Yam, auteur sur Family santé https://familysante.com/author/yam Santé, famille, bien être Fri, 26 Aug 2022 09:02:35 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=6.7.2 https://familysante.com/wp-content/uploads/2016/12/cropped-Wear-32x32.png Yam, auteur sur Family santé https://familysante.com/author/yam 32 32 Asthme : définition, symptômes, facteurs et personnes à risque, préventions et solutions naturelles https://familysante.com/asthme-definition-symptomes-facteurs-et-personnes-a-risque-preventions-et-solutions-naturelles-2.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=asthme-definition-symptomes-facteurs-et-personnes-a-risque-preventions-et-solutions-naturelles-2 https://familysante.com/asthme-definition-symptomes-facteurs-et-personnes-a-risque-preventions-et-solutions-naturelles-2.html#respond Mon, 10 Feb 2014 10:42:14 +0000 http://familysante.com/?p=202 Définition L’asthme est une maladie respiratoire qui se caractérise par une affectation, une inflammation des bronches. On retrouve dans l’asthme : une inflammation de l’épithélium bronchique, avec notamment un gonflement (œdème) une bronchoconstriction : contraction des muscles lisses bronchiques, ou spasme une hypersécrétion de mucus. Tout ceci entraîne une obstruction partielle des bronches, donc une […]

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Définition

L’asthme est une maladie respiratoire qui se caractérise par une affectation, une inflammation des bronches. On retrouve dans l’asthme :

  • une inflammation de l’épithélium bronchique, avec notamment un gonflement (œdème)
  • une bronchoconstriction : contraction des muscles lisses bronchiques, ou spasme
  • une hypersécrétion de mucus.

Tout ceci entraîne une obstruction partielle des bronches, donc une augmentation des résistances des voies aériennes et donc une augmentation du travail respiratoire. Cela engendre des crises pendant lesquelles le calibre des voies respiratoires se rétrécit. Dans les cas les plus graves, la personne peut jusqu’à ne plus pouvoir parler.

Cette inflammation permanente est souvent d’origine allergique.

Symptômes

Parmi les manifestations les plus courantes de ce problème de santé, on trouve :

  • une difficulté respiratoire
  • un sifflement à l’expiration et/ou à l’inspiration (on parle de respiration sibilante)
  • Tachycardie

Pendant les crises, la liste des symptômes s’allonge : sueurs, anxiété, augmentation du rythme cardiaque.

Asthme

Facteurs et personnes à risque

Certaines personnes sont davantage prédisposées aux crises d’asthme comme par exemple :

  • Les femmes âgées et les enfants
  • Les personnes ayant des antécédents familiaux d’allergies ou d’asthme
  • Les personnes ayant une prédisposition génétique

Aussi certains facteurs peuvent être à l’origine de l’asthme :

  • Infections virales des voies respiratoires (rhume, bronchite, sinusite, etc.).
  • Allergies alimentaires
  • Effort physique
  • Exposition à des allergènes aériens (poussières, pollen, poils d’animaux, acariens)
  • Inhalation de polluants (gaz d’échappement, pollution atmosphérique)
  • Tabagisme
  • Prise de certains médicaments (acétaminophène, aspirine et autres médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens).
  • Réactions émotives fortes (rires, pleurs, colère, excitation)

Préventions

Dans votre habitation, faites attention à l’humidité ainsi qu’aux poils d’animaux, à la poussière, aux pollens et autres irritants respiratoires. Si vous êtes allergique aux acariens, reportez-vous à la rubrique « acariens ».

Soyez également vigilant à la prise de certains médicaments comme l’acide acétylsalicylique ainsi que les médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens. Ils peuvent parfois générer des crises. C’est pour cela qu’il est toujours important de préciser à son médecin que l’on est sujet aux crises d’asthme. Il est recommandé de ne pas fumer mais également d’éviter le plus possible les endroits enfumés. Enfin, la pratique régulière d’exercices de respiration est recommandée puisqu’elle renforce les poumons, le coeur et les muscles. De plus, cela diminue le stress.

