Manger moins de viande est la meilleure chose à faire pour sauver la planète en 2019

L’année que nous avons quittée a été une année au cours de laquelle la population mondiale a été confrontée au changement climatique. Le problème a été pris plus au sérieux par les gouvernements qui, malgré tout, ont montré qu’ils ne pouvaient pas mettre de côté leurs intérêts personnels pour adopter une politique environnementale globale.

Que faire alors, étant donné que les urgences climatiques restent les mêmes pour 2019? N’oublions pas, par ailleurs, que nous nous rapprochons de plus en plus de ce qui a été présenté comme un véritable ultimatum à la Terre – 2030, dans lequel le réchauffement climatique doit être contenu au-dessous de 2 ° C.

Les scientifiques ont souligné à plusieurs reprises au cours de l’année écoulée ce qui se présente sous la forme d’un choix unique: réduire considérablement la consommation de viande pour sauver la planète.

Beaucoup seront surpris de lire que le destin de la planète est lié à ce que vous apportez à la table et à ce qui ne l’est pas: pourtant, de nombreuses recherches mettent en évidence l’impact incroyable de l’élevage sur la Terre. Les émissions de méthane des vaches, associées à l’utilisation d’engrais, produisent des émissions gazeuses que même les machines, les remorqueurs et les avions du monde entier n’atteignent.

De plus, la déforestation réalisée pour laisser place à des exploitations de plus en plus intensives et étendues affecte l’écosystème, emporte les animaux et modifie profondément les habitats des animaux qui survivent: la destruction des environnements naturels a eu pour effet que les animaux Aujourd’hui, 96% des mammifères dans le monde étaient constitués par des humains.

Les pratiques agricoles traditionnelles menacent l’extinction massive d’autres animaux, ainsi que la pollution étendue des sols, des rivières et des océans.

Selon les scientifiques, des réductions drastiques de la consommation de viande sont nécessaires pour éviter des changements climatiques dangereux: cette réduction représente 90% de la consommation actuelle des pays occidentaux. La même chose suggère un régime « flexitarien » comme alternative au régime végétalien ou végétarien: régime dans lequel les protéines végétales sont préférées, modérant la consommation de ces animaux.

Consommer moins de viande pour éviter de lourdes conséquences sur la planète est une solution réelle, à tel point que nous avons déjà réfléchi à la manière d’atteindre cet objectif: ceux qui émettent l’hypothèse d’une taxe sur la viande rouge, une alimentation à base d’algues pour réduire les émissions de CO2 des vaches, qui à la place dit qu’il est prêt à manger des insectes. Même une viande cultivée en laboratoire, analogue à tous égards à cet animal, a été testée.

Quelle que soit votre trajectoire, 2019 est l’année où chacun de nous est amené à faire un choix, même personnel, est une chance de sauver la planète d’un crash qui semble inévitable.

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