la possibilité de sauver d’autres vies.

Pendant 20 semaines, elle a porté Eva, jour après jour, avec la conscience poignante de porter un enfant qui ne vivra jamais. Leur mission était claire : offrir à Eva une courte vie qui aurait du sens. Non pas pour elle-même, mais pour ceux qu’elle pourrait aider.

Un accouchement trop tôt, mais un miracle tout de même

Le 17 avril 2017, Eva vient au monde sans vie. L’accouchement, initialement prévu par césarienne pour optimiser les chances de prélèvement d’organes, a dû être déclenché d’urgence. Les organes internes, privés d’oxygène trop longtemps, n’ont pas pu être donnés.

Mais un espoir inattendu surgit dans cette nuit noire : les yeux d’Eva peuvent être offerts. Ils le seront. Eva devient ainsi la première donneuse d’yeux de l’Oklahoma. Un geste qui, à lui seul, suffit à inscrire sa courte existence dans une mémoire collective empreinte de gratitude.

Des instants éternels, malgré l’absence

Keri et Royce n’auront eu que quelques minutes avec leur fille. Des instants figés dans le temps. Ils se souviendront toujours de ses traits, de ce regard entrouvert qu’ils n’osaient à peine croiser. De cette présence silencieuse, porteuse d’une force immense.

Royce, écrivain de métier, conclut son témoignage par ces mots inoubliables :
« Je ne pourrai plus jamais tenir ma fille dans mes bras. Ni lui parler, ou entendre son rire. Mais je peux encore rêver de regarder ses yeux un jour, pour la première fois, et découvrir de quelle couleur ils sont. »

Une leçon de vie, de courage et d’humanité

L’histoire d’Eva est une leçon de dignité, de résilience et d’amour inconditionnel. Elle nous rappelle que même les vies les plus courtes peuvent avoir un impact immense. Que même dans la douleur la plus brute, il est possible de faire jaillir une lumière.

Keri et Royce ont transformé une tragédie intime en un acte d’espoir collectif. Et Eva, bien qu’elle n’ait jamais respiré, aura offert à d’autres la possibilité de voir le monde.

Parfois, les héros ne vivent que quelques instants. Mais leur souvenir, lui, dure toujours.

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Une transformation bien plus profonde qu’on ne l’imagine

Menée par le prestigieux Weizmann Institute en collaboration avec l’université Yale et le Helen Schneider Women’s Hospital, cette étude repose sur l’analyse de plus de 44 millions de données médicales issues de 300 000 accouchements sur une période de 17 ans. Les chercheurs ont scruté 76 marqueurs physiologiques, de plusieurs mois avant la conception jusqu’à plus d’un an et demi après l’accouchement.

Le constat est clair : la grossesse laisse une empreinte durable sur le corps. À peine 47 % des marqueurs reviennent à la normale dans le mois suivant l’accouchement. Pour près de la moitié, il faut plus de 10 semaines. Et certains, comme les marqueurs hépatiques ou osseux, nécessitent jusqu’à un an. Dans certains cas, certaines fonctions ne retrouvent jamais leur niveau d’avant-grossesse, même après 80 semaines.

Une « charge physiologique » encore méconnue

La maternité transforme le corps en profondeur, bien au-delà des aspects visibles. Fatigue persistante, dérèglements hormonaux, troubles immunitaires, fragilité osseuse : autant de symptômes que l’on relègue trop souvent au second plan. Le post-partum n’est pas un simple retour à l’état initial. C’est un processus de reconstruction — lent, complexe, parfois douloureux — qu’il est urgent de mieux comprendre et d’accompagner.

Ce que cette étude met en lumière, c’est la nécessité de revoir entièrement nos standards en matière de santé post-natale. Les six semaines traditionnellement accordées au suivi post-partum sont bien loin d’être suffisantes. Il ne s’agit pas seulement de rétablir un équilibre physique, mais de reconnaître l’ampleur des bouleversements vécus.

Vers une médecine plus préventive et humaine

L’étude va plus loin. En observant les profils biologiques de certaines femmes avant même la conception, les chercheurs ont identifié des signes précoces pouvant prédire des complications comme la pré-éclampsie ou le diabète gestationnel. C’est une avancée majeure, qui pourrait permettre d’agir bien en amont et de mieux accompagner les femmes dans leur parcours de maternité.