Solutions naturelles

La quercétine dans votre alimentation peut avoir des effets bénéfiques. La quercétine est un flavonoïde issu de végétaux : herbes, fruits et légumes. Elle peut avoir des effets antiallergiques, anti-inflammatoires et anti-oxydants. Pensez donc à favoriser les pommes, les oignons, le thé, les baies, le chou, le chou-rave, le brocoli, le chou-fleur, plusieurs graines et noix. Attention toutefois, certaines personnes peuvent être allergiques à l’oignon, et dans ce cas, il doit être évité.

Les Vitamines C et E auraient des effets bénéfiques, antioxydants notamment dans le cas de l’asthme dû à l’effort. En effet, il semble que les asthmatiques aient des carences en vitamines C et E. On reconnaît également des vertus anti-inflammatoires aux feuilles lierre grimpant. Le lierre faciliterait l’expulsion du mucus et diminuerait les spasmes bronchiques.

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La stimulation de l’ovulation https://familysante.com/la-stimulation-de-lovulation.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=la-stimulation-de-lovulation https://familysante.com/la-stimulation-de-lovulation.html#respond Tue, 22 Jan 2013 13:19:29 +0000 http://familysante.com/?p=136 Les différentes modalités de la stimulation ovarienne sont les traitements les plus fréquemment utilisés en infertilité quelque soit son type. Si vous bénéficiez d’une stimulation de l’ovulation grâce à un traitement hormonal, vous devez en connaître les modalités afin de suivre au mieux les différentes phases et ainsi augmenter la probabilité d’une grossesse. Pourquoi une […]

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Les différentes modalités de la stimulation ovarienne sont les traitements les plus fréquemment utilisés en infertilité quelque soit son type.
Si vous bénéficiez d’une stimulation de l’ovulation grâce à un traitement hormonal, vous devez en connaître les modalités afin de suivre au mieux les différentes phases et ainsi augmenter la probabilité d’une grossesse.

Pourquoi une stimulation de l’ovulation ?

L’utilisation des stimulateurs de l’ovulation est relativement bien codifiée, notamment dans les anovulations (pas d’ovulation) ou dans les dysovulations (ovulations rares ou de mauvaise qualité), en revanche, chez les femmes normo ovulantes ou dans les stérilités inexpliquées, il n’en est pas de même. Cependant, lorsque l’ovulation est présumée normale initialement, la stimulation ovarienne est fréquemment utilisée de façon empirique dans le but de corriger d’éventuelles anomalies occultes et surtout d’augmenter le nombre d’ovocytes disponibles pour la fécondation et ce, notamment en cas :

  • d’endométriose traitée ou non traitée,
  • d’infertilité cervicale,
  • d’infertilité inexpliquée,
  • d’hypofertilité masculine.

La stimulation de l’ovulation consiste à accroître la production par les ovaires, d’un seul ou d’un petit nombre de follicules matures. Elle joue, par ce biais, également sur la croissance de l’endomètre et sur la glaire cervicale .

Quels sont les produits utilisés ?

Deux grands types de traitements sont, aujourd’hui utilisés :

  • le traitement par voie orale qui va stimuler la FSH et la LH, avec comme corollaire la stimulation des ovaires, couplée ou non à des traitements estrogéniques et/ou progestatifs,
  • le traitement par voie injectable en sous cutanée (SC) ou intra musculaire (IM) qui stimule directement les ovaires.

Ces 2 grands types de thérapeutiques peuvent être associés à l’injection d’une autre hormone ( HCG) au moment où le ou les follicules auront atteints une taille suffisante et lorsque le taux d’estradiol sera suffisant. Des progestatifs peuvent être associés en deuxième partie de cycle. L’argument principal est la classique association d’un trouble de l’ovulation et d’une insuffisance du corps jaune. Mais en général, l’insuffisance du corps jaune est le témoin d’une mauvaise qualité de la phase folliculaire que la prescription isolée de progestatifs en deuxième partie de cycle tend à masquer.

