Des épingles découvertes dans des friandises d’enfants

Tout a commencé le 15 octobre, après la Homecoming Parade, un événement festif réunissant les lycéens de la petite ville de Santa Fe, près de Houston. Plusieurs parents ont contacté les autorités après avoir trouvé de minuscules épingles métalliques glissées dans des bonbons collectés par leurs enfants.

Le département de police de Santa Fe (SFPD) a confirmé avoir retrouvé ces objets dans plusieurs foyers.

« Les agents du SFPD se sont rendus dans au moins trois maisons et ont confirmé la présence d’épingles à coudre dans les bonbons distribués lors du défilé », a précisé la police sur Facebook.

Heureusement, aucun enfant n’a été blessé. Mais l’affaire a semé l’inquiétude dans toute la communauté, alors que les préparatifs d’Halloween battent leur plein. Une enquête est en cours pour déterminer s’il s’agit d’un acte malveillant ou d’un canular de mauvais goût.

Une enquête en cours et un appel à la prudence

Face à cette découverte, les autorités locales appellent les habitants à redoubler de vigilance.
Toute personne découvrant un bonbon suspect est invitée à contacter le service de police de Santa Fe au 409-925-2000.

De son côté, la Food and Drug Administration (FDA) rappelle quelques consignes simples mais essentielles pour garantir la sécurité des enfants pendant Halloween :

• Ne jamais accepter ni consommer de friandises non emballées commercialement.
• Inspecter chaque bonbon avant de le donner à un enfant.
• Vérifier les emballages déchirés, décolorés ou présentant de petits trous d’aiguille.
• Jeter immédiatement tout bonbon suspect.

Une piqûre de rappel avant la fête

Si les cas confirmés de « bonbons piégés » restent extrêmement rares, cette affaire rappelle à tous les parents qu’un petit contrôle avant la dégustation peut éviter bien des frayeurs.

Halloween est censé être un moment de plaisir et de partage. En prenant quelques secondes pour vérifier les friandises, chacun peut s’assurer que la soirée reste ce qu’elle doit être : une fête pleine de rires, de déguisements et de bonbons… sans mauvaise surprise.

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Un prix bas qui cache une autre réalité

En France, une bouteille d’un litre de Coca-Cola classique se vend généralement entre 1,30 € et 1,50 €. Pourtant, dans certains supermarchés ou magasins de déstockage, on peut en trouver à moins d’un euro. Une aubaine pour le portefeuille… mais pas forcément pour la santé.

Ces produits à bas prix ne sont pas toujours issus de la production française. Ils proviennent souvent d’Europe de l’Est ou d’Asie, où la recette et les ingrédients ne sont pas identiques à ceux utilisés dans l’usine Coca-Cola France.
Résultat : si le goût peut sembler similaire, la composition chimique du soda n’est pas la même.

Le sucre remplacé par du sirop de maïs

La principale différence réside dans l’ingrédient sucrant.
Alors qu’en France, le Coca-Cola est préparé avec du sucre blanc issu de la betterave, certaines versions importées utilisent du sirop de maïs, également appelé sirop de glucose-fructose.

Pourquoi ce choix ?
Tout simplement parce que le sirop de maïs coûte beaucoup moins cher à produire que le sucre classique. Ce qui permet à la marque — et aux distributeurs — de proposer des prix plus attractifs.
Mais cette économie financière pourrait avoir un coût bien plus lourd… sur la santé.

Un ingrédient controversé

Le sirop de glucose-fructose est déjà largement utilisé dans les boissons et aliments transformés. Son pouvoir sucrant est plus élevé, mais il a aussi la particularité d’être mal métabolisé par l’organisme.

Comme l’explique Anne-Françoise Burnol, directrice de recherche au CNRS, “le glucose, dont la concentration sanguine est contrôlée par l’insuline, est utilisable par l’ensemble des tissus de l’organisme, tandis que le fructose n’est métabolisé que par le foie.”
Ce processus entraîne à long terme une accumulation de graisses dans le foie, une hausse du cholestérol et une augmentation des triglycérides dans le sang.

En clair, une consommation régulière de boissons contenant ce type de sirop favorise les maladies métaboliques, comme la stéatose hépatique (foie gras non alcoolique), voire le diabète de type 2.

Comment reconnaître les bouteilles concernées ?

Le problème, c’est que ces bouteilles ressemblent à s’y méprendre aux versions classiques.
Pour les distinguer, il faut lire attentivement l’étiquette, notamment la liste des ingrédients et le pays d’origine. Si vous y voyez les mentions “sirop de glucose-fructose” ou “HFCS (High Fructose Corn Syrup)”, méfiance : il s’agit d’un Coca-Cola importé, souvent moins cher, mais potentiellement plus dangereux pour la santé.