Grandir avec ses enfants, pas malgré eux

Être parent, ce n’est pas devenir quelqu’un d’autre, mais continuer à grandir tout en guidant un autre être humain. Reconnaître les transformations profondes du corps maternel, c’est aussi affirmer que les mères ne sont pas des héroïnes silencieuses, ni des patientes qu’on observe à distance. Ce sont des personnes en pleine transition, avec leurs forces, leurs fragilités, leurs histoires.

Il est temps de briser les tabous, de faire évoluer les mentalités et d’offrir aux mères ce qu’elles méritent : du temps, de l’écoute, du soin. Et surtout, la reconnaissance que leur corps, même transformé, reste un lieu de puissance, de beauté et de vie.

L’article Et si on arrêtait de minimiser l’impact de la grossesse sur le corps ? est apparu en premier sur Family santé.

Quand l’amour devient poison

Jessica croyait avoir trouvé son grand amour. Arnie était attentionné, drôle, et complice. Du moins, au début. Tout a changé le jour où elle lui annonça qu’elle était enceinte. Ce qui aurait dû être un moment de bonheur s’est vite transformé en un cauchemar.

Les premiers mois de grossesse l’ont éprouvée : nausées, douleurs, épuisement. Et au lieu de soutien, elle eut droit aux critiques. Il se moquait de son apparence, lui reprochait ses vêtements amples, et la comparait sans cesse à d’autres femmes. La tendresse s’était envolée, laissant place à une indifférence cruelle.

Le masque tombe

Plus les mois passaient, plus Arnie s’éloignait. Il rentrait tard, passait des heures au téléphone, évitait tout contact. Jusqu’au jour où il rentra avec une autre femme à son bras. Son visage était froid, sa voix tranchante : « Je ne veux ni de toi, ni de ton bébé. » Et sur la table, il jeta les papiers du divorce.

Jessica était brisée. Mais elle n’était pas finie.

Une femme humiliée, mais pas vaincue

Ce que personne ne savait, c’est que Jessica, derrière ses larmes, préparait quelque chose. Un plan, mûri en silence, dans l’ombre de l’abandon. Elle avait découvert l’infidélité d’Arnie bien avant qu’il n’avoue quoi que ce soit. Et au lieu de s’effondrer, elle avait décidé de se relever.

Avec calme et discrétion, elle approcha Stacy, la nouvelle compagne d’Arnie. Non pas pour la confronter, mais pour s’en faire une alliée. Grâce à cette alliance inattendue, elle obtint ce qu’elle voulait : Arnie, convaincu d’avoir gagné, signa des documents sans les lire. Il lui céda leur appartement, leurs comptes communs… tout.

Une nouvelle vie commence

Le jour de la signature du divorce fut aussi celui où Jessica donna naissance à sa fille, Riley. Un symbole fort. Ce qui aurait pu être la fin de tout s’est révélé être un nouveau départ.

Entourée de l’amour de sa mère et de son bébé, Jessica retrouva sa force. Elle reprit confiance, reconstruisit sa vie, et transforma sa douleur en énergie.

Quand le passé revient frapper à la porte

Quelques mois plus tard, Arnie revint. Ruiné, seul, abandonné par Stacy. Il pleura, implora, regretta. Mais Jessica n’était plus la même femme. Elle écouta. Puis referma la porte.

Non pas par vengeance, mais par dignité.

Une leçon de force

Cette histoire, ce n’est pas seulement celle d’un cœur brisé. C’est celle d’une femme qui a refusé de se laisser détruire. Qui a utilisé l’humiliation comme carburant pour sa transformation. Qui a compris que parfois, la plus belle revanche, c’est simplement d’être heureuse, libre… et debout.

Jessica nous rappelle une chose essentielle : on peut tout perdre, sauf sa capacité à se reconstruire.

L’article Il m’a humiliée pendant ma grossesse et m’a quittée… Mais j’ai eu le dernier mot est apparu en premier sur Family santé.

Quelques semaines plus tard, une échographie leur a révélé une nouvelle inattendue : Farrah attendait des quadruplées — conçues naturellement, sans recours à des traitements de fertilité. Mais ce n’est pas tout : les quatre filles allaient former deux paires distinctes de jumelles identiques, un phénomène rarissime qui n’arrive qu’à environ une grossesse sur un million.

