Des melons contaminés par un pesticide puissant

Les produits concernés sont les melons « boule de miel » (catégorie I), de la marque espagnole Juanjor, conditionnés en colis de douze pièces. Ces fruits ont été commercialisés entre le 12 et le 16 juin 2025 dans plusieurs enseignes françaises bien connues : Leclerc, Carrefour, Intermarché, Franprix et Coccinelle.

Les régions concernées par cette alerte sont principalement la Normandie, le Centre-Val de Loire et l’Île-de-France.

Le motif du rappel ? Une présence excessive de flonicamide, un insecticide utilisé pour lutter contre les pucerons. Bien qu’autorisé en agriculture depuis 2005, ce produit chimique ne doit pas dépasser certaines limites pour garantir la sécurité du consommateur. Or, dans le cas présent, ces seuils ont été dépassés, posant un risque potentiel pour la santé.

Que faire si vous avez acheté ce produit ?

Les autorités sanitaires, via le site officiel RappelConso, recommandent de ne surtout pas consommer ces melons. Il est conseillé de les rapporter au point de vente, où ils seront remboursés, ou de contacter directement le magasin pour obtenir plus d’informations.

Une vigilance de plus en plus nécessaire

Ce nouveau rappel souligne une fois de plus l’importance de rester attentif aux alertes de sécurité alimentaire. Même les fruits, perçus comme des aliments sains et naturels, peuvent faire l’objet de traitements phytosanitaires excessifs, en particulier dans certaines productions intensives à l’étranger.

Il est donc essentiel, lorsque c’est possible, de privilégier les produits locaux et de saison, issus d’une agriculture raisonnée, afin de limiter les risques pour la santé.

Pour rester informé des rappels en cours, n’hésitez pas à consulter régulièrement le site rappel.conso.gouv.fr.

L’article Rappel de consommation : ces melons vendus en grande surface ne doivent plus être consommés est apparu en premier sur Family santé.

Une fillette décédée, d’autres enfants sous dialyse

La semaine dernière, une fillette de 12 ans a succombé à une forme grave d’infection provoquée par la bactérie Escherichia coli (E. coli). D’après les dernières informations de l’Agence régionale de santé (ARS) et de la préfecture, huit enfants ont développé un syndrome hémolytique et urémique (SHU), une complication sévère souvent associée à cette bactérie. Six d’entre eux sont actuellement sous dialyse.

Les deux nouveaux cas détectés ce lundi 23 juin n’ont heureusement pas présenté de formes graves. Les enfants touchés, âgés de quelques mois à 13 ans, ont été pris en charge pour des troubles digestifs sérieux : diarrhées sanglantes, vomissements, douleurs abdominales aiguës.

La viande en ligne de mire

Tous les cas recensés semblent avoir un point commun : la consommation récente de viande, probablement insuffisamment cuite. La bactérie E. coli a été identifiée comme étant à l’origine des infections. Par mesure de précaution, six boucheries de Saint-Quentin ont été temporairement fermées. Des analyses sont en cours pour déterminer l’origine exacte de la contamination.

Aucune nouvelle enseigne n’a été signalée à risque pour le moment.

Une enquête judiciaire ouverte

Le parquet de Saint-Quentin a ouvert une enquête judiciaire le 20 juin. Elle porte sur des chefs d’homicide involontaire, blessures involontaires, mise en danger de la vie d’autrui et tromperie sur la marchandise. L’objectif est de faire toute la lumière sur les responsabilités potentielles dans cette affaire.

Le ministre de la Santé, Yannick Neuder, a tenu à rappeler que « ce n’est pas un virus, mais une bactérie dangereuse qui peut entraîner des symptômes graves, voire mortels, surtout chez les enfants ».

Les bons réflexes à adopter

Pour limiter les risques d’intoxication alimentaire, l’ARS recommande à la population de suivre plusieurs précautions d’hygiène :

• Cuire soigneusement la viande, en particulier la viande hachée (cuisson à cœur obligatoire).
• Ne pas mélanger les ustensiles entre les aliments crus et cuits.
• Se laver les mains avant chaque manipulation d’aliments.
• Conserver les produits alimentaires à la température appropriée.

Les familles sont appelées à la vigilance, surtout si des enfants présentent des symptômes digestifs après avoir consommé de la viande. En cas de doute, il est essentiel de consulter un médecin sans attendre.

L’enquête sanitaire se poursuit, tout comme le suivi des cas. Les autorités rappellent l’importance de la prudence, en particulier dans les foyers où vivent de jeunes enfants.