En conclusion

Acheter du Coca-Cola à petit prix peut sembler être une bonne affaire, surtout en période d’inflation. Mais derrière ces quelques centimes économisés se cache parfois une qualité d’ingrédients inférieure, susceptible d’avoir des effets néfastes sur le long terme.

En somme, mieux vaut boire moins, mais mieux.
Et si vous tenez à votre Coca, privilégiez les bouteilles issues du marché français — ou, encore mieux, optez pour des alternatives maison moins sucrées et sans additifs.

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Produits concernés

• Marque : Eco+
• Produit : Grignottes de poulet saveur mexicaine – sachets de 250 g
• GTIN : 3450970103428
• Lot : B 25261
• Date limite de consommation (DLC) : jusqu’au 7 octobre 2025
• Période de commercialisation : du 19 au 23 septembre 2025

Si vous possédez ce produit, ne le consommez pas. Rapportez-le immédiatement au point de vente pour obtenir un remboursement ou contactez le service consommateur au 0 800 45 32 78.

Quels sont les risques pour la santé ?

La listeria peut provoquer la listériose, une infection qui se manifeste généralement par de la fièvre, des maux de tête ou des courbatures. Le délai d’incubation peut aller jusqu’à huit semaines après ingestion.

Certaines personnes doivent être particulièrement vigilantes :

• Femmes enceintes, en raison de possibles complications maternelles ou fœtales
• Personnes âgées
• Personnes immunodéprimées

En cas de symptômes, il est recommandé de consulter rapidement un médecin en mentionnant la consommation du produit concerné.

Rappelons l’essentiel

• Ne consommez pas ces grignottes de poulet Eco+ si vous les avez achetées récemment chez Leclerc.
• Rapportez-les en magasin pour un remboursement.
• Surveillez votre santé pendant plusieurs semaines après ingestion éventuelle.

Restez attentifs aux informations de Rappel Conso pour protéger votre santé et celle de vos proches.

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Un métal lourd pas si discret

Le cadmium est naturellement présent dans les sols et s’infiltre dans les végétaux. Problème : la fève de cacao a la particularité de concentrer ce toxique plus que d’autres cultures. Résultat, le chocolat – sous toutes ses formes (tablettes, biscuits, poudres, céréales chocolatées) – peut contribuer à une exposition significative.

Pour les enfants, plus vulnérables, le risque est particulièrement marqué. Un simple petit-déjeuner composé de biscuits, céréales et chocolat chaud peut déjà représenter près de la moitié de la dose maximale quotidienne tolérable de cadmium pour un enfant de 10 ans.

Bio ou pas bio : quelle différence ?

On pourrait croire que le bio protège davantage. Pourtant, les analyses montrent que les chocolats issus de l’agriculture biologique contiennent en moyenne plus de cadmium que ceux issus de l’agriculture conventionnelle.

En cause : l’origine des fèves. Celles d’Amérique du Sud, plus fréquentes dans le bio, proviennent de sols naturellement riches en cadmium. Mais attention, le bio reste un choix important : il garantit de meilleures conditions pour l’environnement, les producteurs et les communautés locales.

Modération plutôt qu’interdiction

Faut-il bannir le chocolat de nos vies ? Certainement pas. La clé réside dans la modération. Réduire la place du chocolat dans notre alimentation permet non seulement de limiter l’exposition au cadmium, mais aussi de diminuer la pression écologique exercée par la culture intensive du cacao sur les forêts tropicales.

Redécouvrir d’autres douceurs

Bonne nouvelle : le chocolat n’est pas le seul capable de régaler nos papilles. Fruits frais ou secs, miel, dattes, épices comme la cannelle ou la vanille… Les alternatives naturelles ne manquent pas pour combler nos envies de sucré.

Le chocolat n’est donc pas un ennemi, mais un plaisir à savourer avec discernement. Un carré de temps en temps, oui. Tous les jours, un peu moins. La gourmandise reste une alliée, à condition de ne pas en abuser.

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Un drame familial qui bouleverse une communauté

Les faits remontent à plusieurs jours. Les deux enfants d’une famille saint-quentinoise ont été hospitalisés après avoir consommé de la viande contaminée. Si le garçon a pu être soigné, sa grande sœur, âgée de 12 ans, est décédée des suites de l’intoxication.

Face à cette perte tragique, les parents ont pris une décision forte : déposer une plainte contre l’État auprès du tribunal administratif d’Amiens. Ils demandent réparation et souhaitent que les responsabilités soient clairement établies.