Une Naissance Mémorable

Le 20 novembre, après une grossesse menée jusqu’à environ 32 semaines, Farrah a donné naissance à quatre petites filles en pleine santé par césarienne : Lyric, Paisley, Psalm et Fallyn.

Pour choisir leurs prénoms, le couple a eu une idée amusante : écrire chaque prénom sur un papier et tirer au sort à la naissance de chaque bébé. « Peyton tirait un nom à chaque fois qu’une des filles venait au monde », raconte Farrah avec le sourire.

Les fillettes, surnommées affectueusement « la quad squad », pesaient environ 1,8 kg chacune à leur naissance. Après un séjour de quelques semaines en unité néonatale, elles ont rejoint leur maison, où elles ont retrouvé leur grand frère PJ, âgé de 2 ans.

Une Nouvelle Vie à Cinq

Pour Farrah et Peyton, tous deux âgés de 29 ans, la vie de famille a pris une toute nouvelle dimension. « Je dors peut-être trois heures et demie par nuit », confie Farrah. Peyton, facteur à temps plein, plaisante en disant qu’il vit désormais dans un « clignement d’œil prolongé ».

S’occuper de quatre nourrissons, en plus d’un enfant en bas âge, est un défi logistique. Entre les couches (environ 30 par jour), les biberons (8 repas par jour pour chaque bébé) et l’allaitement que Farrah assure pour ses filles, le rythme est effréné.

Malgré la fatigue, le couple reste enthousiaste. « Nous sommes tellement reconnaissants pour nos filles », dit Peyton. « Oui, c’est intense, mais nous sommes bénis. »

Une Famille Entourée d’Amour

Heureusement, la famille Larry peut compter sur le soutien de leur entourage. La mère de Farrah, Sue Dixon, affectueusement surnommée « GiGi », vit à proximité et aide régulièrement avec les enfants. Elle a même lancé une cagnotte en ligne pour aider le couple à faire face aux dépenses supplémentaires.

Bien sûr, le chemin à venir comporte des défis, notamment l’achat d’un véhicule plus grand, l’aménagement d’une maison plus spacieuse et, à plus long terme, l’éducation des cinq enfants. Mais Farrah reste confiante. « Je ne m’inquiète pas. Nous avons toujours eu ce dont nous avions besoin. Nous allons avancer, un jour à la fois. »

Un Miracle qui Inspire

Avec le soutien de leur « grande tribu » et une foi inébranlable, les Larry se préparent à un avenir rempli d’amour, de rires et, sans aucun doute, de nombreuses aventures.

Comme le dit si bien Farrah : « Clairement, Dieu a un plan pour ces filles. Les chances étaient contre nous, mais nous allons continuer à avancer et à lui faire confiance. »

Une chose est sûre : avec Lyric, Paisley, Psalm et Fallyn, le couple Larry ne manquera jamais d’histoires à raconter ni d’amour à partager.

L’article Elle accouche de quadruplées, dont deux paires de jumelles identiques : Une chance sur un million est apparu en premier sur Family santé.

Le Début de Notre Parcours

Mon mari et moi avons commencé à essayer de concevoir peu de temps après notre mariage. Nous étions pleins d’espoir et d’excitation, imaginant déjà notre future famille. Mais les mois passaient, puis les années, et toujours rien. Chaque test de grossesse négatif était une nouvelle déception, une nouvelle douleur.

Les Traitements Médicaux et les Échecs

Nous avons consulté plusieurs spécialistes, essayé différents traitements et subi de nombreuses interventions médicales. Chaque tentative échouée ajoutait un poids sur nos épaules. Les injections, les médicaments, les rendez-vous chez le médecin sont devenus notre quotidien. C’était épuisant physiquement et émotionnellement.

L’Adoption : Une Lueur d’Espoir

Après des années d’essais infructueux, nous avons décidé de nous tourner vers l’adoption. Ce fut une décision difficile, mais nous savions que nous avions beaucoup d’amour à donner. Le processus d’adoption n’a pas été facile non plus. Les démarches administratives, les évaluations et l’attente interminable nous ont mis à l’épreuve. Mais enfin, nous avons accueilli notre magnifique fils dans notre famille. Il a comblé nos vies de bonheur et nous a fait réaliser que la parentalité ne se limite pas aux liens biologiques.