D’autres thérapeutiques peuvent être utilisées :

  • la pompe à LH-RH en cas d’anovulation d’origine hypothalamique. Il s’agit d’administrer de façon pulsatile en IV ou en SC de faible dose de LH-RH permettant de rétablir un cycle à peu prés physiologique et de façon durable,
  • le traitement des hyperprolactinémies, et aux rares exceptions des macro adénomes hypophysaires, l’induction de l’ovulation ne repose que sur des traitements médicaux . L’adjonction d’autres inducteurs de l’ovulation est souvent nécessaire,
  • les agonistes ou les antagonistes de la LH-RH.

Les doses requises sont fonction de chaque femme, et variable chez la même femme d’un cycle à l’autre. Il est toujours préférable de commencer par des doses faibles, quitte à n’avoir aucune réponse lors des premiers cycles car « tout est une question de dosages ».

D’autres thérapeutiques peuvent être utilisée tel que l’aspirine, les corticoïdes, les antibiotiques …
Seul le contexte définira les substances à utiliser.

Comment est surveillée la stimulation hormonale ?

C’est le monitorage de l’ovulation qui s’effectue par des dosages hormonaux et par des échographies permettant de vérifier l’efficacité du traitement , d’adapter les doses thérapeutiques (éviter le développement de plusieurs follicules) et éventuellement d’éviter la survenue d’effets secondaires (hyperstimulation) .

L’échographie, par voie abdominale ou vaginale, permet de compter le nombre de follicules, de chiffrer la taille de chaque follicule, et d’apprécier l’épaisseur de l’endomètre (à la date de l’ovulation, son épaisseur doit être au moins de 8 mm). Elle est classiquement effectuée vers le 11éme jour du cycle.

Chaque follicule renferme généralement un ovocyte. Dés qu’il atteint 17/18 mm de diamètre, il est en phase de maturité .

Les dosages hormonaux, notamment les dosages d’estrogènes et de LH permettent de suivre la sécrétion folliculaire (aux alentours de 150 à 200 pg/ml au moment de l’ovulation par follicule mâture). La progestérone peut être également dosée dans le sang, 7 jours après l’ovulation .

L’injection d’HCG (gonadotrophine chorionique humaine) : Elle n’est pas systématique, mais peut aider le follicule dominant à se rompre et à libérer l’ovocyte qu’il contient. L’ovulation se produit 36 à 48 heures après son injection (connaître les symptômes de l’ovulation est primordial). A vous de jouer …

Quels sont les effets secondaires ?

Ils sont peu fréquents, peu graves et peu importants comme des nausées, des maux de tête, des ballonnements abdominaux, des intolérances digestives, une nervosité accrue, un état de fatigue …
Des réactions locales au point d’injection ont été observées.
Les troubles visuels occasionnés par les traitements oraux, imposent l’arrêt du traitement.
Aucun cas d’intoxication aigue n’a été rencontrée. La formation de kystes ovariens fonctionnels est assez fréquente et ces kystes disparaissent lors des cycles suivants.
Dans tous les cas, il est possible de consulter la notice du produit ou d’en informer son médecin .
La complication essentielle à éviter est l’hyperstimulation ovarienne qui se manifeste par des troubles d’importance variable, allant de la simple douleur avec ballonnement abdominal, nausées, malaises, fièvre au syndrome d’ascite avec complication pulmonaire imposant un repos et une hospitalisation.

Le risque d’obtenir une grossesse multiple est possible. Toute femme doit le savoir dès qu’elle débute une stimulation hormonale. Ce risque est fonction du nombre de follicules obtenus lors de la stimulation. Le traitement doit être interrompu s’il existe plus de trois follicules matures en fin de stimulation, l’injection d’HCG ne sera pas de mise, de même que les rapports non protégés seront évités.

Consultez votre médecin devant tout signe inhabituel.

Quelles sont les chances d’obtenir une grossesse ?

Il est impossible d’évaluer les chances de voir naître un Bébé après un traitement. Tout est fonction du bilan pratiqué, du diagnostic effectué, du traitement proposé et de son observance, de la réponse au traitement, de l’age du couple, de l’existence de causes associées, de la qualité de l’ovulation et du sperme.