L’article Intoxication alimentaire à Saint-Quentin : deux nouveaux enfants touchés, l’inquiétude grandit est apparu en premier sur Family santé.

Deux produits concernés

Selon le site gouvernemental RappelConso, les deux produits concernés sont les suivants :

• Maître Coq – Haché à cuisiner à la dinde (350 g)
  • Code-barres : 3230890051777
  • Lot : 25162
  • DLC : 24 juin 2025
  • Points de vente : Leclerc, Intermarché, Auchan, Coopérative U
• Volandrie – Haché à la dinde (350 g)
  • Code-barres : 3564706800489
  • Lot : 25162
  • DLC : 24 juin 2025
  • Points de vente : exclusivement chez Leclerc

Ne pas consommer ces produits

Il est fortement recommandé de ne pas consommer ces viandes hachées si vous en avez acheté récemment. Même en l’absence de changement d’odeur ou d’aspect, une contamination à la salmonelle peut être présente et entraîner des conséquences graves sur la santé.

Quels sont les risques ?

La salmonellose est une infection digestive causée par la bactérie Salmonella. Elle peut provoquer :

• diarrhées
• vomissements
• douleurs abdominales
• fièvre

Les symptômes apparaissent généralement dans les 6 à 72 heures après ingestion. Bien que la plupart des personnes guérissent sans traitement, les jeunes enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées ou immunodéprimées sont particulièrement vulnérables.

Que faire en cas de consommation ?

Si vous avez consommé l’un des produits concernés et que vous présentez des symptômes, il est recommandé de consulter un médecin rapidement. En revanche, en l’absence de symptômes dans les sept jours suivant la consommation, il n’y a pas lieu de s’inquiéter, selon les autorités sanitaires.

Modalités de remboursement

• Barquettes Maître Coq : remboursement possible jusqu’au 4 juillet 2025
• Barquettes Volandrie : remboursement possible jusqu’au 5 juillet 2025

Les consommateurs peuvent rapporter les produits en magasin pour obtenir un remboursement, même sans ticket de caisse.

Restez vigilants lors de vos achats alimentaires, surtout en période estivale où les risques de contamination peuvent augmenter. En cas de doute, n’hésitez pas à consulter le site officiel rappel.conso.gouv.fr pour suivre en temps réel les alertes produits.

L’article Alerte sanitaire : rappel massif de viande hachée de dinde en France pour risque de salmonelle est apparu en premier sur Family santé.

Une technique de détection innovante

Les scientifiques ont utilisé une nouvelle méthode basée sur des lasers pour détecter ces particules invisibles à l’œil nu. Ils ont testé l’eau de plusieurs marques populaires, sans toutefois les nommer, estimant que toutes les eaux en bouteille sont concernées. Leurs analyses ont révélé des concentrations impressionnantes de plastique, variant entre 110 000 et 370 000 particules par litre, dont 90 % de nanoplastiques.

Quels plastiques retrouve-t-on dans l’eau en bouteille ?

Les scientifiques ont identifié plusieurs types de plastiques dans les bouteilles testées :

• Le nylon : il proviendrait probablement des filtres en plastique utilisés pour purifier l’eau.
• Le polytéréphtalate d’éthylène (PET) : il correspond au matériau principal des bouteilles en plastique.

Quels sont les risques pour la santé ?

Les nanoplastiques, en raison de leur taille infime (moins d’un micromètre), peuvent facilement pénétrer le système sanguin et atteindre des organes vitaux comme le cerveau et le cœur. Bien que la recherche sur leurs conséquences soit encore en cours, certaines études ont déjà mis en évidence des effets nocifs, notamment sur le système reproductif et les fonctions cellulaires.

Faut-il abandonner l’eau en bouteille ?

Le co-auteur de l’étude, Beizhan Yan, suggère aux consommateurs inquiets de considérer des alternatives comme l’eau du robinet, qui contiendrait a priori moins de microplastiques. Toutefois, il rappelle qu’en situation de besoin, il est préférable de boire de l’eau en bouteille plutôt que de risquer la déshydratation.

Vers une prise de conscience et des solutions ?

Face à cette révélation, plusieurs questions se posent : comment limiter notre exposition aux nanoplastiques ? Quels systèmes de filtration domestiques peuvent réellement réduire leur présence ?

Une chose est certaine : ces résultats soulignent l’importance de réduire notre dépendance au plastique et d’explorer des solutions plus saines pour notre consommation d’eau au quotidien.

Et vous, quelle alternative utilisez-vous pour limiter votre exposition aux microplastiques ?