Une Surprise Inattendue

Alors que nous étions comblés par l’amour de notre fils adoptif, nous avons fait la paix avec l’idée que notre famille était complète. Mais la vie avait une surprise pour nous. Un jour, je me suis sentie différente, avec des symptômes que je n’avais pas ressentis depuis longtemps. Par curiosité, j’ai fait un test de grossesse, sans vraiment y croire.

Quand le test a affiché un résultat positif, je n’y ai pas cru. J’ai pleuré, ri et ressenti une multitude d’émotions. C’était un miracle auquel je n’osais plus espérer. Les médecins ont confirmé la nouvelle : j’étais enceinte.

La Joie Incommensurable

Porter un enfant après tant d’années d’infertilité est une expérience indescriptible. Chaque mouvement, chaque battement de cœur entendu lors des échographies était un rappel du miracle que nous vivions. Ma grossesse a été surveillée de près, et malgré quelques craintes, tout s’est bien passé.

Notre fils adoptif était également excité à l’idée de devenir grand frère. Nous lui avons expliqué avec des mots simples que nous allions accueillir un nouveau membre dans notre famille, et il a accepté cette nouvelle avec une joie innocente.

Un Nouveau Chapitre

Aujourd’hui, notre famille est complète avec nos deux enfants. Chaque jour, je remercie la vie pour ces cadeaux précieux. Notre parcours n’a pas été facile, mais il nous a appris la patience, la résilience et l’importance de l’amour sous toutes ses formes.

À toutes les personnes qui traversent des épreuves similaires, je veux dire : ne perdez jamais espoir. Les miracles existent et parfois, ils se manifestent quand on s’y attend le moins.

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Pour les mamans expérimentées, le signe le plus évident que le bébé arrivera tôt est un accouchement prématuré antérieur. Bien que cela ne garantisse pas que chaque bébé que vous aurez naîtra avant la date prévue, c’est un facteur de risque que votre médecin voudra connaître. Il est fort probable que vous ayez déjà préparé votre sac de maternité à côté de la porte bien à l’avance et que vous ayez une assez bonne idée des signes de travail précoce après l’avoir déjà vécu une fois.

Mais si vous êtes parent pour la première fois, vous devrez apprendre à reconnaître si bébé arrivera tôt ou tard, ou dans certains cas rares, en fait pile à l’heure. Que vous ayez ou non le sentiment secret que votre petit arrivera dans le monde avant la date prévue, voyez si vous ressentez l’un de ces signes indiquant que bébé va venir avant sa date prévue, afin de vous préparer également.