En règle générale, il est nécessaire d’effectuer entre 4 à 8 cycles de stimulations pour d’une part être sûr d’une ovulation correcte et d’autre part obtenir une grossesse, en l’absence d’autres facteurs intercurrents (15 à 30% de chances par cycle ovulatoire). A signaler, aussi que les traitements se potentialisent au fur et à mesure.

D’autre part, le traitement n’élimine pas les complications naturelles de la grossesse que sont les grossesses extra utérines, les fausses couches ou les anomalies malformatives et génétiques.

La majorité des études montrent qu’en cas d’infertilité l’association stimulation de l’ovulation et insémination est plus efficace que la stimulation de l’ovulation suivie de rapports sexuels (surtout si ceux-ci, par principe et obligation sont programmés).

En cas d’échecs de traitements, il est nécessaire de revoir le dossier avec le médecin – de nouvelles orientations thérapeutiques sont toujours possibles.
Evitez le vagabondage médical.

Quelles sont les démarches administratives ?

La stimulation de l’ovulation, à ce jour, n’est pas considérée comme une technique de procréation médicalement assistée. Il n’est pas nécessaire d’obtenir le consentement du couple.

Seule une exonération du ticket modérateur est possible après demande à la Sécurité Sociale d’une prise en charge à 100% pour tous les examens nécessaires au diagnostic et au traitement. La notification de l’exonération du ticket modérateur est valable en général un an. Elle doit être renouvelée un mois avant la date d’expiration.

En cas de dépassement d’honoraires par le praticien, les frais sont à votre charge ou à la charge de votre mutuelle.

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Le syndrome prémenstruel : on peut agir ! https://familysante.com/le-syndrome-premenstruel-on-peut-agir.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=le-syndrome-premenstruel-on-peut-agir https://familysante.com/le-syndrome-premenstruel-on-peut-agir.html#respond Fri, 07 Dec 2012 13:30:52 +0000 http://familysante.com/?p=77 Le syndrome prémenstruel touche 3 femmes sur 4, c’est énorme, et ses symptômes peuvent se manifester à des degrés divers.Le syndrome prémenstruel (SPM) survient avant les règles et a tendance à disparaître avec leur arrivée.Il touche plus particulièrement les femmes dans la vingtaine et la trentaine.Chez environ 30 à 40 % des femmes, la douleur […]

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Le syndrome prémenstruel touche 3 femmes sur 4, c’est énorme, et ses symptômes peuvent se manifester à des degrés divers.Le syndrome prémenstruel (SPM) survient avant les règles et a tendance à disparaître avec leur arrivée.Il touche plus particulièrement les femmes dans la vingtaine et la trentaine.Chez environ 30 à 40 % des femmes, la douleur physique et le stress émotionnel sont suffisamment sérieux pour perturber leur routine et leurs activités quotidiennes.Quelle que soit leur importance, vous pouvez les empêcher de prendre le contrôle sur votre vie.Différents traitements et un mode de vie équilibré peuvent vous aider à réduire ou à mieux gérer les symptômes.

Les symptômes :

Le syndrome prémenstruel est une véritable collection de symptômes qu’on pense liés aux fluctuations hormonales.Plus d’une centaine de symptômes sont associés au SPM et ils varient d’une femme à l’autre, allant de l’inconfort à des manifestations plus sévères.Le plus souvent, ce sont des sensations de gonflement et des seins douloureux, une prise de poids passagère, de l’oedème, des douleurs au ventre ou au dos, accompagnées d’irritabilité ou de déprime passagère.