Une contamination à la bactérie E. coli

L’intoxication a été causée par la bactérie Escherichia coli, une bactérie particulièrement dangereuse chez les enfants. Selon les autorités sanitaires, 18 cas ont été recensés dans la région, dont huit ont évolué vers un syndrome hémolytique et urémique (SHU), une complication rénale sévère pouvant nécessiter une dialyse.

Ce genre de contamination reste rare, mais ses conséquences sont souvent dramatiques. Les autorités ont donc immédiatement réagi en fermant plusieurs boucheries et rayons de supermarchés à Saint-Quentin, le temps de comprendre comment la bactérie a pu se propager.

Une enquête en cours pour faire toute la lumière

Parallèlement à la plainte administrative déposée par la famille, une enquête judiciaire a été ouverte. L’objectif est de déterminer si des manquements dans les contrôles sanitaires ont pu permettre à cette viande contaminée de se retrouver dans les assiettes.

L’avocat de la famille évoque déjà de possibles défaillances dans les systèmes de sécurité alimentaire. Il espère que cette action en justice permettra de faire évoluer les pratiques de contrôle et de prévenir de nouvelles tragédies.

Une plainte pour obtenir justice… et prévenir d’autres drames

Au-delà de la douleur immense, la démarche de cette famille vise aussi à protéger les autres. En demandant réparation, les parents veulent que l’on reconnaisse les failles du système de contrôle alimentaire. Leur combat pourrait permettre de renforcer la sécurité sanitaire dans les circuits de distribution, pour que plus jamais une telle tragédie ne se reproduise.

Ce drame nous rappelle à quel point la vigilance est essentielle lorsqu’il s’agit d’alimentation, en particulier pour les enfants. En tant que parents, nous avons le droit d’exiger des produits sûrs et des contrôles rigoureux. Il en va de la santé – et parfois de la vie – de nos enfants.

L’article Intoxication alimentaire dans l’Aisne : une fillette décède, sa famille porte plainte contre l’État est apparu en premier sur Family santé.

Des melons contaminés par un pesticide puissant

Les produits concernés sont les melons « boule de miel » (catégorie I), de la marque espagnole Juanjor, conditionnés en colis de douze pièces. Ces fruits ont été commercialisés entre le 12 et le 16 juin 2025 dans plusieurs enseignes françaises bien connues : Leclerc, Carrefour, Intermarché, Franprix et Coccinelle.

Les régions concernées par cette alerte sont principalement la Normandie, le Centre-Val de Loire et l’Île-de-France.

Le motif du rappel ? Une présence excessive de flonicamide, un insecticide utilisé pour lutter contre les pucerons. Bien qu’autorisé en agriculture depuis 2005, ce produit chimique ne doit pas dépasser certaines limites pour garantir la sécurité du consommateur. Or, dans le cas présent, ces seuils ont été dépassés, posant un risque potentiel pour la santé.

Que faire si vous avez acheté ce produit ?

Les autorités sanitaires, via le site officiel RappelConso, recommandent de ne surtout pas consommer ces melons. Il est conseillé de les rapporter au point de vente, où ils seront remboursés, ou de contacter directement le magasin pour obtenir plus d’informations.

Une vigilance de plus en plus nécessaire

Ce nouveau rappel souligne une fois de plus l’importance de rester attentif aux alertes de sécurité alimentaire. Même les fruits, perçus comme des aliments sains et naturels, peuvent faire l’objet de traitements phytosanitaires excessifs, en particulier dans certaines productions intensives à l’étranger.

Il est donc essentiel, lorsque c’est possible, de privilégier les produits locaux et de saison, issus d’une agriculture raisonnée, afin de limiter les risques pour la santé.

Pour rester informé des rappels en cours, n’hésitez pas à consulter régulièrement le site rappel.conso.gouv.fr.

L’article Rappel de consommation : ces melons vendus en grande surface ne doivent plus être consommés est apparu en premier sur Family santé.

Une fillette décédée, d’autres enfants sous dialyse

La semaine dernière, une fillette de 12 ans a succombé à une forme grave d’infection provoquée par la bactérie Escherichia coli (E. coli). D’après les dernières informations de l’Agence régionale de santé (ARS) et de la préfecture, huit enfants ont développé un syndrome hémolytique et urémique (SHU), une complication sévère souvent associée à cette bactérie. Six d’entre eux sont actuellement sous dialyse.

Les deux nouveaux cas détectés ce lundi 23 juin n’ont heureusement pas présenté de formes graves. Les enfants touchés, âgés de quelques mois à 13 ans, ont été pris en charge pour des troubles digestifs sérieux : diarrhées sanglantes, vomissements, douleurs abdominales aiguës.