L’article L’eau en bouteille : une source insoupçonnée de nanoplastiques est apparu en premier sur Family santé.

Un rappel inquiétant pour certaines marques

Le 3 mars 2025, un lot de chips à la saveur sel et vinaigre de la marque Bouton d’Or, vendu chez Intermarché, a été rappelé en raison d’une teneur trop élevée en acrylamide, une substance chimique potentiellement nocive. Cet incident rappelle l’importance de bien choisir ses chips et de prêter attention aux ingrédients.

Les critères d’évaluation de 60 Millions de consommateurs

L’étude de 60 Millions de consommateurs a pris en compte plusieurs facteurs clés :

• La teneur en acides gras saturés
• La présence de colorants et d’additifs
• La quantité de sel
• Le Nutri-Score attribué à chaque référence

Les chips les plus saines du marché

Parmi les 26 références analysées, les Doritos nature se distinguent comme les chips les plus équilibrées. Elles affichent un Nutri-Score B, une faible teneur en acides gras saturés, l’absence totale de colorants et une quantité réduite d’additifs. Un choix idéal pour ceux qui veulent limiter leur consommation de substances controversées.

D’autres marques se démarquent également :

• Chips Vico : Avec un Nutri-Score C et une note de 14/20, elles possèdent une composition plus naturelle que la moyenne mais contiennent plus d’additifs que les Doritos nature.
• Chips Pouce (Auchan) : Notées également 14/20, elles sont une alternative abordable avec une composition relativement saine.

Les dangers des autres références

Si certaines marques s’en sortent bien, d’autres affichent une composition bien moins recommandable. La forte teneur en sel et en acides gras saturés est un problème récurrent, augmentant les risques de maladies cardiovasculaires. De plus, la présence moyenne de 3,8 résidus d’additifs par paquet soulève des préoccupations sur l’impact de ces produits sur la santé.

Nos conseils pour un apéro plus sain

Pour profiter des chips sans culpabilité, voici quelques recommandations :

1. Privilégiez les marques recommandées par 60 Millions de consommateurs (Doritos nature, Vico, Chips Pouce).
2. Vérifiez la teneur en sel : optez pour des références avec une quantité modérée de sodium.
3. Évitez les chips trop grasses et contenant trop d’additifs.
4. Essayez des alternatives comme les chips de légumes ou de patate douce, souvent plus saines.

Grâce à ces conseils, vous pourrez profiter de vos apéritifs en limitant les effets néfastes sur votre santé. Pensez à toujours lire les étiquettes et à faire des choix éclairés pour votre bien-être !

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Quels sont les produits concernés ?

Le rappel touche des canettes et des bouteilles en verre consignées mises en circulation depuis novembre 2024 dans plusieurs pays européens : Belgique, Pays-Bas, Grande-Bretagne, Allemagne, France et Luxembourg. Les lots concernés portent un code de production compris entre 328 GE et 338 GE (inclus). En France, seuls deux lots spécifiques ont été distribués :

• Des canettes Fuze Tea Pêche (code de production : 335 GE2)
• Des bouteilles de Coca-Cola sans sucres 1L en verre consigné (code de production : 337 GE1).

Le code de production est situé sous la canette ou sur l’étiquette des bouteilles en verre.

Pourquoi ce rappel est-il nécessaire ?

Le chlorate est un sous-produit issu de l’utilisation de désinfectants à base de chlore dans le traitement de l’eau et la transformation des aliments. Selon un avis scientifique de l’Autorité européenne de sécurité des aliments datant de 2015, une exposition à long terme à des niveaux élevés de chlorate peut poser un problème de santé, notamment chez les enfants souffrant d’une carence en iode. Bien que les analyses réalisées par Coca-Cola aient conclu que le risque associé était « très faible », l’entreprise a préféré prendre des mesures préventives.

Les mesures prises par Coca-Cola

L’embouteilleur a déjà retiré une grande partie des produits incriminés des rayons des magasins et continue d’agir pour retirer les stocks restants. Les consommateurs sont invités à ne pas consommer les produits concernés et à les rapporter au point de vente pour obtenir un remboursement. Sur son site de production à Gand (Belgique), l’entreprise procède actuellement à des tests approfondis pour identifier la source de la contamination et renforcer ses procédures de contrôle.

Une vigilance accrue en Europe

Ce rappel ne concerne pas uniquement la Belgique, où les produits ont été embouteillés, mais aussi d’autres pays européens. Coca-Cola Europacific Partners collabore avec les autorités sanitaires des différents marchés touchés pour garantir la sécurité des consommateurs. En France, bien que les lots concernés soient limités, l’entreprise a précisé que le rappel était effectué par mesure de précaution.