Les causes

Plusieurs hypothèses ont été avancées pour tenter d’expliquer le SPM.Bien qu’on ignore la cause exacte, plusieurs théories existent sur les facteurs pouvant contribuer à son développement : déséquilibre hormonal, déficience en calcium et en certaines vitamines, mauvaise alimentation.Le plus important est le changement hormonal, car les symptômes du SPM apparaissent et disparaissent selon les fluctuations hormonales, et disparaissent durant la grossesse et à la ménopause.Certains médecins pensent aussi que des variations chimiques du cerveau – notamment ceux responsables des sautes d’humeur – jouent un rôle important.A ce propos, l’utilisation d’antidépresseurs affectant le niveau de ces produits chimiques peut dans certains cas s’avérer utile, même si la dépression elle-même ne provoque pas tous les symptômes associés au syndrome prémenstruel.Une alimentation trop salée, l’excès d’alcool ou de café, peuvent modifier l’humeur, et contribuer à aggraver le SPM.Par ailleurs, certains scientifiques sont d’avis que le SPM est lié à un manque de calcium.En effet, une étude américaine a montré qu’un traitement riche en calcium réduit les symptômes physiques et psychologiques de presque 50 %.On continue à étudier cette théorie, tout comme celle sur la vitamine E qui, selon certains scientifiques, peut soulager les crampes et les douleurs.

Les traitements

Malheureusement, on ne peut identifier le SPM par des tests en laboratoire.Cependant, en connaissant mieux votre cycle menstruel votre médecin pourra vous prescrire un traitement adéquat.Des médicaments peuvent être nécessaires, mais des changements dans le régime alimentaire, certaines techniques de relaxation et un exercice régulier s’avèrent souvent bénéfiques.Pour vous aider à connaître votre cycle, il existe des outils et méthodes de calcul d’ovulation très pratiques et simples d’utilisation.

Trois conseils

En période prémenstruelle, restreindre le sel et des hydrates de carbone, éviter les excitants (alcool, café, thé, boissons au cola); limiter les sources de stress et la fatigue physique; s’organiser une vie calme, et faire de l’exercice.Manger plus souvent mais de plus petites portions, peut réduire les sensations de gonflement et la sensation de la plénitude.Choisir des aliments comme les fruits, les légumes et les grains entiers et des sources de calcium.Si vous ne tolérez pas les produits laitiers ou si vous ne connaissez pas la quantité de calcium que vous ingérez chaque jour, un supplément quotidien peut aider.Pratiquer une activité physique régulière (de 20 à 30 minutes, 3 à 5 fois par semaine) améliorera votre santé et votre sensation de bien-être.L’exercice aide également à lutter contre la fatigue et la dépression.

Suppléments et vitamines

Les suppléments de calcium

Une étude publiée par The American Journal of Obstetrics and Gynecology rapporte que 1 200 mg de calcium par jour réduit les symptômes physiques et psychologiques du SPM de près de 50 p. 100.

Les suppléments de magnésium

Selon une autre étude de 1998, publiée par le Journal of Women’s Health, 200 mg de magnésium par jour diminue la rétention de liquide et les gonflements de 40 p. 100.Par prudence, vérifiez avec votre médecin avant de prendre un supplément.

La vitamine E

Les chercheurs pensent que la vitamine E peut aider à réduire les crampes et les gonflements. Acheter Cialis GénériqueComme les études de la vitamine E ont montré des résultats divers, il est préférable de consulter d’abord un professionnel.

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Le test d’ovulation https://familysante.com/le-test-dovulation.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=le-test-dovulation https://familysante.com/le-test-dovulation.html#respond Tue, 13 Nov 2012 14:39:50 +0000 http://familysante.com/?p=58 Si vous avez décidé que le moment est venu pour la conception d’un enfant, vous n’avez pas envie que bébé se fasse attendre trop longtemps.Pourtant plus d’un tiers de françaises n’arrivent pas à être enceintes dans les 3 premiers mois d’essais.Pour certaines l’attente peut aller jusqu’à 2 ans!Cela ne signifie pas que les françaises sont […]