La viande en ligne de mire

Tous les cas recensés semblent avoir un point commun : la consommation récente de viande, probablement insuffisamment cuite. La bactérie E. coli a été identifiée comme étant à l’origine des infections. Par mesure de précaution, six boucheries de Saint-Quentin ont été temporairement fermées. Des analyses sont en cours pour déterminer l’origine exacte de la contamination.

Aucune nouvelle enseigne n’a été signalée à risque pour le moment.

Une enquête judiciaire ouverte

Le parquet de Saint-Quentin a ouvert une enquête judiciaire le 20 juin. Elle porte sur des chefs d’homicide involontaire, blessures involontaires, mise en danger de la vie d’autrui et tromperie sur la marchandise. L’objectif est de faire toute la lumière sur les responsabilités potentielles dans cette affaire.

Le ministre de la Santé, Yannick Neuder, a tenu à rappeler que « ce n’est pas un virus, mais une bactérie dangereuse qui peut entraîner des symptômes graves, voire mortels, surtout chez les enfants ».

Les bons réflexes à adopter

Pour limiter les risques d’intoxication alimentaire, l’ARS recommande à la population de suivre plusieurs précautions d’hygiène :

• Cuire soigneusement la viande, en particulier la viande hachée (cuisson à cœur obligatoire).
• Ne pas mélanger les ustensiles entre les aliments crus et cuits.
• Se laver les mains avant chaque manipulation d’aliments.
• Conserver les produits alimentaires à la température appropriée.

Les familles sont appelées à la vigilance, surtout si des enfants présentent des symptômes digestifs après avoir consommé de la viande. En cas de doute, il est essentiel de consulter un médecin sans attendre.

L’enquête sanitaire se poursuit, tout comme le suivi des cas. Les autorités rappellent l’importance de la prudence, en particulier dans les foyers où vivent de jeunes enfants.

L’article Intoxication alimentaire à Saint-Quentin : deux nouveaux enfants touchés, l’inquiétude grandit est apparu en premier sur Family santé.

Deux produits concernés

Selon le site gouvernemental RappelConso, les deux produits concernés sont les suivants :

• Maître Coq – Haché à cuisiner à la dinde (350 g)
  • Code-barres : 3230890051777
  • Lot : 25162
  • DLC : 24 juin 2025
  • Points de vente : Leclerc, Intermarché, Auchan, Coopérative U
• Volandrie – Haché à la dinde (350 g)
  • Code-barres : 3564706800489
  • Lot : 25162
  • DLC : 24 juin 2025
  • Points de vente : exclusivement chez Leclerc

Ne pas consommer ces produits

Il est fortement recommandé de ne pas consommer ces viandes hachées si vous en avez acheté récemment. Même en l’absence de changement d’odeur ou d’aspect, une contamination à la salmonelle peut être présente et entraîner des conséquences graves sur la santé.

Quels sont les risques ?

La salmonellose est une infection digestive causée par la bactérie Salmonella. Elle peut provoquer :

• diarrhées
• vomissements
• douleurs abdominales
• fièvre

Les symptômes apparaissent généralement dans les 6 à 72 heures après ingestion. Bien que la plupart des personnes guérissent sans traitement, les jeunes enfants, les femmes enceintes, les personnes âgées ou immunodéprimées sont particulièrement vulnérables.

Que faire en cas de consommation ?

Si vous avez consommé l’un des produits concernés et que vous présentez des symptômes, il est recommandé de consulter un médecin rapidement. En revanche, en l’absence de symptômes dans les sept jours suivant la consommation, il n’y a pas lieu de s’inquiéter, selon les autorités sanitaires.

Modalités de remboursement

• Barquettes Maître Coq : remboursement possible jusqu’au 4 juillet 2025
• Barquettes Volandrie : remboursement possible jusqu’au 5 juillet 2025

Les consommateurs peuvent rapporter les produits en magasin pour obtenir un remboursement, même sans ticket de caisse.

Restez vigilants lors de vos achats alimentaires, surtout en période estivale où les risques de contamination peuvent augmenter. En cas de doute, n’hésitez pas à consulter le site officiel rappel.conso.gouv.fr pour suivre en temps réel les alertes produits.

L’article Alerte sanitaire : rappel massif de viande hachée de dinde en France pour risque de salmonelle est apparu en premier sur Family santé.