Ce qu’il faut retenir

• Les produits concernés sont des canettes et bouteilles en verre consignées de plusieurs marques du groupe Coca-Cola.
• Les consommateurs doivent vérifier le code de production des produits avant consommation.
• Les produits concernés peuvent être rapportés en magasin pour un remboursement.

Bien que le risque sanitaire soit jugé faible, cette situation met en lumière l’importance des contrôles de qualité dans l’industrie agroalimentaire. Si vous avez acheté l’un des produits mentionnés, soyez vigilants et n’hésitez pas à contacter le service client de Coca-Cola pour plus d’informations.

L’article Rappel de produits Coca-Cola en Europe : un taux de chlorate anormalement élevé est apparu en premier sur Family santé.

Graves complications intestinales

L’avocat de la famille a annoncé qu’une plainte allait être déposée pour « mise en danger de la vie d’autrui », « blessures involontaires » et « tromperie ».

Il est à rappeler qu’au total trois gammes sont désormais pointées du doigt : la « Fraîch’Up », le « Bella Napoli » et la « Four à Pierre ».

L’article Pizzas Buitoni contaminées par E. coli : une troisième gamme mise en cause est apparu en premier sur Family santé.

Cette sauce soja vendue partout en France fait l’objet d’une procédure de rappel. Il faudrait éviter de la consommer!

Il s’agit de la sauce soja de la marque Silverswan

voici plus d’informations concernant le lot faisant l’objet d’un rappel.

GTIN : 79809001624

Lot : 2022017483

Date de durabilité minimale : 16/08/2023

Date de début et de fin de commercialisation : du 17/01/2022 au 01/03/2022

Si vous avez l’une de ces sauces soja en votre possession, ne la consommez plus et rapportez-la en magasin afin d’obtenir un remboursement. En cas de doute, vous pouvez contacter le service consommateur, dont voici le numéro : 05 46 52 30 30.

L’article Cette sauce vendue a été rappelée, évitez de la consommer est apparu en premier sur Family santé.

Les cultures biologiques, contrairement aux cultures conventionnelles, ne doivent utiliser que peu ou pas de pesticides, accordent une plus grande attention à l’intégrité du sol et à l’ensemble de l’écosystème dans lequel la culture est cultivée.

Passer à un régime bio complet peut être difficile, mais une première étape importante consiste à savoir quels aliments sont le plus souvent contaminés et non durables.

L’Environmental Working Group (EWG) est un groupe d’activistes américain qui fait la promotion d’une alimentation saine et de la sensibilisation à l’alimentation. Chaque année, le groupe de travail électronique publie un document qui promet d’être un guide d’achat dans lequel sont répertoriés les aliments les plus contaminés et les plus sains (appelés les «aliments sales» et les «aliments propres»).

Compte tenu de la mondialisation des marchés et des techniques de culture communes, les rumeurs ne valent souvent pas seulement pour les États-Unis. Il convient de prendre en compte le fait que les analyses à partir desquelles les résultats sont extrapolés sont effectuées en lavant les fruits ou les légumes et, si possible, en enlevant la pelure, comme le ferait le consommateur: il s’agit de démontrer qu’il n’est pas toujours suffisant de rincer les fruits ou les légumes. nourriture pour ne pas ingérer de pesticides ou d’autres produits chimiques.

Voici la liste des aliments à surveiller.

Les  » dix pollués  » de 2019

épinards
fraises
chou
Nectarines
pommes
raisin
pêches
cerises
Patates
tomates
céleri
pommes de terre
Également cette année, les épinards et les fraises sont confirmés comme les aliments les plus contaminés, des données confirmées également par des associations d’autres pays. Pour ces aliments, le groupe de travail électronique recommande de choisir des aliments issus de cultures sûres et biologiques.

La question des aliments contaminés est un sujet d’actualité auquel nous accordons peut-être encore trop peu d’importance. Pourtant, les alarmes déclenchées par la FAO et l’OMS sont plus claires que jamais: 600 millions de personnes tombent malades chaque année à cause de causes attribuables à des aliments contaminés. et pour 420 000, il n’y a rien à faire.

L’article Voici les fruits et les légumes les plus contaminés par les pesticides en 2019 est apparu en premier sur Family santé.

L’article Le monde selon Subway : reportage choc sur le mastodonte du sandwich est apparu en premier sur Family santé.