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Si vous avez décidé que le moment est venu pour la conception d’un enfant, vous n’avez pas envie que bébé se fasse attendre trop longtemps.Pourtant plus d’un tiers de françaises n’arrivent pas à être enceintes dans les 3 premiers mois d’essais.Pour certaines l’attente peut aller jusqu’à 2 ans!Cela ne signifie pas que les françaises sont infertiles, mais simplement que la nature prend son temps.Mais rien n’interdit de donner un coup de pouce à la nature.En effet, si vous êtes dans ce cas, il est probable que vos rapports sexuels n’aient pas lieu au bon moment du cycle.Il vous suffirait alors de pouvoir identifier les jours les plus fertiles de votre cycle et de planifier vos rapports à ce moment-là.En effet, votre période de fertilité maximale ne dure que quelques jours chaque mois, et elle se situe de 24 heures avant à 24 heures après l’ovulation.Cependant l’ovulation n’a pas toujours lieu au même moment d’un cycle à l’autre, et les méthodes naturelles de calcul de l’ovulation (méthode des températures, méthode du calendrier…) ne permettent pas de la prévoir suffisamment à l’avance et de manière fiable.Aujourd’hui il existe une méthode simple et fiable pour identifier vos 2 jours de fertilité maximale: le test d’ovulation.

Le test détecte avec précision le pic de l’hormone lutéinisante (la LH) qui déclenche l’ovulation 24 à 36 heures plus tard.Grâce à cette indication, vous savez que les 2 jours suivants sont vos jours de fertilité maximale, et si vous augmentez la fréquence de vos rapports sexuels à cette période vous favorisez la conception de votre bébé.Alors si vous souhaitez maximiser vos chances d’être enceinte, et accélérer le processus qui parfois est plus long que prévu, le test d’ovulation est un moyen rapide et facile pour y arriver.

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Où accoucher ? https://familysante.com/ou-accoucher.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=ou-accoucher https://familysante.com/ou-accoucher.html#respond Tue, 13 Nov 2012 14:30:19 +0000 http://familysante.com/?p=52 Prenez contact avec la maternité où vous devez accoucher le plus tôt possible. Assurez-vous des délais d’inscriptrion, car certaines maternités, même publiques, ne veulent pas ou ne peuvent pas prendre d’inscription au delà du troisième mois. Quel que soit votre choix, vous devez être inscrite à la fin du cinquième mois, voire début du sixième […]

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Prenez contact avec la maternité où vous devez accoucher le plus tôt possible. Assurez-vous des délais d’inscriptrion, car certaines maternités, même publiques, ne veulent pas ou ne peuvent pas prendre d’inscription au delà du troisième mois. Quel que soit votre choix, vous devez être inscrite à la fin du cinquième mois, voire début du sixième si vous optez pour une maternité publique.

Les maternités à Paris et en Ile de France, publiques ou privées, ne sont pas sectorisées. Vous pouvez donc la maternité de votre choix pour votre accouchement.
Selon le classement de la Sécurité Sociale, il existe 3 types de maternités.

Les maternités de l’Assistance Publique :

Gratuites, elles reçoivent directement leurs honoraires de la Sécurité Sociale. Vous n’avez rien à payer hormis des suppléments mimines : chambre individuelle, téléphone, télévision …

Les maternités conventionnées :

Elles fonctionnement de la même manière que les maternités de l’Assistance Publique, mais les visites des pédiatres de la maternité sont à votre charge et les examens médicaux obligatoires du bébé sont remboursés à 70% par la Sécurité Sociale.

Les maternités agréées :

Elles fixent leurs prix, qui sont généralement supérieurs au tarif de remboursement de la Sécurité Sociale. Donc, si vous n’avez pas de mutuelle, vous paierez les frais d’hospitalisation qui dépassent la base forfaitaire.

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Qu’est-ce qu’une femme enceinte ? https://familysante.com/quest-ce-quune-femme-enceinte.html?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=quest-ce-quune-femme-enceinte https://familysante.com/quest-ce-quune-femme-enceinte.html#respond Tue, 13 Nov 2012 14:23:46 +0000 http://familysante.com/?p=47 La réponse semble aller de soi… Et pourtant, les femmes enceintes vivent leur grossesse de façon très différente. Elles sont traversées par des sentiments, des émotions, des désirs multiples intimement liés à leur vécu personnel. Leur histoire leur a t-elle permis d’épanouir leur féminité ? Ont-elles atteint la maturité leur permettant de vivre leur affectivité […]

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La réponse semble aller de soi… Et pourtant, les femmes enceintes vivent leur grossesse de façon très différente. Elles sont traversées par des sentiments, des émotions, des désirs multiples intimement liés à leur vécu personnel. Leur histoire leur a t-elle permis d’épanouir leur féminité ? Ont-elles atteint la maturité leur permettant de vivre leur affectivité ?