1. Vous avez de la diarrhée. Vous avez des gargouillements dans le ventre ? Cela pourrait être plus que la conséquence du burrito que vous avez mangé hier soir – cela pourrait être l’un de vos premiers signes que bébé arrivera tôt. « Au début du travail, votre col et votre utérus commencent à subir des changements physiologiques stimulés par les prostaglandines », explique la Dr Kerry-Anne Perkins, gynécologue-obstétricienne certifiée. « Les prostaglandines, comme l’ocytocine, sont responsables de stimuler les contractions de l’utérus, ce qui provoque ensuite la dilatation et l’ouverture du col. Les prostaglandines provoquent également de manière unique un déplacement rapide des aliments dans le tube digestif, causant la diarrhée. L’avantage sous-jacent de cet effet des prostaglandines est qu’il dégage l’espace pelvien pour que le bébé puisse passer plus facilement. » Elle ajoute que cette diarrhée disparaîtra après l’accouchement.Si cela se produit, assurez-vous de boire beaucoup de liquides pour augmenter l’hydratation. « La déshydratation est une cause fréquente de contractions prématurées, donc je conseille toujours aux gens de rester hydratés pendant leur grossesse », déclare l’infirmière obstétricale Juliana Parker.
2. Vous ressentez moins de pression dans vos abdominaux. Une sensation que les femmes enceintes décrivent comme un « allègement » est due à la pression réduite dans l’abdomen une fois que le bébé descend en position pour l’accouchement. « À mesure que votre grossesse approche de la pleine maturité (37 semaines et plus), le bébé peut commencer à descendre dans le bassin en préparation pour la naissance », explique Perkins. « Lorsque cela se produit, la hauteur utérine, une mesure du fond utérin qui reflète le nombre de semaines de gestation, commencera à diminuer. Au fur et à mesure que cela se produit, certaines personnes peuvent ressentir moins de pression dans l’abdomen et plus de pression dans le bassin où le bébé se trouve désormais. »Parker explique que lorsque votre bébé se positionne ainsi, vous pouvez commencer à sentir la pression se déplacer vers votre bassin ou votre vagin. Si cela se produit quelques semaines avant la date prévue, c’est un signe fort que votre bébé arrivera tôt.
3. Votre dos vous fait mal. Les douleurs et les maux font partie du lot pendant la grossesse, mais certains inconforts pendant votre troisième trimestre pourraient indiquer que votre bébé arrivera plus tôt que prévu. Parker explique que si vous avez des douleurs au bas du dos (un signe que votre bébé pourrait se tourner dans la bonne direction) plus de quatre à six fois par heure, vous devriez appeler votre médecin… et peut-être préparer votre sac de maternité.
4. Votre col est dilaté. Le travail actif commence lorsque le col est dilaté à six centimètres. Votre médecin vérifiant votre dilatation peut les aider à déterminer si bébé arrivera tôt ou tard. Si votre col commence à s’ouvrir avant 37 semaines, vous pourriez avoir un bébé prématuré. »Le diagnostic [du travail prématuré] n’est pas posé à moins que l’on ne découvre que vous avez un col dilatant accompagné des contractions douloureuses habituelles », explique le Dr Brittany Noel Robles, obstétricien et gynécologue.
5. Vos contractions sont tenaces. Si vous ressentez des crampes ou des douleurs au dos à l’approche de votre date prévue, prêtez attention : « Il peut être difficile de détecter les contractions prématurées, car pour beaucoup de gens, elles semblent être une simple douleur au dos de la grossesse ou des crampes légères qui semblent inoffensives », dit Parker.Il est courant de ressentir des contractions tout au long de votre grossesse, mais lorsqu’elles deviennent plus fortes et ne disparaissent pas, elles pourraient être l’un des signes que bébé arrivera avant la date prévue. « Le symptôme le plus évident du travail prématuré est la présence de contractions régulières. Elles peuvent être douloureuses ou non », explique Robles. C’est l’un des premiers signes du travail qui pourrait indiquer que d’autres vont suivre et que votre petit est en chemin.
6. Vous avez perdu votre bouchon muqueux et avez des crampes. Les pertes vaginales font partie intégrante de la grossesse, et en raison de tous les hormones impliquées, les femmes enceintes peuvent s’attendre à ce que les pertes varient d’une petite quantité à des glaires épaisses tout au long de leur grossesse. Ce qui est communément appelé le bouchon muqueux, cependant, est en fait une accumulation de mucus épais dans le col de l’utérus et dans l’utérus inférieur. Le perdre sans aucun autre symptôme n’est pas un bon indicateur que le travail commence, dit Parker, surtout compte tenu qu’il est possible de le perdre plusieurs fois. Cependant, « si vous êtes prématurée, avez des crampes, et remarquez également des pertes vaginales sanguinolentes ou brunâtres, cela pourrait être un signe que le travail commence », dit-elle.
7. Vous avez une infection. Il existe un lien entre les infections, y compris la vaginose bactérienne, et le travail prématuré. « Une des raisons les plus courantes du travail prématuré est une infection », dit Robles. « Il peut s’agir de n’importe quel type d’infection, comme la grippe, une infection urinaire non traitée qui peut devenir une infection rénale sévère, la listériose à partir de certains aliments, ou une infection utérine, qui peut se manifester par une rupture prématurée des membranes. » Si vous recevez l’un de ces diagnostics, assurez-vous d’être prêt pour votre bébé à tout moment, et parlez à votre gynécologue-obstétricien pour vous assurer que vous pouvez accoucher en toute sécurité.
8. Vous avez des articulations lâches. Vous pouvez remarquer que vos articulations et vos ligaments se sentent plus lâches ou plus détendus à l’approche de votre date prévue. Si tel est le cas, cela pourrait être un signe que votre bébé arrive plus tôt que prévu. « Alors que votre corps se prépare à l’accouchement, une hormone appelée relaxine est libérée », explique Perkins. « Cette hormone aide vos articulations à se détendre et à créer de l’espace pour que votre bébé passe à travers votre bassin. »
9. Vous commencez à nicher. Perkins explique que avant l’arrivée de votre bébé, il est courant de commencer à faire quelque chose appelé « nicher ». Nicher est « l’énergie soudaine et l’enthousiasme qui vous poussent à préparer l’arrivée de votre bébé dans le monde », dit-elle. « Vous pouvez commencer à nettoyer, organiser ou réarranger les choses lorsque vous avez un fort désir de préparer. Cela se produit en raison d’un comportement humain psychologique, quelque peu programmé, pour contrôler l’environnement de votre bébé et protéger votre enfant à naître. »Donc, si vous ressentez une envie de nettoyer et de préparer de manière inhabituelle, cela pourrait être un signe de l’intérieur que vous allez avoir votre bébé bientôt.