Une technique de détection innovante

Les scientifiques ont utilisé une nouvelle méthode basée sur des lasers pour détecter ces particules invisibles à l’œil nu. Ils ont testé l’eau de plusieurs marques populaires, sans toutefois les nommer, estimant que toutes les eaux en bouteille sont concernées. Leurs analyses ont révélé des concentrations impressionnantes de plastique, variant entre 110 000 et 370 000 particules par litre, dont 90 % de nanoplastiques.

Quels plastiques retrouve-t-on dans l’eau en bouteille ?

Les scientifiques ont identifié plusieurs types de plastiques dans les bouteilles testées :

• Le nylon : il proviendrait probablement des filtres en plastique utilisés pour purifier l’eau.
• Le polytéréphtalate d’éthylène (PET) : il correspond au matériau principal des bouteilles en plastique.

Quels sont les risques pour la santé ?

Les nanoplastiques, en raison de leur taille infime (moins d’un micromètre), peuvent facilement pénétrer le système sanguin et atteindre des organes vitaux comme le cerveau et le cœur. Bien que la recherche sur leurs conséquences soit encore en cours, certaines études ont déjà mis en évidence des effets nocifs, notamment sur le système reproductif et les fonctions cellulaires.

Faut-il abandonner l’eau en bouteille ?

Le co-auteur de l’étude, Beizhan Yan, suggère aux consommateurs inquiets de considérer des alternatives comme l’eau du robinet, qui contiendrait a priori moins de microplastiques. Toutefois, il rappelle qu’en situation de besoin, il est préférable de boire de l’eau en bouteille plutôt que de risquer la déshydratation.

Vers une prise de conscience et des solutions ?

Face à cette révélation, plusieurs questions se posent : comment limiter notre exposition aux nanoplastiques ? Quels systèmes de filtration domestiques peuvent réellement réduire leur présence ?

Une chose est certaine : ces résultats soulignent l’importance de réduire notre dépendance au plastique et d’explorer des solutions plus saines pour notre consommation d’eau au quotidien.

Et vous, quelle alternative utilisez-vous pour limiter votre exposition aux microplastiques ?

L’article L’eau en bouteille : une source insoupçonnée de nanoplastiques est apparu en premier sur Family santé.

Un rappel inquiétant pour certaines marques

Le 3 mars 2025, un lot de chips à la saveur sel et vinaigre de la marque Bouton d’Or, vendu chez Intermarché, a été rappelé en raison d’une teneur trop élevée en acrylamide, une substance chimique potentiellement nocive. Cet incident rappelle l’importance de bien choisir ses chips et de prêter attention aux ingrédients.

Les critères d’évaluation de 60 Millions de consommateurs

L’étude de 60 Millions de consommateurs a pris en compte plusieurs facteurs clés :

• La teneur en acides gras saturés
• La présence de colorants et d’additifs
• La quantité de sel
• Le Nutri-Score attribué à chaque référence

Les chips les plus saines du marché

Parmi les 26 références analysées, les Doritos nature se distinguent comme les chips les plus équilibrées. Elles affichent un Nutri-Score B, une faible teneur en acides gras saturés, l’absence totale de colorants et une quantité réduite d’additifs. Un choix idéal pour ceux qui veulent limiter leur consommation de substances controversées.

D’autres marques se démarquent également :

• Chips Vico : Avec un Nutri-Score C et une note de 14/20, elles possèdent une composition plus naturelle que la moyenne mais contiennent plus d’additifs que les Doritos nature.
• Chips Pouce (Auchan) : Notées également 14/20, elles sont une alternative abordable avec une composition relativement saine.

Les dangers des autres références

Si certaines marques s’en sortent bien, d’autres affichent une composition bien moins recommandable. La forte teneur en sel et en acides gras saturés est un problème récurrent, augmentant les risques de maladies cardiovasculaires. De plus, la présence moyenne de 3,8 résidus d’additifs par paquet soulève des préoccupations sur l’impact de ces produits sur la santé.

Nos conseils pour un apéro plus sain

Pour profiter des chips sans culpabilité, voici quelques recommandations :

1. Privilégiez les marques recommandées par 60 Millions de consommateurs (Doritos nature, Vico, Chips Pouce).
2. Vérifiez la teneur en sel : optez pour des références avec une quantité modérée de sodium.
3. Évitez les chips trop grasses et contenant trop d’additifs.
4. Essayez des alternatives comme les chips de légumes ou de patate douce, souvent plus saines.

Grâce à ces conseils, vous pourrez profiter de vos apéritifs en limitant les effets néfastes sur votre santé. Pensez à toujours lire les étiquettes et à faire des choix éclairés pour votre bien-être !

L’article Les chips les plus saines selon 60 Millions de consommateurs : quelles marques privilégier ? est apparu en premier sur Family santé.