Être femme, c’est toute une aventure… Être heureux de l’être, vivre sa féminité apaisée sans se sentir en rivalité avec les hommes, être en complicité avec eux. Chaque femme a sa propre histoire. Dans sa famille, les femmes sont-elles respectées, considérées, aimées ou à l’inverse dévalorisées, soumises, humiliées ? Ont-elles été valorisées dans leur devenir de femme par un père respectueux et ensuite par la mère ? Le fait d’être femme est-il ressenti comme une chance ou une malchance ? Tout ce vécu personnel influence très fortement la jeune fille. Elle se construit une image très diverse de la femme, image faite de craintes, de peurs, de rivalités et de haine de l’homme ou au contraire, pleine de fierté et de bonheur d’être femme, de complicité, d’affection et de tendresse vis-à-vis de l’homme. Devenue mère, elle portera en elle tous ces ressentis qui influenceront son comportement pendant la grossesse, avec son conjoint, avec ses enfants ensuite.

Vivre son affectivité

Qu’est-ce qu’aimer ? Question immense, mais qui se pose lors de la grossesse.  » Vais-je savoir aimer mon enfant ? On rêve de savoir aimer, mais peut-on apprendre à aimer ? Aime-t-on l’autre pour lui-même, pour ce qu’il est profondément ou bien rêve-t-on de le façonner selon nos désirs ? Aimer l’autre pour lui et non pour soi, sans possessivité ni domination, pour qu’il vive son chemin, développe ses dons, ses talents. L’amour rend libre et conscient de soi. Cette maturité affective est en chemin. Cette capacité affective est en germe en chacun de nous mais de façon plus ou moins développée. Elle est nourrie par toutes les rencontres affectives de notre histoire. Quand le destin nous a mis dans un environnement froid, distant, on vit le désarroi de n’être pas reconnu, aimé, valorisé.  » Je suis née par hasard, mes parents avaient d’autres préoccupations que moi, ils se disputaient, pour eux, j’étais un boulet. Je me sentais perdue, seule, ne connaissant aucun autre rapport que le mépris ou l’indifférence. Je vivais dans la méfiance totale des autres. Je ne pouvais pas entrer réellement en relation avec eux, ils me faisaient peur « . Pour cette jeune femme qui n’a pas été aimée, ses capacités affectives sont en sommeil. En revanche, si elle rencontre sur sa route de véritables humains qui prennent le temps de faire attention à elle, qui la reconnaissent pour ce qu’elle est, la valorise, l’aime alors progressivement sa méfiance, sa peur des autres diminuera. Elle pourra s’ouvrir, trouvera une confiance en elle et petit à petit prendra plaisir à être avec autrui, se sentira apaisée et pourra commencer à aimer…

La grossesse, un passage, une mutation…

La femme devient mère, l’homme devient père. Être mère, être père c’est donner une place à son enfant, s’ouvrir à lui, l’aimer, se sentir responsable de lui. La capacité d’aimer un autre être que soi, pour lui-même, sans domination, sans possession, pour qu’il s’épanouisse sera facile pour certains, plus difficile pour d’autre. Lorsque l’enfance a été difficile, souvent les souvenirs douloureux remontent à la mémoire pendant la grossesse. La femme, l’homme ne veulent alors surtout pas devenir comme leurs parents, mais ne savent pas comment faire et cette période de la grossesse peut être très troublée pour eux. S’ils se sentent perdus, le mieux est de ne pas rester seul face à toutes ces interrogations et de se faire aider par un professionnel.

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