Si vous vous demandez comment savoir si votre bébé arrivera tôt (ou tard, parce que vous ne ressentez aucun de ces signes), ces changements corporels peuvent vous mettre sur la piste. Si vous avez des questions ou des préoccupations concernant les signes possibles de l’arrivée précoce de bébé, appelez votre médecin ou votre sage-femme pour avoir l’esprit tranquille.

L’article 9 signes que votre bébé arrive en avance, alors préparez-vous est apparu en premier sur Family santé.

Contexte démographique en France

Depuis 2011, le nombre de naissances annuelles en France connaît une baisse régulière, à l’exception d’une légère remontée en 2021 après les confinements liés à la pandémie de Covid-19. En 2022, le pays a enregistré le plus faible nombre de naissances depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, avec une diminution observée dans toutes les régions françaises, à l’exception de Mayotte et de la Corse.

Malgré ce recul, le taux de fécondité de la France demeure le plus élevé de l’Union européenne, atteignant 1,84 enfant par femme en 2021, selon Eurostat, tandis que la moyenne de l’UE se situe à 1,53.

Facteurs explicatifs de la baisse de la natalité

L’Insee souligne un facteur démographique majeur : la diminution du nombre de femmes âgées de 20 à 40 ans, en âge de procréer. De plus, les générations de femmes moins nombreuses semblent procréer moins, possiblement influencées par des facteurs sociaux. Des inquiétudes liées à l’avenir, notamment une conjoncture économique incertaine, des tensions géopolitiques, et le changement climatique, créent un « climat d’incertitude » qui pourrait dissuader certaines personnes d’avoir des enfants.

La sociologue démographe Catherine Scornet souligne également des changements d’aspirations, où certaines personnes, en particulier les femmes diplômées, décident d’avoir moins d’enfants voire aucun, privilégiant l’émancipation individuelle et l’investissement dans d’autres domaines personnels ou professionnels.

Conséquences du déclin de la natalité

Un déclin de la natalité entraîne des modifications structurelles dans la population, nécessitant des ajustements dans les politiques publiques. À court terme, il peut avoir des effets positifs sur les finances publiques, avec moins de dépenses en éducation, soins et allocations. Cependant, à long terme, la diminution de la population active risque de compromettre le dynamisme économique et l’équilibre des comptes sociaux.

Possibilités d’inverser la tendance

Les démographes estiment qu’il existe un lien entre les mesures natalistes et la fécondité, mais mesurer cet impact reste complexe. Actuellement, l’articulation entre vie professionnelle et familiale émerge comme un élément clé. Des politiques publiques efficaces devraient rendre la vie plus facile aux parents, notamment en facilitant la conciliation travail-famille.

En revanche, les mesures natalistes basées uniquement sur des incitations financières semblent moins efficaces. Les individus sont conscients des dépenses à long terme liées à l’éducation et à l’élevage des enfants. La confiance et la crédibilité des mesures proposées jouent un rôle crucial, comme le démontre la comparaison entre la France, qui maintient une politique familiale solide depuis des décennies, et la Corée du Sud, où malgré une politique nataliste, la fécondité reste basse en raison de normes sociales contraignantes.

En conclusion, inverser la tendance au déclin de la natalité en France nécessitera une approche holistique, combinant des mesures natalistes efficaces, des politiques favorisant l’équilibre entre vie professionnelle et familiale, et une réponse aux inquiétudes sociales et économiques qui pourraient décourager la procréation.

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